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PREUVES MATHEMATIQUES DE L'INSPIRATION DIVINE DE LA BIBLE



Commentaires sur œuvre de Panin

et autres par le Dr. Keith L. Brooks

(TRADUIT DE L'ANGLAIS).


Pour chaque beauté, il y a quelque part un oeil pour la voir. Pour chaque vérité, il y a quelque part une oreille pour l'entendre. Pour tout amour il y a un cœur quelque part pour le recevoir. Yvan Panin




Démonstration scientifique de l'inspiration de la Bible


Ce chapitre vient compléter le chapitre dédié au phénomène des codes numériques dans lequel Yvan Panin est cité en référence. La taille et l'importance de ce document m'ont obligé à en faire une page particulière, dédiée au savant qui avait, bien avant l'ordinateur, décelé la présence de schémas numériques structurés et obéissant à une inspiration supra-humaine, c'est à dire divine.

En dehors des bibliothèques, il est pratiquement impossible de se procurer les ouvrages du Dr Yvan Panin en langue Française à l'heure actuelle, à ma connaissance.

(En Russe, il existe un ouvrage, voir plus bas sur : http://www.cps.org.yu/katalog.html et http://users.net.yu/~creation/katalog.html)

Il existe une version commentée en Anglais disponible au format [.pdf] sur:

http://www.unleavenedbreadministries.org/?page=nent

et sur mon site en cliquant sur ce lien [panin.pdf] voir aussi en Annexes.

Ce chapitre me permet de rendre hommage à ce frère que je retrouverai un jour prochain auprès du Seigneur.


"Ouvre mes yeux pour que je contemple les merveilles de ta loi". (Psaumes 119/18)


Yvan Nikolayevitsh Panin par Naum Aronson - 1916 -


"La parole de Dieu est remplie de merveilles", nous dit le psalmiste. Mais pour les voir, pour être saisi par leur beauté, il faut que Dieu ouvre les yeux du lecteur. Le vieux livre contient aussi des merveilles d'une autre sorte, des merveilles purement mathématiques. Il existe dans toute la Bible une structure mathématique sous-jacente au texte et au vocabulaire, qui scientifiquement démontre qu'elle n'est pas une ˜œuvre de hasard. Ce document est tout à fait exceptionnel. Il relate la découverte extraordinaire du grand mathématicien Yvan Nikolayevitsh Panin. Il démontre mathématiquement, donc de manière inattaquable, la totale inspiration du texte biblique jusque dans ses moindres détails.


Un des événements les plus remarquables de notre époque, c'est que Dieu a suscité un individu pour apporter des évidences positives qui anéantiraient complètement toutes les critiques bibliques et qui abattraient l'athéisme partout où donc des hommes sincères et intelligents devraient s'en tenir aux faits.


Ouvrage Russe à propos de Ivan Panin

et de la structure mathématique de la Bible

http://users.net.yu/~creation/matematika.jpg


Encore plus étonnant est le fait que cet homme soit un Nihiliste russe converti, un érudit né le 12 décembre 1856, ayant comploté contre le tsar...//... il fut contraint de se réfugier en Allemagne puis aux Etats-Unis. Il étudia à Harvard, savant et mathématicien, et se convertit à Jésus-Christ.

Il réussit brillamment ses études et devient un écri

vain et un conférencier très recherché. Au moment même où l'athéisme organisé préparait ses plans pour prendre le contrôle de la Russie et utiliser ses vastes ressources pour semer les graines de l'athéisme dans chaque nation de la terre, (se reporter au chapitre: "le trône de Satan" à ce sujet) Dieu Lui, préparait Son Russe Yvan Panin pour avancer les preuves et les évidences scientifiques de l'inspiration verbale et plénière des Saintes Écritures dans leurs textes originaux de rédaction.

Le Dr Yvan Panin, qui est décédé en octobre 1942 après 50 ans de recherches sur les caractéristiques numériques de la Bible, n'était pas le premier à découvrir qu'il se trouvait une étrange structure mathématique tout au long du Livre. Il y eut Browne dans son "Ordo Saeculoreum" et Grant dans sa "Numerical Bible" et Bullinger dans son "Numbers of the Scriptures". Ils ont tout avancé et fait ressortir plusieurs exemples frappants des caractéristiques numériques dans la Bible. D'autres érudits poursuivent la recherche dans ce domaine.



YVAN PANIN


Néanmoins il reste que le Dr. Yvan Panin a consacré sa vie entière à cette tâche de découvrir que chaque lettre des livres Hébreux et Grecs est numérotée, et occupe sa propre place spécifique dans l'ordre du nombre total des lettres et de leurs séquences dans la Bible, les moindres variations étant voulues et dirigées par Dieu. Etant donné que chaque lettre Hébraïque et Grecque comporte une valeur numérique, "les lettres sont utilisées comme chiffres dans ces langues" chaque mot, expression, phrase et paragraphe, correspondent à une somme arithmétique bien définie.

Le Dr. Yvan Panin s'est dévoué avec tant de persévérance à décompter les lettres et à déchiffrer les problèmes arithmétiques qui se posaient qu'il s'est souvent épuisé physiquement. Il lui arrivait en effet de travailler jusqu'à 18h/jour! Ses ouvrages étaient volumineux et ses découvertes apparemment sans fin. I1 était l'auteur d'un volume "Structure of the Bible" et d'une révision du Nouveau Testament basé sur ses découvertes numériques.

Depuis sa mort, le Nobell Research Foundation qui prit possession de plus de 43 000 pages de ses travaux manuscrits, a chargé des érudits Hébreux et Grecs de poursuivre son étude et de préparer un livre sur le sujet.

La démonstration de Yvan Panin des séries de système complexes, pratiquement infinies dans les textes hébreux et grecs, toutes séquences, combinaisons, proportions, relations etc... suivant un plan uniforme à partir de la Genèse jusqu'à l'Apocalypse, est sans aucun doute la réponse de Dieu à l'athéisme moderne et aux grandes critiques et sa justification de l'inspiration verbale et plénière des Ecritures.

Cette découverte résout plusieurs questions et litiges quant aux textes. Elle prouve que les livres composant notre Bible actuelle et seulement eux, possèdent les qualifications requises. Elle a résolu des disputes de longue date concernant certaines parties de la Bible que certains savants voudraient éliminer.


La doctrine de l'autorité divine des Ecritures, a toujours été pleinement soutenue par les preuves de l'accomplissement des prophéties, des profondeurs inépuisables de la vérité révélée, de son incomparable emprise sur la vie des hommes, de son indestructibilité et du témoignage de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Cependant d'aucuns se complaisent à rejeter ces preuves les considérant comme non-scientifiques.

Le Dr. Yvan Panin a fourni des preuves scientifiques concluantes que la Bible ne peut être le produit de l'intelligence humaine seule. Cette preuve se retrouve dans les phénomènes numériques renversants, imbriqués dans la véritable structure des manuscrits Hébreux et Grecs.

Le Dr. Yvan Panin a démontré, soit que chaque auteur des Ecritures était un génie littéraire et mathématique sans égal ou bien qu'il écrivait sous la conduite et l'inspiration du Saint-Esprit. Le professeur John C Banks, un successeur émérite du Dr. Yvan Panin, a de son côté fourni des évidences numériques du même genre.

Yvan Panin a exposé ses découvertes aux lecteurs dans un journal de NEW-YORK dont des copies ont été envoyées à des éducateurs sceptiques et des scientifiques de renom en leur lançant un défi : Qu'ils réfutent si cela leur était possible la validité du phénomène auquel il portât tant d'attention. Depuis ce temps, de nombreux autres érudits sceptiques ont été confrontés à cette même évidence, et pas même un seul ne fut capable de la mettre en doute. Quelques-uns l'ont défié de retrouver la même structure mathématique dans des classiques Hébraïques et Grecs en dehors de la Bible.

En conséquences, Yvan Panin a accordé beaucoup de temps à l'examen de telles œuvres sans parvenir à y déceler des phénomènes similaires. De telles caractéristiques n'apparaissent pas dans les sept livres (Apocryphes) rajoutés par l'Eglise Catholique Romaine à son Ancien Testament.




LE CHIFFRE DIVIN


C'est un fait bien connu que le chiffre 7 se retrouve d'un bout à l'autre de l'univers. C'est sans aucun doute le chiffre du Créateur et le chiffre de la perfection, du fondement et de la plénitude.

Cette loi du 7 se retrouve non seulement abondamment à travers la création, mais elle se retrouve à profusion au premier coup d'œil sur l'étendue de la Bible et elle apparaît toujours de façon significative. De plus, des étudiants attentifs ont souvent été estomaqués de retrouver ce chiffre dans les situations les plus inattendues. Malgré cela, les sceptiques peuvent attribuer ce fait aux efforts de l'écrivain, qui considérant le chiffre 7 comme un chiffre mystique, s'ingénie à écrire des phrases comportant 7 mots exactement ou à développer brillamment des sujets subdivisés en 7 points.


L'ouvrage de Yvan Panin toutefois ne porte pas sur des traductions mais sur l'Hébreu et le Grec et ce serait une folie de vouloir essayer de prouver l'inspiration du texte dans sa version King James ou de toute autres version. Les difficultés rencontrées par les traducteurs ont été énormes, et c'est un fait bien connu que les changements constants apportés au langage usuel ont rendu désuets plusieurs mots dans notre traduction anglaise ou française, d'où les nombreux essais de traduction en langue moderne ou réactualisée.

Mais comment Yvan Panin a-t-il pu retourner aux originaux puisque nous ne savons même pas si nous avons, nous même, des originaux. La réponse, c'est que la comparaison de centaines de manuscrits préservés jusqu'à nos jours nous démontre une uniformité qui prouve une source commune.

Le texte qu'utilise Yvan Panin pour ces dénombrements est la révision des textes Hébreux pour l'Ancien Testament, le texte de Wescott et le texte de Hart pour le Nouveau Testament. I1 est à noter que les décomptes de Wescott et Hart sur le Nouveau Testament se soutiennent presque invariablement.

Ci-dessous, le lecteur trouvera un exemple extrait parmi d'autres sur les travaux du Dr Yvan Panin pour aborder le genre de phénomènes retrouvés par le savant sur ces textes:



LE HASARD EST EXCLU


Le premier verset de la Bible, "Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre", (Genèse, chapitre 1, verset 1) contient en Hébreu 7 mots et 28 lettres, c'est-à-dire 4 fois 7. Les mots les plus importants, « Dieu » « cieux » et « terre » ont en tout 14 lettres (2 fois 7). Les trois premiers mots contiennent le sujet et l'attribut de la proposition. Ils sont formés de 14 lettres. Les deux compléments ont chacun 7 lettres. La valeur numérique des trois mots importants mentionnée plus haut est de 777, soit 111 fois 7.

L'unique verbe, « créa », a la valeur de 203, c'est à dire 29 fois 7. La valeur numérique totale des trois mots se trouvant respectivement au début, au milieu, et à la fin de ce verset est de 133 (19 fois 7)


Citons un autre exemple: le récit de la naissance de Jésus dans l'Évangile de Matthieu:

" Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint-Esprit, avant qu'ils eussent habité ensemble. Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle. Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit: Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l'enfant qu'elle a conçu vient du Saint-Esprit; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus; c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. Tout cela arriva afin que s'accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète: voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. Joseph s'étant réveillé fit ce que l'ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme avec lui. Mais il ne la connut point jusqu'à ce qu'elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus".(Matthieu chapitre 1, versets 18-25).


Ces versets contiennent dans la langue originale, le Grec, 161 mots, soit 23 fois 7. Le vocabulaire totalise 77 ou 11 fois 7 mots. On trouve ces mots dans 105, soit (15 fois 7) formes différentes. L'ange utilise 28 mots (4 fois 7), et des 105 formes, il en utilise 35, soit 5 fois 7. Les 77 mots du vocabulaire sont disposés selon l'alphabet par groupe de 7. Marc, chapitre 16 verset 9 à 20, contient, entre autres, les phénomènes numériques suivants. Le nombre total des mots est 175 (25 fois 7) dont Jésus utilise 56 (8 fois 7). Le vocabulaire de ces versets contient 98 mots du vocabulaire, 84 (12 fois n ont été utilisés auparavant par Marc dans son évangile et 14 (2 fois 7) sont employés uniquement ici.


Par ces derniers chiffres, Yvan Panin révèle des combinaisons mathématiques, qui ont une relation déterminée avec des chiffres qui précèdent ou qui suivent. Par ailleurs dans le Nouveau Testament;


le nombre de mots dans l'ensemble des textes est divisible par 7.

Le nombre de mots commençant par une voyelle se divise par 7.

Le nombre de mots commençant par une consonne se divise par 7.

Le nombre des lettres dans l'ensemble des textes se divise par 7.

Parmi ces lettres, que ce soient les consonnes ou que ce soient les voyelles, les deux sont divisibles par 7.

Le nombre de mots dans l'ensemble des textes apparaissant sous plusieurs formes est divisible par 7.

Le nombre apparaissant seulement sous une forme se divise de la même manière par 7.

Le nombre de noms est divisible par 7.

Les nombres qui ne sont pas des noms se divisent aussi par 7.

Le nombre des noms propres se divise par 7.

Les noms au masculin se divisent par 7.

Les noms au féminin se divise aussi par 7.

Le nombre des mots commençant par chacune des lettres de l'alphabet se divise par 7.

Les onze premiers versets de l'Evangile de Matthieu retracent une partie de la généalogie de Jésus. En étudiant les lettres ou en les remplaçant par les chiffres correspondants, on s'aperçoit qu'il existe plusieurs agencements logiques de ce texte, dont le point commun est d'aboutir au chiffre "7" lui-méme ou à un nombre multiple de "7":

- le passage utilise en effet un vocabulaire de 49 mots grecs différents (7 x 7)

- en les écrivant sous leur forme la plus simple (celle qui figure d'ailleurs en premier dans tous les dictionnaires...), on s'aperçoit que 28 mots commencent par une voyelle (4 x 7) et 21 par une consonne (3 x 7). Par contre, 7d'entre eux se terminent par une voyelle et 42 (6 x 7) par une consonne. L'ensemble de ces mots représente 266 lettres (38 x 7) dont 140 exactement (20 x 7) sont des voyelles, et 126 (18 x 7) des consonnes. De plus, 35 mots (5 x 7) paraissent plus d'une fois dans ce texte, tandis que 14 mots (2 x 7) n'y figurent qu'une fois.

Du point de vue grammatical, on constate que 42 mots (6 x 7) sont écrits sous une seule forme, et que 7 mots sont utilisés avec des orthographes diverses (selon leur fonction dans la phrase, comme cela se fait en grec). I1 y a également 42 noms dans ce vocabulaire (6 x 7), et 7 autres mots qui n'en sont pas (des verbes, des articles, etc.); parmi ces noms, 7 sont des noms communs, désignant diverses choses, et 35 (5 x 7), des noms propres, désignant des personnages.

Parmi ces derniers, 28 (4 x 7) concernent les ancêtres masculins du Christ, tandis que 7 noms propres désignent ceux qui n'en sont pas. Yvan Panin complique d'ailleurs cette étude en utilisant «la valeur numérique du mot», qui est le total de l'addition des chiffres de toutes ses lettres.


La Bible est écrite en deux langues; l'Ancien Testament en Hébreu, [les quelques chapitres en chaldéen sont, en regard de l'usage numérique, semblables à l'Hébreu], le Nouveau Testament en Grec. Ces deux langues ont chacune cette particularité: Elles n'ont pas de symboles distinctifs pour les chiffres correspondant à nos chiffres modernes arabes 1,2,3,4,S,6,7,8,9,0, et pour les remplacer, elles se servent de lettres de leur alphabet, et ainsi chaque lettre hébraïque ou grecque correspond à un certain chiffre ou à un certain nombre. C'est ce qu'on appelle la valeur numérique de la lettre.

De la même manière qu'un mot est composé de lettres, la valeur numérique d'un mot est la somme des valeurs numériques de ses lettres.

La valeur numérique d'une phrase, paragraphe, chapitre, livre ou volume ou bibliothèque, est la somme des valeurs numériques des mots dont ils sont formés.

Au moyen de ces valeurs numériques, les Grecs et les Hébreux ont effectué toutes leurs opérations numériques. Mais dans les Écritures un système additionnel est utilisé pour la construction des textes: c'est la Place des valeurs numériques ou valeur positionnelle. La place des valeurs numériques ou la valeur positionnelle d'une lettre dans les Écritures, que ce soit l'hébreu ou le grec, est le nombre représentant le rang qu'occupe cette lettre dans l'alphabet. En conséquence dans l'hébreu, les valeurs positionnelles et les valeurs numériques des dix premières lettres sont les mêmes. I1 en est de même pour les cinq premières lettres dans le grec. Mais la onzième lettre en Hébreu ne correspond pas à onze mais à vingt. Par conséquent sa valeur numérique est 20 mais sa valeur positionnelle est 11, la dernière lettre de l'alphabet Hébreu, la vingt-deuxième correspond à 400. Donc sa valeur numérique est 400 mais sa valeur positionnelle est 22. Ceci s'applique aussi pour l'alphabet grec. Sa sixième lettre correspond à 7; ce qui est sa valeur numérique, mais sa valeur positionnelle est 6. La valeur totale d'une lettre grecque ou Hébraïque ou mot, est la somme de sa valeur numérique et de sa valeur positionnelle; ainsi la valeur totale du mot "Jésus" en grec est 975 dont la valeur numérique est 888 et sa valeur positionnelle est 87.



Valeurs positionnelles des lettres


La caligraphie des lettres 11, 13, 14, 17, et 18 change lorsqu'elles se situent en fin d'un mot. Mais la valeur positionnelle atribuée demeure la même.


Maintenant remarquons d'autres faits saillants :


La valeur numérique de l'ensemble du texte est divisible par 7.

La valeur numérique des diverses formes dans lesquels les mots apparaissent, produisent le même phénomène, à savoir être divisible par 7.

L'énumération ci-dessus effleure à peine l'étendue des phénomènes numériques que Yvan Panin a mis en lumière à l'intérieur de la structure de cette portion particulière. I1 a défié tout homme de pouvoir écrire un paragraphe de 300 mots intelligiblement et de produire quelques phénomènes numériques du même genre et de le mener à terme en six mois. Tout homme qui pourrait le faire réaliserait un prodige.

Aucun homme ne s'est offert. Mais plusieurs écrivains des Ecritures étaient des hommes choisis d'un milieu de vie ou d'un secteur d'activités très ordinaire ayant peu ou pas d'éducation. Si par exemple Matthieu, Marc, Luc ou Jean avaient essayer d'écrire seulement avec l'esprit des hommes sans l'aide de Dieu et qu'ils auraient produit ces caractéristiques numériques harmonieuses que l'ont retrouve tout au long de leurs livres, combien de temps cela leur aurait-il pris ? Souvenons-nous qu'avec chaque phrase additionnelle la difficulté de construire selon ces contraintes, augmente avec une progression géométrique et arithmétique; car ils doivent trouver le moyen d'écrire chaque paragraphe et ainsi développer et établir constamment les relations numériques fixes avec le texte qui précédait et le texte à venir.

Mais une caractéristique encore plus renversante demeure: Le nombre de mots trouvés dans Matthieu et que l'on ne peut retrouver dans aucun des autres livres du Nouveau Testament, démontre un plan numérique élaboré. Comment Matthieu savait-il qu'il avait utilisé des mots qui ne seraient pas employés dans aucun des 26 autres livres. I1 aurait fallu qu'il ait devant lui tous ces livres et qu'il écrive le sien en dernier. Toutefois, il se trouve aussi que chacun des autres livres montre le même phénomène. Serait-ce donc que chaque écrivain aurait été le dernier à écrire son ouvrage?. Si non alors, peut-on dire que chacun d'eux était capable de lire dans les pensées, en plus d'être un artiste littéraire et mathématique jamais égalé et presque inconcevable.

Yvan Panin a réussi à prouver à l'aide de ses calculs que chaque livre de notre Bible comporte de telles caractéristiques et que chacune était nécessaire pour obtenir le schéma numérique de la Bible en entier et ce, afin qu'elle se développe correctement et que rien ne puisse y être rajouté ou retranché et nous parvienne telle que nous la possédons actuellement, sans détruire cet arrangement planifié.


Depuis les cinq premiers versets de la Genèse jusqu'au dernier de l'Apocalypse nous retrouvons ces évidences d'origine divine. Donc il est certain que ce Dieu de la nature est aussi le Dieu des Écritures. Donc les querelles et discussions que nourrissent les sceptiques ne se font pas avec les croyants de la Bible mais avec Dieu lui-même.

Cette présence particulière du chiffre 7 dans les Ecritures a été récemment mise en lumière par la révélation des codes numériques Bibliques.


Le Pentateuque ou Torah (qui peut aussi s'écrire en Français "Thora") est composé de cinq livres qui contiennent l'essentiel de la loi Mosaïque. Une recherche de ce mot, faite par M. D. Weissmandel juste avant la seconde guerre mondiale, qui correspond aux quatre lettres "TORH" en Hébreu fait apparaître un résultat avec un espace de 49 sauts équidistants dans les deux premiers livres, à savoir Genèse et Exode. Aucun résultat équivalent ne peut être trouvé dans le Lévitique mais les quatre lettres réapparaissent, dans les Livres des Nombres ou du Deutéronome, mais inversées avec les mêmes sauts équidistants, à chaque 50e lettre donc.

La loi divine a été donnée à Moïse après 50 jours d'exode et ces séquences "TORH" ou "HROT" pointent vers LEUR AUTEUR CELESTE, c'est à dire DIEU qu'avec des sauts équidistants de 7 lettres (et 7 x 7 = 49), chaque huitième lettre sur le Livre du Lévitique désigne sous le nom Hébreu de "YHWH". (se reporter au chapitre concerné pour le développement).

Mais le chiffre "7" n'est pas le seul qui présente des aspects intéressants. I1 y a aussi d'autres chiffres qui donnent des développements aussi intéressants et tous sont significatifs dans leur contexte.

Notre Bible comprend 66 livres dont quelques-uns s'assignent eux mêmes à un auteur par son nom, tandis que d'autres son anonymes. Ceux qui s'assignent eux mêmes à un auteur que ce soit en entier ou en partie sont les suivants: Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome (ils s'assignent eux mêmes au moins en partie à Moïse ou bien sont cités ailleurs dans la Bible comme étant les ouvrages de Moïse). Ésaïe, Jérémie, Ézéchiel, et les douze petits prophètes s'assignent eux mêmes aux auteurs portant le même nom. Les Psaumes s'assignent à David. Les Proverbes et Cantiques de cantiques s'assignent eux mêmes à Salomon, Ecclésiaste s'assigne lui même au "Fils de David". Daniel, Esdras, Néhémie, s'assignent eux mêmes respectivement à ces auteurs: Jacques 1 et 2.Pierre, et Jude portent le nom de ces écrivains. Les épîtres de Paul sauf celle aux Hébreux, s'assignent eux mêmes à Paul. L'Apocalypse s'assigne elle-même à Jean. Les livres anonymes sont Genèse, Josué, Juges, 1-2 Samuel, 1,2 Rois, Job, Ruth, Lamentations de Jérémie, Esther, 1-2 Chroniques, Matthieu, Marc, Luc, Jean, Actes, 1-2-3 Jean, et Hébreux. De tous les écrivains nommés ci-dessus comme les auteurs des livres de la Bible, quelques-uns se sont attribués plus d'un livre. Moïse en a 4, Salomon 3, Pierre 2, Paul 13, d'autres écrivains ont seulement un livre en attribution.


Maintenant souvenons-nous que les livres de la Bible sont dans les textes Hébreux originaux et les textes grecs arrangés différemment dans leurs versions respectives de la Bible Anglaise et de la Bible Française.


Bible anglaise


Ancien Testament

1. Gen.

2. Exode

3. Lévitique.

4. Nombres.

5. Deutéronome.

6. Josué.

7. Juges.

8. 1 Samuel.

9. 2 Samuel.

10.1 Rois.

11.2 Rois.

12.Esdras.

13.Jérémie.

14.Ézéchiel.

15. Osée

16. Joël.

17. Amos.

18. Abdias.

19. Jonas.

20. Michée.

21. Nahum.

22. Habacuc.

23. Sophonie.

24. Aggée.

25. Zacharie.

26. Malachie.

27. Psaumes.

28. Proverbes.

29. Job.

30. Cantique des Cantiques

31. Ruth.

32. Lamentations.

33. Ecclésiaste.

34. Esther.

35. Daniel.

36. Esaïe.

37. Néhémie.

38. 1 Chroniques

39. 2 Chroniques


Nouveau Testament

40. Mathieu.

41. Marc.

42. Luc.

43. Jean.

44. Actes des apôtres.

45. Jacques.

46. 1 Pierre.

47. 2 Pierre.

48. 1 Jean

49. 2 Jean.

50. 3 Jean.

51. Jude.

52. Romains.

53. 1 Corinthiens.

54. 2 Corinthiens.

55. Galates.

56. Éphésiens

57. Philippe.

58. Colossiens.

59. 1 Thessaloniciens

60. 2 Thessaloniciens

61. Hébreux.

62. 1 Timothée.

63. 2 Timothée.

64. Tite.

65. Philémon.

66. Apocalypse.



Bible française


Ancien Testament (39 livres canoniques) (écrits avant Jésus-Christ)

" Testament " signifiant " Alliance de Dieu avec les hommes "


• 1 La Genèse part 1 ch 1 à 28 [1533 versets]

• 1 La Genèse part 2ch 29 à 50

• 2 L’exode part 1ch 1 à 12 [1213 versets]

• 2 L’exode part 2ch 13 à 40

• 3 Le Lévitique [859 versets]

• 4 Les Nombres part 1ch 1 à 17 [1288 versets]

• 4 Les Nombres part 2ch 18 à 36

• 5 Le Deutéronome [959 versets]

• 6 Le Livre de Josué [658 versets]

• 7 Le Livre des Juges [618 versets]

• 8 Le Livre de Ruth [85 versets]

• 9 Le Livre I de Samuel [811 versets]

• 10 Le Livre II de Samuel [695 versets]

• 11 Le Livre I des Rois [817 versets]

• 12 Le Livre II des Rois [719 versets]

• 13 Le Livre I des Chroniques [942 versets]

• 14 Le Livre II des Chroniques [822 versets]

• 15 Le Livre d’Esdras [280 versets]

• 16 Le Livre de Néhémie [406 versets]

• 17 Esther [167 versets]

• 18 Job [1070 versets]

• 19 Les Psaumes part 1 ch 1 à 77 [2527 versets]

• 19 Les Psaumes part 2 ch 78 à 108

• 19 Les Psaumes part 3 ch 109 à 150

• 20 Les Proverbes [915 versets]

• 21 L’Ecclésiaste [222 versets]

• 22 Le Cantique des Cantiques [117 versets]

• 23 Isaïe part 1 ch 1 à 35 [1291 versets]

• 23 Isaïe part 2 ch 36 à 66

• 24 Jérémie part 1 ch 1 à 24 [1364 versets]

• 24 Jérémie part 2 ch 25 à 52

• 25 Les Lamentations [154 versets]

• 26 Ezéchiel part 1 ch 1 à 26 [1273 versets]

• 26 Ezéchiel part 2 ch 27 à 48

• 27 Daniel [357 versets]

• 28 Osée [197 versets]

• 29 Joël [73 versets]

• 30 Amos [146 versets]

• 31 Abdias [21 versets]

• 32 Jonas [48 versets]

• 33 Michée [105 versets]

• 34 Nahum [47 versets]

• 35 Habaquq [56 versets]

• 36 Sophonie [53 versets]

• 37 Aggée [38 versets]

• 38 Zacharie [211 versets]

• 39 Malachie [55 versets] )


Nouveau Testament (27 livres canoniques)(écrits après Jésus-Christ)

" Testament " signifiant " Alliance de Dieu avec les hommes "


• 1 L’Evangile selon Matthieu [1071 versets]

• 2 L’Evangile selon Marc [680 versets]

• 3 L’Evangile selon Luc [1151 versets]

• 4 L’Evangile selon Jean [879 versets]

• 5 Les Actes des Apôtres [1006 versets]

• 6 Epître aux Romains [433 versets]

• 7 Première Epître aux Corinthiens [437 versets]

• 8 Deuxième Epître aux Corinthiens [256 versets]

• 9 Epître aux Galates [149 versets]

• 10 Epître aux Ephésiens [155 versets]

• 11 Epître aux Philippiens [104 versets]

• 12 Epître aux Colossiens [95 versets]

• 13 Première Epître aux Thessaloniciens [89 versets]

• 14 Deuxième Epître aux Thessaloniciens [47 versets]

• 15 Première Epître à Timothée [113 versets]

• 16 Deuxième Epître à Timothée [83 versets]

• 17 Epître à Tite [46 versets]

• 18 Epître à Philémon [25 versets]

• 19 Epître aux Hébreux [303 versets]

• 20 Epître de Jacques [108 versets]

• 21 Première Epître de Pierre [105 versets]

• 22 Deuxième Epître de Pierre [61 versets]

• 23 Première Epître de Jean [105 versets]

• 24 Deuxième Epître de Jean [13 versets]

• 25 Troisième Epître de Jean [15 versets]

• 26 Epître de Jude [25 versets]

• 27 L’Apocalypse [404 versets]


Le nombre est 66 ou 6 x 11.

(note du webmaster: 39 + 27 livres = 66 livres et 3 x 9 = 27)

Les livres anonymes sont au nombre de 22 ou 2 x 11. Les livres non anonymes sont au nombre de 44 ou 4 x 11. De ces 44; 22 ou 2 x 11 appartiennent à des écrivains de plus d'un livre, et 22 appartiennent à des écrivains d'un seul livre. La somme de ces 66 nombres ou 6 x 11 est 2.211 soit 201 x 11. Ce nombre est divisé ainsi: Les 22 livres des auteurs de plus d'un livre totalisent 946 ou 86 x 11. Les autres 44 totalisent 1.265 ou 115 x 11. De ces 66 livres, 21 sont des épîtres, leur nombre s'étend de 45 à 65 i.e. de Jacques à Philémon (voir tableau). Maintenant la somme des 66 livres soit 2.211 se divise encore entre les épîtres et les "non-épîtres". Les épîtres font 1.155 soit 105 x 11, et les "non-épîtres" font 1.056 soit 96 x 11.

Moïse, David, Esaie, Jérémie, Osée, Joël et Daniel sont expressément mentionnés dans le Nouveau Testament. Les nombres de leurs livres sont 2,3,4,6,12,13,15, 16, 27, 35 (voir tableau). La somme est alors de 132 soit 12 x 11. Maintenant considérons la valeur numérique des auteurs de la Bible (ceux auxquels des livres s'assignent eux-même) en additionnant la valeur de chacune des lettres.

(Note du webmaster: 132 jours totalisent 3168 heures)


Moïse

345

Zacharie

242

Esaie

401

Aggée

21

Jérémie

271

Malachie

101

Ezéchiel

156

David

14

Osée

381

Salomon

375

Joël

47

Daniel

95

Amos

176

Esdras

278

Abdias

91

Néhémie

113

Jonas

71

Jacques

833

Michée

76

Pierre

756

Nahum

104

Jude

685

Habacuc

216

Paul

781

Sophonie

235

Jean

1069


Total = 7.931

c'est à dire 7.931 = 11 x 7 x 103.

La somme des facteurs 7, 11, 103 est 121 soit 11 x 11.

La présence de ces facteurs de "11" en relation avec le nombre, la séquence et les noms des auteurs sont, soit accidentelle, soit voulue. Que le nombre des livres de la Bible soit un multiple de 11 peut être purement accidentel puisque malgré tout, seulement chaque onzième nombre est un multiple de 11, la chance d'obtenir un multiple de 11 est seulement de 1 sur 11. Que ce nombre soit ainsi divisible dans les livres anonymes et non-anonymes, et que chaque classe soit aussi un multiple de 11; ceci peut aussi être accidentel, mais la chance n'est que d'une sur 121 soit: 11 x 11.

Que ce nombre soit ainsi divisible par 11 parmi les auteurs d'un seul ou de plusieurs livres et soit une fois encore dû à la chance, ne présente seulement qu'une chance sur 1.331 soit: 11 x 11 x 11.

Si on veut aller encore plus loin sur les 8 figures parmi les 11 mentionnées, chacune d'elle peut être accidentelle mais la chance est seulement de 1 dans 11 à la puissance 8 soit: 214.358.881.

Maintenant la somme des valeurs numériques des 26 auteurs (7.931) est aussi un multiple de 7. De ce nombre les 21 auteurs de l'Ancien Testament (soit 3 x 7) représentent 3.808 soit 544 x 7, et les écrivains du Nouveau Testament représentent 4.123 soit 589 x 7.

Des 3.808 auteurs de l'Ancien Testament, 2.933 soit 419 x 7 appartiennent aux écrivains de La Loi et des prophètes, de Moïse à Malachie, et 875 soit 125 x 7 appartiennent aux écrivains de ce qu'il est convenu d'appeler "Hagiographes" de David à Néhémie. Sept des 21 écrivains de l'Ancien Testament soit 3 x 7 sont expressément cités dans le Nouveau Testament: Moïse, David, Ésaie, Jérémie, Daniel, Osés, Joël. Leur valeur numérique est 1.554 soit 222 x 7. La valeur numérique de Moïse qui vient en tête de la liste, et de Jean qui la termine, 346 et 1.069 donnent 1.414 soit 202 x 7.

La Bible débute avec le mot Hébreu équivalent à "commencement" et se termine avec le mot grec "hagios", ou "Saint".

Ce mot Hébreu apparaît dans les livres suivants: Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome, 1 Samuel, Esaie, Jérémie, Ézéchiel, Osée, Amos, Michée. Psaumes, Proverbes, Job, Ecclésiaste, Daniel, Néhémie, 2 Chroniques. Le mot grec apparaît dans les livres suYvants du Nouveau Testament: Matthieu, Marc, Luc, Jean, Actes, 1,2, Pierre, 1 Jean, Jude, Romains, 1 et 2 Corinthiens, Éphésiens, Philippe, Colossiens, 1 et 2 Thessaloniciens, Hébreux, 1 et 2 Timothée, Tite, Philémon, Apocalypse. Ces livres donnent le nombre de 42 soit 6 x 7. Prenez le nombre respectif de chacun des livres dans l'ordre de leur place (voir tableau) et la somme est 1575 ou 225 x 7.

Ces 8 figures de 7 en relation avec l'ordre et les auteurs des livres pourraient aussi être accidentelles, mais la probabilité pour qu'une telle combinaison des facteurs de 7 et de 11 arrivent ensemble est de l'ordre de 1 sur des milliards. I1 est clairement démontré que le nombre actuel des livres de la Bible n'est pas accidentel mais bien voulu.

Nous avons vu que la proportion entre les livres anonymes et non anonymes a été planifiée.

Nous avons vu que la proportion entre les nombres de livres appartenant à un écrivain et le nombre de livres appartenant aux auteurs de plus d'un livre a été également planifiée.

Nous avons vu que la proportion des épîtres et les autres livres dans la Bible a été elle aussi planifiée.

Nous avons vu que le nombre de livres du Nouveau Testament dans lesquels les écrivains de l'Ancien Testament avaient été cités, résulte aussi d'une planification.

Il est apparent que la séquence des livres en Hébreu et en Grec a été planifiée.

Nous avons vu que les noms des 26 auteurs étaient voulus...

Supposer que ces phénomènes mathématiques dans leur ordre, dans leur ensemble... soit purement d'origine humaine, est une idée tout simplement inconcevable, mais en émettant l'hypothèse qu'un Esprit Mathématique Supérieur, l'Auteur mathématique de la nature, ait planifié ces phénomènes numériques (à l'insu des écrivains eux-mêmes), ceci expliquerait non seulement ces phénomènes, mais encore des milliers de semblables qui pourraient faire l'objet de découvertes futures. Aucun homme ne pourrait par ses propres capacités accomplir l'exploit d'introduire autant de phénomènes numériques.

Selon les lois de la probabilité, il y a une chance sur 191,581,231,380,566,414,401 (21 chiffres soit 3 x 7!) pour qu'un paragraphe de la Bible contienne vingt-quatre phénomènes mathématiques basés sur le chiffre 7. Parler de hasard est mathématiquement exclu! Cela inciterait-il les savants et autres érudits critiques du monde, les athées, et les infidèles à plier genou devant Jésus-Christ, et à accepter les écritures? Non, en effet! Car des centaines parmi eux qui ont déjà confronté ces faits, les mettent de côté en disant, soit qu'ils n'ont pas le temps de faire des recherches là dessus ou qu'ils ne sont pas intéressés par les mathématiques de la Bible.

"Le monde avec leur sagesse ne connaît pas Dieu" et "l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu," quelque soit la grandeur des évidences de l'inspiration divine présentée. Si le Christ infini lui-même n'a pu convaincre les savants de Son temps, aucun phénomène numérique révélé de nos jours ne pourra convaincre ceux qui refusent d'être convaincus.

"Voici la condamnation, c'est que la lumière est venue dans le monde, et l'homme a préféré les ténèbres plutôt que la lumière parce que leurs œuvres étaient mauvaises." La valeur de ces découvertes repose principalement dans leur pouvoir de confirmer et consolider la foi de ceux qui récemment, sont nés de nouveau en les encourageant, comme les grandes révélations de l'archéologie de ces derniers temps à proclamer avec une puissance renouvelée l'Ancien Testament qui, associé au pouvoir de conviction de l'Esprit-Saint, est en mesure de briser l'infidélité de ceux qui sont aveuglés par les ennemis des âmes.



C O N C L U S I O N


Au sujet des travaux du Dr Yvan Panin, le Prof. A. Gordon Melvin, de New York, très en vue dans le domaine de l'éducation laïque, a effectué un pèlerinage à Aldershot, Canada, pour rencontrer le Dr Yvan Panin, et il nous a remis le rapport suivant: "Après avoir conversé avec le Dr Panin et scruté son travail, je crois qu'il est temps pour ceux qui connaissent cette œuvre de déployer un effort concerté pour la rendre disponible à ceux qui ignorent son existence. J'ai constaté que le Dr Panin possède des données sous forme de concordances numériques représentant des années de travail. Je suis inquiet en constatant leur état périssable.

Le Dr. W. Bell Dawson, savant canadien bien connu, nous a écrit: Je suis d'accord avec ce que vous dites au sujet des travaux du Dr Panin, dont je suis conscient depuis un certain nombre d'années. Je suis particulièrement intéressé par l'influence qu'ils peuvent avoir sur le choix des "lectures diverses" par la population. J'espère que son oeuvre magistrale sera continuée.

Le Dr Arthur I. Brown, éminent médecin Canadien et conférencier biblique bien connu, qui a maintenant rejoint son Créateur, a aussi visité le Dr Yvan Panin et nous a écrit pour nous inciter fortement à répandre son oeuvre par tous les moyens possibles.

Le Dr D. M. Panton, éditeur de The Dawn et professeur de Bible bien connu de London, dit: "La découverte du Dr Panin, une des plus renversantes qui puissent être faites; est un des cataclysmes de Dieu pour la crise finale c'est l'arrêt de mort de la critique destructive, non pas, malheureusement, que les critiques vont être convaincus, car les fondements de leurs doutes reposent beaucoup plus profondément que dans l'intelligence; et quand leurs croyances fermes sont réfutées, ils déplacent le problème; néanmoins, pour tous ceux qui font honnêtement appel à l'intelligence, cette découverte fournit une manifestation intelligente de la miséricorde de Dieu, qui rencontrera chaque âme sur son propre terrain. Celui qui analyse l'Écriture de façon destructive se retrouve dans la situation d'un analyste infantile aux prises avec des complexités qu'il n'avait jamais imaginées. L'inspiration verbale de la Bible est ici démontrée mathématiquement, laissant loin en arrière toute machination essayant de la détruire. L'Écriture se révèle comme un parchemin qui, exposé à la lumière, fait ressortir l'autographe de son Artisan; un texte qui comporte précisément cette marque d'une arithmétique miraculeuse qui se retrouve dans la chute mathématique parfaite des flocons de neige, et dans les enroulements parfaits d'une coquille. Aux critiques du Dr Panin je dirais: "Mettez-vous ses chiffres en question? Si oui, où s'est-il trompé? Sinon, leur portée est incontestable. Vous ne pouvez argumenter contre les mathématiques".



Devant ces faits indiscutables, ce serait complètement audacieux ou même une folie de les ignorer et de poursuivre délibérément notre chemin vers un ENFER éternel. Les Ecritures (La Parole de Dieu) nous montrent les deux et seulement deux destinations pour l'homme: le Ciel ou l'Enfer.

Chaque individu sera éternellement destiné à vivre dans l'un ou l'autre de ces deux endroits. La sagesse nous ordonne sûrement de choisir le ciel. Comme il est merveilleux et éternellement béni, ce Dieu dans son Amour pour nous, lui qui a tracé un chemin à tous ceux (toute l'humanité?) qui viendront à lui par l'accomplissement de l'Oeuvre de son Fils Unique sur la croix. Il nous dit:

" je suis le Chemin. la Vérité, et la Vie, nul ne viens au Père que par Moi. (Jean 14/6).

Quelle folie ce serait de s'opposer ou de contester avec lui! Et pourquoi? Il est bien plus sage et préférable de prendre la place des Publicains et de s'écrier: "O Dieu, soit miséricordieux envers moi, qui suis un pauvre pécheurs" et recevoir le Sauveur donné si gracieusement. Voyez Jean 1: verset 12, et 3: verset 16.

" Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu".

" Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle".

Venez maintenant, demain sera peut-être trop tard!

"venez au Sauveur, n'attendez pas. Ici dans sa Parole, Il nous a montré le Chemin".


NOTE: La Nobell Research Foundation a considéré ces manuscrits tellement importants, qu'une caméra spéciale a été installée pour photographier chacune des quelques 43,000 feuilles. Elles ont été vérifiées depuis, quant aux erreurs mathématiques, et quelques corrections ont été effectuées. Des caractéristiques numériques additionnelles ont été découvertes par les érudits chargés de cette vérification.



Un mathématicien autrefois sceptique publie un livre explosif sur le Code de la Bible (WorldNet Daily) Un expert en mathématiques, ex-sceptique, prouve que Dieu est l'auteur de la Bible. Après le livre de Michael Drosnin: LA BIBLE, LE CODE SECRET, voici celui d'Edwin Sherman: BIBLE CODE BOMBSHELL ("La bombe du Code de la Bible: les évidences scientifiques convaincantes prouvant que Dieu est l'auteur de la Bible").

La Sainte Bible, le best-seller de tous les temps, n'a pas été écrite par l'homme, mais par Dieu. C'est la conclusion d'un expert en mathématiques et en statistiques, Edwin Sherman. Sa démarche de sceptique était de réfuter l'existence de tout message caché et codé qui serait dissimulé dans les Ecritures, et voilà que ses études l'ont amené à la preuve irréfutable de la paternité divine de la Bible.

Cet expert va pousser ses investigations en se fondant sur un point de vue scientifique pour étudier les textes originaux. Son étude consiste à appliquer les mêmes principes déjà énoncés pour rechercher les codes dans un texte hébreu commun en parallèle avec un texte de l'Ancien Testament selon leur mouture digitale d'origine. Les résultats obtenus constituant une preuve scientifique irréfutable l'ont convaincu que Dieu est bien l'auteur de la Bible. Il est désormais affirmatif: la Bible en hébreu contient des messages cachés et codés.

Des mots et des messages peuvent-ils se trouver cachés dans le texte biblique? Qui les a cachés là et dans quel but? L'auteur présente l'évidence surprenante et jamais prouvée jusqu'alors de ces codes et de leur signification pour le monde d'aujourd'hui. Dans ce nouveau livre instructif, le contenu étonnant de 200 longues phrases de codes sont traduites par le Dr. Nathan Jacobi, un expert de premier ordre dans le décryptage des codes de la Bible.

Différent des autres livres traitant du même sujet qui pouvaient mettre à la lumière des mots isolés cachés dans un livre ordinaire, celui-ci démontre que de longues phrases codées peuvent être mises en évidence, telles que: "vous réclamerez à grands cris le sang du Messie", "résurrection de Jésus, il est en effet ressuscité", "Jésus est le chemin", "Jour terrible pour Marie", "Jaillissant des cieux, mon nom puissant s’éleva au-dessus de Jésus, et les nuages se réjouirent"... ces phrases sont en adéquation et en parfaite symbiose contextuelle avec les phrases lues "en clair". Edwin Sherman qui a une expérience de 30 ans dans l'analyse des probabilités et des statistiques explique clairement comment ces codes démontrent que la Bible est réellement inspirée de Dieu.

C'est ainsi que les lecteurs comprendront qu'il existe des moyens actuels pour discerner les Ecritures inspirées de Dieu et celles qui ne le sont pas comme par exemple les nouvelles révélations ou encore un Nouvel Evangile qui seraient annoncés par des mediums ou des "channellers" new-age.

Le livre de Michael Drosnin paru en 1977: LA BIBLE, LE CODE SECRET qui s'appuie sur les recherches du mathématicien Eli Rips est devenu très populaire et annonçait que des messages étaient encodés dans la Bible, certains événements tels que: l'holocauste, l'assassinat d'Yitzak Rabin et la guerre du Golfe, par exemple.

Ces affirmations ont immédiatement soulevé la riposte des sceptiques. Le physicien Dave Thomas a écrit en 1997: "Des messages cachés peuvent être trouvés n'importe où, avec du temps et des efforts pour investiguer le vaste champ des probabilités. Drosnin a sous-estimé le hasard et la force brute des ordinateurs quand il annonce que ces messages se situent au-delà des probabilités du hasard, j'ai prouvé que non."

Un autre de ces sceptiques convaincus était justement Edwin Sherman, qui voulait démontrer que les résultats de M. Drosnin étaient truqués ou fabriqués de toutes pièces. Il avait même déclaré à la presse que les exemples de M. Drosnin étaient pour la plupart dérisoires.

"En se donnant la peine de rechercher d'éventuels messages subliminaux, vous pourriez tout aussi bien les trouver dans le bottin téléphonique de Jérusalem" avait-il lancé. Cependant, il a été assez intéressé pour utiliser le logiciel qui permet d'analyser les textes masorétiques de l'Ancien Testament. "J'étais tellement sceptique sur toute cette affaire que j'avais préparé un projet pour démontrer que tout cela était fictif." a-t-il ajouté. "J'ai bien été obligé de reconnaître que les exemples que j'ai trouvés allaient bien plus loin que de simples mots et phrases, car comme une preuve supplémentaire, ils se trouvent absolument en corrélation avec le texte "de surface" dans lequel ils se situent."

(WorldNet Daily - Toutes nos sources) ajoutée le 2005-08-26






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