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L'HUMANISE "DÉVOYÉ" FACE AU CHRISTIANISME : La confrontation



Être Chrétien dans ce monde qui déteste le Dieu Créateur ?





*



S o m m a i re


Introduction

Constat et réflection


Chapitre 1

La séparation entre Dieu et L’homme


Chapitre 2

Les conséquences de la séparation.


Chapitre 3

L’humanisme dévoyé et le péché


Chapitre 4

La confrontation


Chapitre 5

Chrétien dans le monde aujourd’hui


CONCLUSION



*




I N T R O D U C T I O N



Une réflexion

Chers lecteurs, je suis chrétien depuis plus de trente ans et force est de constater qu’annoncer l’évangile en France est devenu le parcours du combattant. Conscient de cette réalité, je me suis posé la question à savoir : pourquoi dans cette nation occidentale, les gens sont aussi fermés à la bonne nouvelle ? Pourquoi lorsqu’on leur parle juste d’amour, de sagesse, d’espérance et de pardon, sans même nommer Jésus, nous nous heurtons à une grande opposition, celle d’annoncer Jésus. Annoncer que Jésus est mort pour nos péchés et qu’il a payé notre dette fait même parfois rire, tant cela parait fou pour ces âmes aveuglées dans leurs pensées rationnelles et émotionnelles. Paul nous avait prévenu certes, l’évangile est une folie pour le monde, mais à ce point, il faut s’accrocher mes amis.

Qu’est-ce que révèle ce bétonnage intellectuel et émotionnel au point même de rejeter tout ce qui vient du sacré ? Pourquoi n’y aurait-il que l’homme et rien que l’homme ? Plus les années passent et plus il est compliqué, voir parfois risqué, de proclamer Jésus. Parler de Dieu passe encore, parce que le nom de Dieu est tellement galvaudé (chacun se fabrique son propre dieu), mais parler de Jésus est le sujet qui provoque le maximum de rejet. L’âme humaine, après la chute, est sortie de ses rails sacrées et d’un humanisme qui se voulait divin et saint; ce fut l’apparition de l’humanisme dévoyé, refusant le Dieu créateur. Cet humanisme dévoyé est apparu suite à la séparation de l’homme et de la femme d’avec l’Esprit de Dieu. Les conséquences de cette séparation sont telles que, depuis la désobéissance d’Adam et Eve, toute leur descendance dont nous faisons partis, est rendue coupable devant Dieu. S’il n’est pas dans la main de son créateur, l’humain est voué à lui-même et la parole de Dieu vole en éclat pour laisser la place à toutes les perversions humaines.


Un constat

Cette effroyable sortie de route charnelle porte un nom : LE PÉCHÉ ORIGINEL, qui dévaste l’ensemble du champ sacré, assurant une vie de paix et d’amour avec notre créateur. Force est de constater que les humains dévoyés (et nous en étions), sont tous coupables aux yeux de Dieu. "Pas un seul n’est juste" nous dit le Seigneur (Rom 3:10). Il est, de fait, très important de faire le bilan de l’état de cette sortie de route désirée par l’homme et la femme, afin de bien comprendre dans quel monde dépravé nous vivons. J’aborde une approche à caractère divin qui sera forcément contraire à celle des philosophes et des élites bien pensants de ce monde, qui en contesteront le contenu. Mais sous l’oeil avisé de l’Esprit de Dieu et de son fils Jésus, je défie quiconque de contredire la vérité biblique et ce qu’elle produit au profit d’une philosophie ou d’une idéologie qui lui serait supérieure.

Qui peut se prétendre plus fort que Dieu ? Eh bien, c’est ce que je vais tenter de développer dans les lignes qui suivent. Les conséquences sont sans appel et mènent depuis des siècles au chaos inévitable !


Un encouragement

Je désire du fond du coeur, encourager et exhorter mes frères et soeurs en Christ, à tenir ferme en faisant tous leurs efforts dans la foi pour mener le bon combat. L’esprit humaniste dévoyé est l’ennemi de Dieu et du Christianisme, mais parmi ces milliards d’âmes spirituellement mortes, ne perdons pas de vue que certaines sont des élus (inscrits sur le livre de vie) qui, par la grâce de Jésus, seront rachetées et adoptées. Depuis la crucifixion de Jésus, nous sommes dans les temps de la fin et notre mission est d’apporter la lumière dans les ténèbres. Ces dernières sont de plus en plus épaisses et noires, d’où notre redoublement d’engagement pour participer au grand sauvetage. Alors apprenons à traverser la vallée de l’ombre de la mort avec foi et assurance en recherchant, de toute notre âme, Jésus et sa Seigneurie. Notre Père contrôle toutes choses et il désire que nous soyons informés de qui est notre ennemi afin de mieux le combattre, tout en remettant notre totale confiance en son fils Jésus, car comme il est déclaré dans l’épître aux Romains chapitre 8 versets 37 à 39 : Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.    

   

L’humanisme dévoyé s’affronte avec le Christianisme, dans un face à face depuis des siècles


Les humanistes dévoyés défendent leur idéologie païenne, centrée uniquement sur l’homme qui selon eux, peut changer le monde sans avoir besoin de Dieu. Pour les chrétiens véritables, les "nés de nouveau" (c’est très important de préciser cela, nous le verrons plus loin), ils ont reçu une nouvelle vie par grâce, fondée sur l’enseignement, la personne et la vie de Jésus-Christ qui est leur maître absolu, envoyé par Dieu le créateur pour sauver son peuple de la perdition après la chute dans le jardin d’Eden.


Qu’est ce que l’humanisme ?


Définition de l’humanisme.


  • Coté « PHILOSOPHIE »

Théorie, doctrine qui place la personne humaine et son épanouissement au-dessus de toutes les autres valeurs.


  • Coté « HISTOIRE »

Mouvement de la Renaissance caractérisé par un effort pour relever la dignité de l'esprit humain et le mettre en valeur, et un retour aux sources gréco-latines.


  • Coté « SOURCE »

À la fin du XVe siècle et au début du XVIe, des savants, des artistes, des religieux veulent rompre avec le Moyen Âge et sa manière de penser. Ils admirent l'Antiquité greco-latine ainsi que sa vision de l'homme et du monde. Ce sont les humanistes. Ils rejettent tout ce qui rappelle le Moyen Âge et critiquent la trop grande puissance de la religion. Ils affirment que l'homme peut comprendre et transformer le monde grâce à la connaissance, qu'il est bon et "mesure de toute chose ». Pour eux l'homme est l'image de Dieu : en étudiant l'homme, on étudie donc l'image de Dieu et Dieu lui-même.

Le XVe siècle italien, appelé le Quattrocento, est la grande époque de l'humaniste italien. Parmi ses représentant, on peut citer Lorenzo Bruni, Marsile Ficin, Machiavel. Pic de la Mirandole est l'auteur du "Discours sur la dignité humaine", un ouvrage important de la Renaissance dans lequel l'homme est un être unique et libre, maître de son destin, ce qui réduit beaucoup l'importance de la religion. C'est une idée très originale à cette époque.

Le Hollandais Erasme symbolise à lui seul l'idéal des humanistes, mais aussi leur style de vie, car il voyage beaucoup. Il est considéré comme un grand maître intellectuel, un érudit et un latiniste. Il critique les abus de l'Eglise, favorisant donc les idées de la Réforme protestante. En Angleterre, son ami Thomas More est l'auteur d'un très célèbre traité "Utopie" où il décrit une société idéale.En France, Rabelais utilise le genre de l'épopée burlesque dans "Pantagruel" et "Gargantua" pour exprimer ses idées humanistes, comme le montre ce passage de la célèbre lettre de Gargantua à son fils : "Fais ce que voudras. Car les gens libres, bien nés et bien instruits ont par nature un instinct qui toujours les pousse à faits vertueux. »



Pour entamer la lecture qui suit, il est capital de bien définir ce que je nomme l’humanisme dévoyé.


À la base :

  1. Nous sommes des humains et le fruit de la création de Dieu.

  2. L’humanisme (l’humain dans sa création divine) est une volonté de Dieu pour le glorifier et mettre en pratique ses commandements tout en offrant à l’homme et à la femme tout ce dont ils ont besoin afin qu’ils vivent dans l’amour et la Paix sous la protection de Dieu.


Mais il y eut la chute :

  1. Dans le jardin d’Eden, Eve et Adam ont décidé de désobéir à Dieu en mangeant le fruit défendu. Cela a provoqué la mort spirituelle de l’homme et de la femme. C’est à dire qu’il y a eu séparation entre Dieu et l’homme, puisque le péché n’est pas compatible avec la sainteté de Dieu. L’Esprit de Dieu a quitté l’homme et la femme. L’homme, livré à lui-même, doit depuis composer avec le péché provenant du fruit de la désobéissance (de l’arbre de la connaissance du bien et du mal).

  2. L’humanisme originel, créé pour être en synergie avec Dieu, s’est alors transformé en un humanisme sans Dieu, sorti de ses rails divins. La créature est devenue DÉVOYÉE.

  3. À la naissance, chaque être humain est un humaniste dévoyé, puisqu’il est le descendant direct d’Adam et Eve.

  4. Chaque être humain est différent et agira selon sa nature dévoyée. Certains seront MODÉRÉS et d’autres seront dans l’EXTRÊME. Mais quoiqu’il en soit, personne n’échappe à son état de pêcheur.

  5. Jésus est venu sur la terre afin de sauver son peuple de la damnation. Il est le seul qui a le pouvoir de sauver les hommes et il le fait au moyen de sa grâce. Il est le médiateur entre Dieu le Père et l’homme.    


Le monde vit dans la confrontation


Il y a de fait, confrontation (nous aborderons ce sujet au chapitre 4) entre l’humanisme dévoyé et le christianisme désirant ne faire que la volonté de Dieu. Entre l’homme pêcheur, qui se pense être un petit dieu, et Dieu, créateur de toutes choses et de sa créature. Cette confrontation est très souvent proclamée dans les écritures bibliques, qui contiennent un nombre incalculables d’actions humaines contre Dieu. Toutefois, la parole de Dieu, rappelons-le, n’est pas l’expression écrite de la pensée dévoyée humaine mais bien celle spirituelle de l’Esprit divin. N’en déplaise à ceux qui pensent le contraire. La parole de Dieu est de Dieu, lorsqu’on analyse scrupuleusement sa pertinence dans ce qu’elle annonce et les faits qui répondent à ces mêmes annonces. Les prophéties bibliques sont suivies des actes avec des périodes pouvant aller à quelques centaines, voir des milliers d’années. C’est pourquoi, la parole de Dieu est à étudier et méditer dans son ensemble, en prenant soin de prendre en compte le contexte dans lequel chaque livre a été écrit. La parole de Dieu est prophétique, chronologique, contextuelle et providentielle et cela est prouvé tout au long de son message. Ce qu’elle annonce se produit. Oui, ce sont des hommes qui l’ont écrite, mais en l’étudiant vous découvrez le puzzle parfait de l’Esprit de Dieu qui parle au travers de la bouche de ces hommes. D’ailleurs, si Dieu ne s’exprimait pas dans notre langage, comment pourrions nous l’écouter, le comprendre et appliquer ses commandements ? Bien malin celui qui peut répondre à cette question. Et dans ce cas, remercions Dieu de nous permettre de le recevoir dans notre nature et langage.


Pour la confrontation entre humanisme dévoyé et christianisme, commençons par les 10 commandements pour illustrer mon propos :


Exode 20:3 à 17

1 - Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face.

2 - Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements.

3 - Tu ne prendras point le nom de l’Eternel, ton Dieu, en vain ; car l’Eternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain.

4 - Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Eternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l’Eternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s’est reposé le septième jour : c’est pourquoi l’Eternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié.

5 - Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Eternel, ton Dieu, te donne.

6 - Tu ne tueras point.

7 - Tu ne commettras point d’adultère.

8 - Tu ne déroberas point.

9 - Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.

10 - Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.


Avec les dix commandements, Dieu exprime parfaitement ce qui revient à l’humain et ce qui revient à Dieu. Nous constatons que Dieu désire que l’homme le glorifie lui et lui seul. L’homme, quoi qu’il fasse, dépendra toujours de Dieu.


Les quatre premiers commandements sont réservés pour Dieu et les six derniers commandements à la responsabilité de l’homme vis à vis de son prochain. Mais ce qu’il nous faut comprendre dans l’ordre établi par Dieu, c’est que les commandements qui concernent l’humain sont dépendants dans leur ensemble des quatres premiers qui sont pour Dieu. Être humain est totalement lié à Dieu dès la création. Avec l’évocation des 6 derniers commandements, Dieu déclare que l’homme a une responsabilité qui est celle de ne pas commettre de tels actes, et dans le même temps, cela évoque les faiblesses de la nature humaine. Dieu est placé en priorité pour bien insister sur le fait que si l’on ne s’appuie pas sur lui, nous serons incapables d’appliquer les 6 derniers commandements à cause de notre  faiblesse humaine. Et c’est se qui se produisit tout au long de l’histoire.   


Dans les dix commandements, la place de Dieu et de l’homme sont très claires, l’homme créé par Dieu est tenu en Esprit (et non par sa propre chair) de :

- Mettre Dieu à la première place en l'adorant, lui et lui seul. En ne faisant aucune représentation et en ne se prosternant devant acune d'entre elle, en n’utilisant pas le nom de Dieu en vain et en mettant à part le 7ème jour pour adorer Dieu et se reposer.

- D'aimer son prochain en honorant ses parents, et en s'abstenant de tuer, de commettre d’adultère, de voler, de tromper, de mentir et de convoiter.


Nous avons ici la description de la responsabilité qui incombe à l’homme envers son prochain et envers Dieu, son créateur, maitre et souverain. La chute provoquée par Satan fera exploser l’ordre divin, plaçant l’homme dans une position d’opposition à Dieu. C’est alors que Dieu enlèvera son Esprit de l’homme.


L’homme a bafoué l’ordre divin dans le jardin d’Eden avec les conséquences qui s’en suivent.


La désobéissance dans le jardin d’Eden a 2 conséquences :

- Premièrement, la séparation de Dieu qui est Saint et qui ne peut contenir en son sein le mal. Dans son amour infini, il avait prévenu Adam et Eve de ne pas manger de l’arbre de la connaissance, car cela infecterait leurs âmes pour toujours. Cet arbre représentait d’ailleurs les limites humaines à ne pas franchir en comparaison à l’infinie grandeur de Dieu.

- Deuxièmement, avec le développement du mal charnel, qui est le péché de la chair, coupé de la partie sainte de Dieu, Il ne reste à l’homme qu’un hyper humanisme dévoyé (sorti de sa route) qui prend toute sa place et va gravement défaillir dans l’application des 6 derniers commandements, comme nous l’avons évoqué un peu plus haut. Séparé des 4 premiers commandements , c’est à dire de Dieu, l’homme sera livré à lui-même.


La séparation d’avec Dieu mène à la dépravation de l’homme et à la création de : L’HUMANISME DÉVOYÉ !

C’est bien là que les choses se corsent, parce que les humanistes dévoyés, séparés du Dieu de  l’univers, vont de tous temps se tourner vers d’autres dieux, afin de se glorifier eux-mêmes et de vivre dans un monde coupé de la sainteté du créateur. C’est l’humanisme dévoyé (hors de son contexte divin) qui remplace l’humanisme créateur qui unissait l’homme à Dieu.


La parole de Dieu, qu’on le veuille ou non, révèle l’origine de l’humanisme dévoyé dans ce qu’il est au plus profond :

  • Centré sur lui

je vis pour moi, pas pour un Dieu, je suis à l’image de Dieu

  • Individualiste

je suis mes raisonnements et je ne m’appuie pas sur la parole de Dieu

  • Auto-suffisant

je sais que je ne suis pas parfait, mais cela me suffit largement et les autres ne sont pas mieux

  • Opposé au Dieu créateur

beaucoup d’humanistes religieux croient en un dieu à leur image, et non au Dieu unique de la création

  • Jouant sans cesse avec le bien et le mal

« c’est bien naturel » comme ils disent, « c’est notre nature »

  • Acceptant la corruption

« pour mes propres intérêts, très souvent je cède à la corruption »


Depuis la chute, tous les êtres humains héritent de cette nature, ils sont dans cet humanisme dévoyé, sortie des rails divins. En conséquence de la chute, ils se sont détournés totalement du créateur et organisent leur propre monde sans chercher à savoir d’où ils viennent, qui ils sont et où ils vont. Cela est le résultat d’une jungle qui met en lumière le désordre humain dans toute sa dépravation :


  • Chacun est exclusif (Il n’appartient pas à la création divine, mais à l’évolution de la matière).

  • Pour ceux qui croient religieusement, ils n’acceptent pas la pleine et entière souveraineté de Dieu.

  • Chacun se revendique de fait, propriétaire de sa propre vie sans en connaitre l’origine réelle.

  • Chacun a sa propre vérité (c’est la naissance du post-modernisme qui rend les nations ingouvernables et victimes de régimes autoritaires)

  • Hommes et femmes n’ont aucun lien en commun (la femme n’est pas tirée de la côte de l’homme)

  • La Bible est une invention purement humaine pour les faibles


Centré sur lui, l’homme se développe selon lui, avec ses limites et ses travers. Il peut produire de très bonnes choses, mais il peut aussi, dans sa nature déchue, en produire de très mauvaises. Coupé de l’Esprit de Dieu qui est la source de sa création, il dérive sur un océan violent qui l’engloutit petit à petit, sans jamais savoir pourquoi il est né, qui il est et quelle est sa destination. Dérivant dans un radeau de survie, qu’il soit riche, pauvre ou incrédule, il est très souvent seul, sans même s’apercevoir qu’il se perd. Beaucoup vous diront cependant, qu’ils ne se perdent pas et que leur vie a un sens parce qu’ils y réalisent de grandes choses et possèdent des biens. Ils sont souvent les dominants, parfois les élites de ce monde et d’autres seront dans une angoisse permanente, dirigés par des évènements, des régimes ou des circonstances qui les entrainent vers le fond, ce sont les dominés. C’est la réalité d’un monde composé de dirigeants dominants et de peuples qui leurs sont soumis. C’est la vie de l’humaniste dévoyé qui se veut libre, dans un univers manipulé par Satan. « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! » . Même si la mort et la peur de souffrir hantent les uns et les autres, qu’à cela ne tienne, ils sont humains « dévoyés » et fiers de l’être, sans aucune reconnaissance pour celui qui les a créés. L’égo démesuré de l’humaniste dévoyé fait qu’il s’auto-détruit étant donné qu’il se prend pour Dieu et refuse d’accepter sa véritable identité. Après cette longue introduction, parcourrons l’état de cette humanité dévoyée.







C H A P I T R E  1

LA SÉPARATION ENTRE DIEU ET L’HOMME




Quels ont été les 4 premiers actes d’humanisme dévoyé après la chute dans le jardin d’Eden ?


Genèse 3:6 à 13

La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea. Les yeux de l’un et de l’autre s’ouvrirent, ils connurent qu’ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s’en firent des ceintures. Alors ils entendirent la voix de l’Eternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l’Eternel Dieu, au milieu des arbres du jardin. Mais l’Eternel Dieu appela l’homme, et lui dit : Où es-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Eternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. Et l’Eternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé.


Le premier acte est LA DÉSOBÉISSANCE

Eve décida de manger de l’arbre alors que l’Eternel avait commandé dans Genèse 2:16 à 17 « L’Eternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras ».


Le second acte est L’INCITATION À LA DÉSOBÉISSANCE 

« Elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea ». 

Eve influence Adam au mal


Le troisième acte est L’ACCUSATION

« La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. »  En clair Adam accuse sa femme mais, et en aucun cas reconnait ses torts.


Le quatrième acte est LE MEURTRE 

La mort d’un frère sur son propre frère.

Genèse 4:8 Cependant, Caïn adressa la parole à son frère Abel ; mais, comme ils étaient dans les champs, Caïn se jeta sur son frère Abel, et le tua.


Avant ces 4 évènements purement humains, coupés de Dieu, quelle était la situation sur un plan strictement divin ?


Revenons à l’écriture dans le livre de la Genèse avec les étapes successives de la création.

L’Eternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant. L’Eternel Dieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Eden pour le cultiver et pour le garder. Puis l’Eternel Dieu planta un jardin en Eden, du côté de l’orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé. L’Eternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l’arbre de la vie au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal. L’Eternel Dieu dit : Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme. Et l’homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair ! on l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair.L’homme et sa femme étaient tous deux nus, et ils n’en avaient point honte.


Que pouvons-nous retenir de la vie avant la chute, avant que l’esprit humain dévoyé ne désobéisse et soit infecté par le virus du péché ?


Voici l’ordre divin :

  1. La vie est soufflée par Dieu

  2. L’homme est créé par Dieu

  3. L’homme a une mission : Cultiver et garder les richesses de la terre offerte par Dieu

  4. Dieu a mis à la disposition de l’homme tout ce dont il a besoin pour être en paix et heureux

  5. Dieu vit qu’il n’était pas bon pour l’homme d’être seul

  6. Dieu créa la femme de la côte de l’homme parce qu’il ne peut se suffire à lui-même

  7. L’homme et la femme seront unis dans une même chair, un même Esprit.


Avant la chute, le péché n’existait pas et l’homme et la femme disposaient de tout afin de vivre dans la paix et l’abondance. Dieu ne les enfermaient pas dans un rôle d’esclave robotisé, mais au contraire, il créa tout afin qu’ils puissent en disposer et vivre heureux pour toujours. À la fois, du côté divin : en jouissant de sa présence et de toutes ses richesses et du côté humain : doté d’une intelligence et d’une extrême autonomie afin d'être heureux et vivre pour la gloire de Dieu. La vie originelle est à la base divine et un délice, car Dieu pourvoit à tous les besoins de l’homme. Seule et unique restriction : ne pas manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Par Amour, Dieu nous démontre qu'il est un père et qu'il nous laisse la liberté de lui obéir tout en nous prévenant du danger et des risques de mort si nous lui désobéissons. Car si il n’y avait pas d’arbre, de frontière sécuritaire et protectrice, nous serions tous des robots ; mais avec l’arbre, nous avons été prévenus. Quoiqu’il en soit, ce n’est pas Dieu qui a croqué le fruit défendu, c’est bien la femme et l’homme.


Revenons à l’humanisme divin (selon Dieu).


L’humanisme est au programme divin afin de conjuguer à la fois une vie de liberté et de Sainteté totale. L’humanisme divin est la création de Dieu dans une dimension et une frontière à ne pas dépasser. L’humanisme selon Dieu est ce vent de liberté pour sa créature et le divin est l’assurance de la Sainteté. Le tout forme la perfection de Dieu. Séparez l’humain du divin et l’ensemble de l’édifice s’écroule. Cet alliage divin va malheureusement se transformer pour laisser place à la dépravation totale de l’homme et de la femme, qui se manifestera pas la désobéissance aux commandements de Dieu.

La question qui est souvent posée est : « pourquoi Dieu créa l’arbre de la connaissance du bien et du mal si il savait que sa créature allait y manger ? »

Il y a 3 raisons essentielles :


1 -  L’homme n’est pas Dieu

Premièrement, nous ne sommes pas Dieu et nous sommes extrêmement limités, même si nous avons de grandes capacités. Comme la parole le précise, nous sommes à l’image de Dieu (Genèse 1:27) mais en une infime partie seulement. Ce n’est qu’en Jésus (c’est à dire né de nouveau) que nous pouvons goutter à sa toute puissance. Sans la nouvelle naissance, sans le Saint Esprit, nous ne sommes pas éclairés et équipés pour retrouver l’essence de notre nature originelle. C’est dans le domaine du surnaturel que cela s’opère et se confirme par un changement radical. Adam et Eve vivaient dans l’Esprit avant la chute mais depuis, c’est fini. Il faut l’intervention divine et seule la grâce de Christ peut nous sortir de l’esclavage du péché et revenir à la sainteté de Dieu. Les humanistes dévoyés qui utilisent l’argument de « l’homme créé à l’image de Dieu », sans prendre en compte la chute et la séparation, sont des imposteurs.

Cette limite d’image et de nature, Dieu la définie avec une frontière, comme nous l’avons évoqué, à ne jamais franchir et qui s’appelle « l’arbre de la connaissance du bien et du mal ». Dieu a prévenu que si l’homme en mangeait, il mourrait. C’est à dire qu’il serait coupé de la présence de Dieu et livré à lui-même. En faisant cela, Dieu prévient l’homme que s’il transgresse ce commandement, il démontre ainsi qu’il n’a plus besoin de Dieu et qu’il considère avoir la capacité et le pouvoir de prendre sa place. Les conséquences qui en découleraient seraient alors terribles pour lui. C’est le chemin terrifiant de la dépravation que nous constatons aujourd’hui en 2024 et qui a démarré suite à la chute. Il faut cesser d’accuser Dieu avec cet arbre, reconnaissons plutôt l’homme et la femme  coupables d’avoir trahi celui qui leur avait tout donné.


2 - Dieu n’est pas totalitaire

Deuxièmement, Dieu n’est pas un horrible dictateur qui s’impose à sa créature. L’homme a été créé pour être participant et libre de ses actes sur la terre et dans l’univers. L’homme et la femme sont dotés d’une âme et d’une intelligence pour être totalement autonomes et jouir de toute la richesse de Dieu. L’homme et la femme ont également reçu la capacité et les moyens naturels et spirituels pour communiquer et vivre avec et pour Dieu. La créature dépend de son créateur, qui  les prévient par amour, des risques irréversibles qu’elles encourent si elles désobéissent et décident de s’associer au mal. Si Dieu n’avait pas placé l’arbre de la connaissance du bien et du mal, combien ses détracteurs s’empresseraient de dénoncer son sectarisme et son totalitarisme, ayant réduit l’homme à l’état de robot. Après tout, en tant que créateur et souverain, il aurait parfaitement pu en décider autrement. L’homme n’étant pas Dieu, il fallait en définir la limite et c’est ce que le Seigneur a réalisé dans sa perfection.


3 -  L’homme est vulnérable

L’homme étant autonome à l’origine, a la possibilité de choisir et il va le faire en désobéissant. Dieu a mis un garde fou tout en sachant que l’homme allait le contourner. Pourquoi Dieu savait que l’homme le contournerait ? Parce que l’homme n’est pas Dieu, mais simplement à l’image de Dieu et par conséquent imparfait. Le créateur savait que sa créature ferait cette sortie de route (nous l’avons évoqué, l’homme n’est pas Dieu) et qu’il lui faudrait passer par la rédemption avec son Jésus, son Fils. Ce n’est pas, comme certains le pensent, du cynisme de la part de Dieu que d’avoir créé l’homme sachant qu’il serait tombé, au contraire, nous ne pouvons que louer Dieu pour son amour, sa prévention et le sacrifice de son fils pour la rédemption. Cela est prouvé et va s’appliquer par la nouvelle alliance en Jésus, son fils unique, qui sera crucifié et ressuscitera pour le salut de son peuple. Le coupable n’est pas Dieu, mais l’homme ! De grâce n’inversons pas les rôles !

Dieu étant saint et incompatible avec le péché, il n’a eu d’autre choix que d’être juste envers son commandement car il ne peut se renier. Et dès que le péché est entré dans le monde, l’Esprit Saint s’est retiré de l’homme et a entraîné toutes les conséquences que nous connaissons. Toutefois le Seigneur, dans sa compassion et son amour, laissera sa créature vivre par la chair. C’est ainsi que l’homme et la femme, séparés de l’Esprit Saint, décideront de développer leur humanisme « dévoyé » (l’homme, voulant être son propre maître, s’est même séparé de Dieu). C’est ici la fracture entre Dieu et l’homme qui produit LA SÉPARATION.

Oui, Dieu savait que la chute serait inévitable (car la créature n’est pas le créateur), mais par amour, il a tout fait pour prévenir sans imposer une dictature existentielle. Il offrira ensuite en sacrifice, son fils, afin de sauver son peuple de la géhenne.


La grande question se pose alors : Dieu veut-il tous nous sauver ?  Cette question est au coeur de l’église. Depuis 30 ans, je parcours la Parole de Dieu, c’est devenu depuis des années mon quotidien et elle est claire sur le fait que nous devons annoncer la parole de Dieu, la proclamer à tous mais que seul Dieu décide de qui il veut sauver. Notre nature d’humaniste dévoyé n’a aucun désir de suivre Dieu. Si c’était le cas, la croix n’aurait pas de sens réelle. Ce sujet est délicat et je vous invite à aller en profondeur pour aborder la souveraineté de Dieu, qui est la réponse à cette question sur le salut des âmes. Il y aura peu d’élus et Jésus nous informe de cette triste réalité : trouverai-je encore la foi à mon retour (Luc 18 verset 8)


Relevons quelles sont les conséquences de la désobéissance dans Genèse 3:9 à 24

Mais l’Eternel Dieu appela l’homme, et lui dit : Où es-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Eternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ; L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. Et l’Eternel Dieu dit à la femme: Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé. L’Eternel Dieu dit au serpent: Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. Il dit à la femme : J’augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi.Il dit à l’homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre : Tu n’en mangeras point ! le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l’herbe des champs. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière. Adam donna à sa femme le nom d’Eve : car elle a été la mère de tous les vivants. L’Eternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. L’Eternel Dieu dit : Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre de vie, d’en manger, et de vivre éternellement. Et l’Eternel Dieu le chassa du jardin d’Eden, pour qu’il cultivât la terre, d’où il avait été pris. C’est ainsi qu’il chassa Adam ; et il mit à l’orient du jardin d’Eden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l’arbre de vie.


Nous avons ici le point de départ de l’humanisme « dévoyé » qui rejette Dieu, et les conséquences qu’il entraine en matière de condition humaine avec, depuis des milliers d’années maintenant, les dégâts terribles qui mènent à sa perte. Car la chute de l’homme, causée par un désir de gérer sa vie en écartant son créateur, est aussi et surtout la porte ouverte à un nouveau chemin, celui de l’enfer. Il n’y a que 2 chemins possibles : la vie éternelle ou l’enfer, soit, une vie humaine dévoyée où règne la loi du plus fort avec une société qui s’autodétruit, soit la vie sainte où règne Christ, le roi des rois, couronné par sa parole, la vérité et son Esprit saint, réservant un avenir éternel et une demeure dans le Royaume de notre père créateur.

Cette affirmation fait rire beaucoup de païens qui rejettent catégoriquement le chemin de la sainteté et c’est leur choix. J’étais de ceux là, mais ma rencontre avec Jésus (recevant sa grâce il y a plus de 30 ans) m’a révélé par sa parole et son Esprit, que mon état d’humaniste dévoyé et forcené m’emmenait droit en enfer. Mon âme remplie de doutes, effrayée à l‘idée de mourir, marquée par une vie inconstante, angoissée et jamais satisfaite, ne m’apportaient que du tourment. C’est face à ce constat existentiel que la repentance fut pour moi l’outil de bascule me faisant passer spirituellement de la mort à la vie, et ainsi m’éclairer sur la grâce imméritée que Jésus m’accordait. J’étais un élu sans le savoir.

Ma séparation d’avec Dieu me rendait aveugle et sourd et m’entrainait dans une spirale infernale de dérives comportementales. Tout cela m’a été révélé par le Saint-Esprit, que Christ m’a envoyé le jour où il décida de m’adopter dans sa grande famille. Sa grâce a été révélatrice de mon état d’humaniste dévoyé, de pêcheur et surtout de sa divinité toute puissante. La grâce s’accompagne de la nouvelle naissance en Esprit qui nous ouvre les yeux sur ce qu’est l’humain sans Dieu. Et à partir de ce nouveau logiciel, j’ai pu mesurer à quel point le diable (le serpent dans le jardin) trompait les humains, pour les entrainer avec lui dans le feu de l’enfer. Cet humanisme dévoyé qui parait si beau, si généreux, si altruiste, est en fait l’arbre séducteur qui cache la forêt du mal qui ne se voit pas et qui pourtant domine les âmes déchues sur toute la terre. Le PLAN DE SÉPARATION DU DIABLE est la cause de tous les maux sur cette terre.


Jésus proclame sa mission concernant notre état et sa puissance divine dans luc 4:18 à 19

« L’Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, (4-19) Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés,"Pour publier une année de grâce du Seigneur. »


Il s’agit ici, pour celles et ceux que Jésus désire sauver, de recevoir la grâce afin que leurs âmes soient libérées du péché de l’humanisme dépravé. Revenu à la maison de Dieu, ces âmes recouvrent la vue sur une vie nouvelle et pourront à nouveau développer un humanisme selon la création de Dieu. Être humain en christ est fondamentalement différent d’être humain sans Christ.  


Après la séparation Dieu nous invite à la réconciliation

Ainsi, dès maintenant, nous ne connaissons personne selon la chair ; et si nous avons connu Christ selon la chair, maintenant nous ne le connaissons plus de cette manière. Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n’imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. Nous faisons donc les fonctions d’ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! 2 Corinthiens 5:16 à 20


Il est essentiel de reprendre ces versets afin de connaitre le coeur de Dieu le Père qui permet à son peuple de se réconcilier avec lui en son fils Jésus. Dans le chapitre qui suit, nous allons aborder les conséquences de la séparation entre Dieu et l’homme. Elles sont terribles et il suffit d’écouter les informations chaque jour, pour constater dans quel monde nous vivons et voir combien l’humanisme sans Jésus est destructeur et effroyablement violent.







C H A P I T R E  2

LES CONSÉQUENCES DE LA SÉPARATION




L’humanisme dévoyé qui rejette Dieu


Allons plus dans le détail de ce que représente l’humanisme dévoyé, séparé de Dieu. Cela nous permet de comprendre et d’identifier en détail l’opposition à laquelle nous faisons face lorsque nous annonçons l’évangile aux païens ou même, tout simplement, nos valeurs chrétiennes. Ce constat de l’état de l’âme humaine est indispensable pour mener le bon combat de la foi, afin de ne pas sombrer dans le découragement et l’isolement et pour ne pas faire de cette époque, la pire de toute, mais juste le reflet de ce que l’âme humaine est devenue depuis la chute.


Important pour votre lecture :

Dans les analyses point par point qui suivent, il est question de faire émerger la nature de notre état de pécheur avant la nouvelle naissance. Nous sommes tous différents et de fait, certains points concernent les uns mais pas les autres. Il ne faut pas faire de chaque point une généralité mais considérer que ce sont des branches pécheresses qui existent. Il y a des modérés et des extrémistes et il faut bien faire la part des choses. Toutefois la Bible déclare qu’il n’y a pas un seul juste sur terre et à la base, nous sommes tous coupables et non victimes.


Commençons maintenant notre analyse avec une perception des origines qui naviguent dans le coeur des hommes dans le plus grand flou !


Pour la grande majorité des humanistes dévoyés, surtout en occident, il n’y a pas de créateur, mais une évolution avec ses éléments naturels, matériels qui dans leur avancée ont développé les espèces et l’homme. L’homme serait le fruit d’une évolution biologique naturelle et pas d’une création divine surnaturelle. C’est la théorie de  Darwin.


Le darwinisme désigne, en son sens strict, la théorie formulée en 1859 par le naturaliste anglais Charles Darwin, qui explique « l'évolution biologique des espèces par la sélection naturelle et la concurrence vitale »


L’humaniste dévoyé ne se pose pas la question de savoir qui a créé l’univers, mais s’approprie sa propre personne comme étant le résultat d’une évolution qui a reçu le pouvoir de contrôler et de diriger sa vie, sans être dépendant de qui ou de quoi que ce soit. La théorie n’est pas dans le "qui" a créé mais plutôt dans le « quoi », dans la matière. L’homme a tous les pouvoirs puisqu’il ne dépend de personne. Il nait, il vit et il meurt sans se préoccuper de l’avant et de l’après, il est autosuffisant dans sa limite et si ses capacités intellectuelles et créatives sont plus développées que les autres, alors il va s’en servir pour exister souvent en dominant sur eux.


Que dire alors de Genèse 2:1 à 9

Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu’il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu’il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu’en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu’il avait créée en la faisant. Voici les origines des cieux et de la terre, quand ils furent créés. Lorsque l’Eternel Dieu fit une terre et des cieux, aucun arbuste des champs n’était encore sur la terre, et aucune herbe des champs ne germait encore : car l’Eternel Dieu n’avait pas fait pleuvoir sur la terre, et il n’y avait point d’homme pour cultiver le sol. Mais une vapeur s’éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol. L’Eternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant. Puis l’Eternel Dieu planta un jardin en Eden, du côté de l’orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé. L’Eternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l’arbre de la vie au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal.



Commençons pas évoquer une première forme de dominance avec la déesse écologie qui sacralise la nature 


Combien aujourd’hui l’environnement est au coeur de très nombreuses décisions : les énergies renouvelables, l’isolation thermique, les panneaux solaires, les pompes à chaleur, la mobilité électrique et la liste serait très longue. Pour les humanistes dévoyés, le réchauffement climatique est l’une des plus grandes menaces planétaires et le totalitarisme écologique s’étend jusqu’à étouffer les agriculteurs, sous le poids de normes Européennes à la solde de multi-nationales assoiffées de profits. Toutes les couches de la population sont touchées pas ce déferlement écologique qui impose sa dictature sous peine de tous mourir de faim, de soif ou de chaleur. La déesse écologie est à l’oeuvre comme une pieuvre dans le monde occidental et cherche à s’étendre partout sur la terre. Nous avons ici un exemple de cette autosuffisance de l’homme qui veut dominer sur la nature. Il ne le pourra jamais, mais qu’à cela ne tienne, il pense pouvoir le faire.


L’humaniste dévoyé admet cependant que la nature est toute puissante et imprévisible, il la déifie même (c’est la déesse terre) en cherchant à la préserver par l’écologie qui devient une religion universelle. L’écologie parle de l’état de la planète, mais surtout pas de l’état de l’âme humaine. Une fois encore, la vie sans Dieu se substitut à Dieu et invente des déesses pour mieux contrôler les âmes perdues. Est-ce à dire que l’écologie est à rejeter ? Non, évidemment, mais cette forme d’écologie déifiée, dominante, excessive, oui ! Il y a tellement d’absurdités et de contradictions avec les désastres écologiques comme les éoliennes ou les batteries électriques, par exemple. Respecter la nature, c’est ne pas chercher à l’exploiter en dehors de ce qu’elle produit.

Tout dans la nature est fait pour que rien ne manque. Le problème n’a jamais été la nature, mais l’homme sans Dieu. Le problème réside dans la nature de l’homme et non dans celle de la terre, dans sa dépravation existentielle (n’ayons pas peur des mots) qui est la cause du non respect des règles dans le jardin qui l’accueille.

On accuse la démographie planétaire galopante, qui serait le fléau principal de l’humanité. Le plan des humanistes dévoyés dominants (les fameuses élites) est de réduire au maximum la procréation pour réduire drastiquement la pollution que produisent les êtres humains. Nous sommes dans une idéologie diabolique qui accuse l’homme d’être la mauvaise herbe de « mère nature » qui désirerait n’accueillir que des élites trans-humanistes et des hommes augmentés. Tout est lié dans l’humanisme dévoyé et la démographie porterait atteinte à l’écologie. Alors bonjour l’avortement et l’euthanasie qui ne sont que les branches de l’infanticide planétaire et de la disparition des malades et des personnes âgées.


L’écologie veut non seulement être au centre de l’humanité, mais aussi tout expliquer par la science et les analyses de ces adeptes scientifiques qui projettent leur propre ressenti sur le présent et l’avenir. Ils savent tout et se prennent pour Dieu. La science est à l’oeuvre avec son cartel d’ingénierie qui enferme petit à petit les peuples dans une prison où les âmes manipulées par les pouvoirs politiques, économiques, écologiques et scientifiques, ne cessent de crier leur détresse. L’écologie en est une branche et tout cela mène au chaos, aux conflits.


Genèse 1:9 à 12

Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l’amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l’herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon.   


Pratiquer l’écologie, le respect de la nature qui nous est offerte, c’est respecter la création et cela passe avant toute chose, avant la science et avant toute expertise, par la reconnaissance de Dieu et de son oeuvre. Il faut simplement appliquer ses codes et la place de chaque élément sur terre et dans l’espace.

Car ce qui est en cause, c’est le péché et non le réchauffement climatique. 

Une fois l’homme à nouveau dépendant de Dieu, nous aborderions la nature et notre modèle de vie d’une toute autre façon. La nature ne se détruit pas elle même, c’est l’homme qui en est la cause. Dieu nous a offert une nature sans norme écologique, mais avec des règles naturelles, qu’en avons-nous fait ?



Passons à une autre opposition faite aux chrétiens : « La Bible et le christianisme, c’est pour les faibles »


Pour bon nombre d’humanistes dévoyés, la Bible n’a aucune valeur autre que le fait qu’elle regroupe de bons principes moraux qu’ils peuvent mettre en pratique. La Bible serait une référence parmi tant d’autres, pour beaucoup, elle est une fable pour enfants et pour les faibles qui y croient. L’humaniste dévoyé pense que ce sont les faibles d’esprit qui se tournent vers Jésus, ceux qui n’ont pas confiance en eux et qui ne se suffisent pas à eux mêmes. Dieu est un refuge pour les paumés en mal de bien être.


Pour eux, la Bible est un livre certes sacré, mais sans plus. Certains se targuent même de connaitre la Bible ou de l’avoir un jour parcouru afin de proclamer haut et fort qu’ils sont au dessus de ce qu’elle représente, puisqu’ils ne la prennent pas pour vérité ou Parole de Dieu. Ce sont d’ailleurs les mêmes qui vous font la leçon sur "les bonnes soeurs" ou curés qu’ils ont fréquentés plus jeunes lors de leur scolarité chez les cathos. En France, être chrétien c’est être catho, ce n’est ni connaitre la personne de Jésus, ni être né de nouveau, ce qu’il ignore d’ailleurs en très grande majorité.  Pour ceux qui ont eu une expérience religieuse catholique, cette expérience leur suffit pour dénoncer l’hypocrisie des hommes et femmes d’églises qui sont souvent pires qu’eux dans leurs comportements. Ils ont le sentiment que la religion est un leurre absolu sans saveur qui manipule les âmes sensibles. C’est pour les faibles ! Ils donnent l’impression pour certains d’avoir rencontré Dieu, mais que ce dernier ne les a pas convaincus de le suivre. Pour eux, Dieu se résume aux enterrements, aux mariages aux baptêmes cathos et à leur relation avec les religieux pré-cités. Il est vrai que l’église catholique n’insiste pas du tout sur la lecture de la Bible et la connaissance personnelle de Jésus. Alors, leur aveuglement est tel qu’ils pensent réellement que la religion n’est qu’un refuge pour les pauvres âmes perdues, les faibles qui n’ont pas la force qu’eux même détiennent. Pour les humanistes dévoyés, Dieu est très souvent assimilé au Catholicisme et de fait, au travers du Catholicisme dans son fonctionnement doctrinal. Ce dernier est depuis très longtemps un repoussoir plutôt qu’une attirance vers la connaissance de Dieu. Ils sont ignorants, car parler de l’Eglise ce n’est pas connaitre Dieu. Je n’ai rien contre la catholicisme, mais je préfère m’atteler à l’évangile de Jésus plutôt qu’à une institution ou à une religion qui prie les saints (ce qui est totalement contraire aux commandements de Dieu).


Hébreux 4:10 à 13

Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses œuvres, comme Dieu s’est reposé des siennes. Efforçons-nous donc d’entrer dans ce repos, afin que personne ne tombe en donnant le même exemple de désobéissance. Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. Nulle créature n’est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte.


1 Corinthiens 1:17 à 21

Ce n’est pas pour baptiser que Christ m’a envoyé, c’est pour annoncer l’Evangile, et cela sans la sagesse du langage, afin que la croix de Christ ne soit pas rendue vaine. Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu. Aussi est-il écrit : Je détruirai la sagesse des sages, Et j’anéantirai l’intelligence des intelligents. Où est le sage ? où est le scribe ? où est le disputeur de ce siècle ? Dieu n’a-t-il pas convaincu de folie la sagesse du monde ? Car puisque le monde, avec sa sagesse, n’a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication.



L’humaniste est une idéologie bien meilleure que Dieu


L’humanisme dévoyé est finalement une idéologie apparentée en quelques sortes à une religion où l’homme est son propre Dieu. Ses branches se déploient, telles que la franc-maçonnerie, la laïcité, l’athéisme et l’ensemble des religions tirées de l’influence du paganisme babylonien. L’humaniste dévoyé devient le plus merveilleux des personnages car il se veut être celui qui pense et aide les autres dans des actions caritatives, écologiques, sanitaires, humanitaires. Il est l’adepte d’une philosophie païenne qui transforme en quelque sorte les dix commandements de Dieu en droits de l’homme dont la genèse démarre en 1789. Les droits de l’homme seront rédigés et signés à Paris le 10 Décembre 1948 avec 30 articles et pas un ne concerne notre créateur.

Les droits de l’homme ne donnent aucun droit à Dieu ! L’homme ne dépend de personne, pour le dévoyé qui est certain d’être une personne importante dans une société qui a besoin de lui et se moque bien de ses origines. Pour les droits de l’homme, on peut croire en un dieu, mais il ne faut surtout pas que cela vienne empiéter sur le terrain de son humanisme qui est le maitre absolu.

Chez les Franc-maçons par exemple, selon le récit d’un de ses anciens membres, il est proclamé que Dieu n’était pas une bonne personne, puisqu’il empêchait l’homme de connaitre le bien et le mal et lui volait son indépendance ( allusion à l’arbre de la connaissance du bien et du mal). Le Diable serait alors le gentil et Dieu le méchant. Quelle substitution diabolique et blasphématoire, sachant que le fait de ne pas manger des fruits de l’arbre de la connaissance du bien et du mal servait à protéger l’homme pour qu’il n’aille pas au delà de ses limites et qu’ainsi il évite le pire : celui d’être infecté par l’orgueil et le péché originel (nous l’avons évoqué un peu plus haut). Qu’à cela ne tienne, Dieu est abjecte et méchant et l’homme, lui, ne ferait jamais une chose pareil. Croire en Dieu est une hérésie, un fantasme. Il faut à tout prix croire en l’homme qui est doté de capacités merveilleuses. Les progrès de la science, les nouvelles technologies et les inventions le prouvent : l’homme est son propre dieu et il y a de fait, plein de petits dieux sur terre. L’humanisme dévoyé est la religion qui, en quelque sorte, crucifie le véritable Dieu, et cela ne sera pas sans conséquences. Dans ce monde impie, les ténèbres humaines valent plus que la lumière divine, qui au fond n’est que fable et balivernes. Au passage, ce ne sont pas les juifs qui ont crucifiés Jésus, mais l’âme des humanistes dévoyés qui réside dans le coeur de tout homme. Il ne faut surtout pas stigmatiser la crucifixion sur le peuple juif (ce qui conduit à l’antisémitisme), mais bien faire porter la responsabilité sur l’âme humaine dans sa globalité, dans sa dépravation et sa détestation de Dieu. Le mal n’est pas sur le tête d’un peuple, il est bien plus profond et spirituel que cela. C’est le coeur de l’homme qui a crucifié Christ.


Romains 1:18 à 22

La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, puisque ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous.


Romains 1:24 à 25

C’est pourquoi Dieu les a livrés à l’impureté, selon les convoitises de leurs cœurs ; en sorte qu’ils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps ;eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen !


On ne se prend pas pour Dieu, mes amis !



L’humanisme dévoyé n’exclut pas la croyance en un dieu qui le sert et le protège


Comme déjà précisé, il y a beaucoup d’humanistes dévoyés qui peuvent être paradoxalement de bons religieux qui croient en un dieu personnel (provenant de leur imaginaire). Ils désirent être les meilleurs des humains et participer au bonheur des autres en étant acteurs de bonnes actions. Ils croient en un dieu sur mesure (catholique, protestant ou autre), là haut dans le ciel, mais refuseraient toute relation avec Jésus. Ils ne connaissent pas la Bible, elle ne les intéresse pas et pour certains l’idée du Saint-Esprit serait même une folie. Les prières de l’humaniste dévoyé-croyant sont toujours intéressées et si son dieu ne le satisfait pas, alors il va le lui reprocher voir pour certains, le quitter.


L’humaniste dévoyé aime la religion qui apporte des réponses à son bien être et à ses besoins. Il ne cherche pas à servir Dieu, il cherche à ce que son dieu le serve. 

Il n’a aucune notion de son état profond de pêcheur (même s’il reconnait ne pas toujours être bon) et de la Seigneurie de Dieu. C’est son dieu à lui, sur mesure, selon ses désirs et sa superstition. Pour l’humaniste dévoyé-croyant, son dieu n’est pas souverain, il est un complément idéal pour lui permettre de devenir quelqu’un. C’est aussi sa garantie anti-enfer qui lui assure un paradis qu’il désire atteindre par ses propres oeuvres charnelles. Oui, beaucoup cherchent un dieu pour leur bien-être et pour s’assurer de ne pas aller en enfer.


L’humaniste dévoyé veut bien croire en un dieu qui lui apporte la bénédiction, le protège et lui offre ce qu’il désire afin d’améliorer sa condition de vie ici bas. Il aime se réfugier chez son dieu protecteur, avec qui il n’a d’ailleurs pas de relation, puisque c’est un dieu inventé, qui lui assure d’aller au paradis, sans condition autre que de tenter de bien se comporter à minima. Pratiquer la religion n’est pas nécessaire et le fameux « croyant, mais pas pratiquant » arrange bien ses affaires. Mais il ne faut pas lui parler de Jésus, de renoncement, de mort à soi-même et du Saint-Esprit, car rien de tout cela ne correspond à sa perception humaniste et égocentrique de dieu. En clair, l’humaniste dévoyé se fabrique son propre dieu sans chercher à  connaitre le véritable et unique créateur. Beaucoup d’entre eux d’ailleurs pensent que la Bible n’est pas de Dieu, mais un livre écrit par la pensée des hommes et non sous l’inspiration de l’Esprit de Dieu. Pour eux, je le répète, le Saint-Esprit est une pure fumisterie sortie de sectes malsaines et dangereuses. Alors oui, beaucoup d’humanistes dévoyés croient, tout en ne supportant pas le véritable et unique Dieu.


Galates 4:8

Autrefois, ne connaissant pas Dieu, vous serviez des dieux qui ne le sont pas de leur nature.


2 Rois 17:28 à 29

Un des prêtres qui avaient été emmenés captifs de Samarie vint s’établir à Béthel, et leur enseigna comment ils devaient craindre l’Eternel. Mais les nations firent chacune leurs dieux dans les villes qu’elles habitaient, et les placèrent dans les maisons des hauts lieux bâties par les Samaritains.


1 Corinthiens 8:5 à 6

Car, s’il est des êtres qui sont appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, comme il existe réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs, néanmoins pour nous il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui sont toutes choses et par qui nous sommes.



Pour L’humaniste dévoyé chacun a sa propre vérité


Nous abordons ici l’un des fléaux qui ravage le plus ce monde. L’humaniste dévoyé est convaincu que chacun a sa vérité et c’est pour cela que le Dieu de la Bible, qui se veut-être l’unique vérité, est pour l’humaniste dévoyé un imposteur moral qui veut s’approprier les âmes pour mieux les contrôler et les abrutir d’une théologie pouvant mieux les dominer. Il y a confusion entre liberté de penser et vérité à vrai dire. Nous avons reçu une intelligence afin de jouir d’une autonomie de penser et d’agir qui constitue le fondement de notre raison, mais ce fondement est-il la représentation de la vérité.


Qu’est ce que la vérité dans le dictionnaire ?


1. Ce à quoi l'esprit peut et doit donner son assentiment (par suite d'un rapport de conformité avec l'objet de pensée, d'une cohérence interne de la pensée) [opposé à erreur, illusion].

2. Connaissance conforme au réel ; son expression (opposé à erreur, ignorance ou à mensonge). Connaître, dire la vérité sur quelque chose.


La vérité pour l’humanisme dévoyé se rapporte à sa cohérence interne de la pensée, à sa façon de voir et d’interpréter quelques chose. C’est forcément une vérité personnelle, mais ce n’est pas LA VÉRITÉ qui dépasse ses propres limites, celle qui régit l’univers, celle qui est incontestable, celle de Dieu, celle qui ne dépend pas de la créature mais bien de son créateur.

La notion de vérité, là encore, est tronquée par la nature orgueilleuse et pécheresse de l’homme dévoyé qui est le champ de toutes les divisions et de tous les conflits dans le monde.

La vérité de Dieu est unique, exclusive, implacable, elle unit son peuple sur une base qui offre la paix de l’âme, l’amour et l’espérance dans la foi. Elle est le contraire de milliard de fausses vérités qui divisent et elle nous libère justement de nos chaines conflictuelles limitées qui conduisent le monde à sa perte. La vérité de Dieu, c’est Jésus qui déclare : « Je suis le chemin la vérité et la vie » (Jn 14:6). Il est le seul chemin de vérité saint et pure qui mène au Père de gloire pour jouir de notre résurrection divine. C’est la vérité divine qui efface et éradique toutes les hérésies et fausses routes de la pensée humaine dévoyée que le diable a introduites dans le coeur de l’homme et de la femme. C’est le contraire de la pensée unique maline que les dominants veulent nous injecter comme vaccin de l’âme. C'est la vérité divine qui sauve, guérit et offre la vie éternelle. La vérité divine est le dénominateur commun qui garantit une vie de paix totale. Mais l’humaniste dévoyé ne l’entend pas, il en est incapable de par sa nature séparée de Dieu. Et lorsque l’on ferme la porte à la vérité, on entretient et on développe son contraire, c’est à dire le mensonge. L’incrédulité est de fait, le plus grand des péchés qui nourrit l’ignorance et l’aveuglement. Le coeur endurci de l’homme est son poison mortel.


Oh ! L’humaniste dévoyé ne dit pas qu’il a raison en tout (car il expose une sorte de fausse humilité), mais il propose sa propre vérité et la défend bec et ongle. Il faut le prendre comme il est, c’est sa nature dit-il, sa vérité à lui qu’il revendique fièrement, point barre. Il peut changer d’avis mais il ne veut surtout pas changer de nature, tant elle est pour lui sa boussole existentielle. D’ailleurs le voudrait-il, qu’il ne le pourrait pas. Il lui est impensable, voir insupportable et d’un grand sectarisme, de dire qu’il n’y a qu’une seule vérité, car cela serait contraire à son égo qui désire imposer la sienne. Le fait d’attester que chacun a sa vérité lui permet d’exister et de rester indépendant, car pour lui une seule vérité revient à dire qu’elle est forcément liberticide et totalitaire. Étonnant lorsque l’on sait que les grands penseurs de ce siècle prônent la pensée unique dans une société universel où il faut déconstruire toutes les cultures, afin d’imposer un nouveau monde, chassant tout ce qui s’apparente aux différences. Ah oui, mais j’oubliais qu’ils sont les dominants, pardonnez-moi...


Frères et soeurs en Christ, c’est le grand paradoxe des humanistes dévoyés (dominants élitistes) qui, individuellement, sont attachés comme des sangsues à leur indépendance de raisonnement, tout en souhaitant que tous se rassemblent (les dominés d’en bas) autour d’un même monde idéologique. Comme si des milliers de vérités opposées qui divisent, pouvaient être plus puissantes qu’une seule vérité commune qui unit et répond à tous les problèmes de l’humanité en la faisant vivre dans la paix, l’amour et la Sainteté. Nous constatons chaque jour les dégâts des conflits inter-générations, politico-économiques, sociaux, conjugaux, familiaux sans oublier la lutte des classes, le séparatisme et le racisme. Qu’il est beau le monde des bisounours humanistes dévoyés, avec son lot croissant de violences urbaines, physiques et psychologiques. Mille vérités divisent, alors qu’une seule unit ;  mais cela, ils n’en veulent pas.


Psaume 119:149 à 151

Écoute ma voix selon ta bonté ! Rends-moi la vie selon ton jugement ! Ils s’approchent, ceux qui poursuivent le crime, Ils s’éloignent de la loi. Tu es proche, ô Eternel ! Et tous tes commandements sont la vérité.


Osée 4:1

Écoutez la parole de l’Eternel, enfants d’Israël ! Car l’Eternel a un procès avec les habitants du pays, Parce qu’il n’y a point de vérité, point de miséricorde, Point de connaissance de Dieu dans le pays.


Jean 14:6

Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie.



L’humaniste dévoyé croyant ira au paradis car il ne mérite pas d’aller en enfer


Revenons sur la perception de l’humaniste dévoyé et ses croyances. Il est bien conscient que nous avons une âme, il peut même affirmer, pour la très grande majorité, qu’elle ne mourra pas. Pour le croyant, il est convaincu qu’après la mort physique, il ira dans le paradis de son dieu imaginaire. Le bien et le mal sont acceptés dans son paradis personnel et il ne faut surtout pas le contredire. Son paradis fictif, sans aucun autre repère que les idoles et la superstition, est son refuge anti-enfer qui le rassure pleinement. Pour les humanistes dévoyés athées, ils pensent qu’il n’y a rien après la mort et qu’il faut jouir de la vie à pleine dents le temps de notre éphémère passage ici bas. Cependant plusieurs questions se posent pour les croyants : Si leur paradis accepte les personnes sans aucune différence avec ce qui se passe ici-bas sur terre, alors quel est ce paradis ou les abominations humaines se prolongeraient ? Quel est le prix du salut ? Franchement, si c’est pour retrouver les mêmes dérives au paradis que celles de ce monde terrestre, pourquoi alors parler de paradis ? Ne serait-ce pas plutôt l’infâme mensonge qui serait programmé par le diable pour tromper l’homme, pour l’éloigner de Jésus, de la vérité, de sa repentance et l’entrainer avec lui en enfer ? Je vous laisse juge.


C’est pourquoi l’humaniste dévoyé que nous rencontrons chaque jour de notre vie est un grand moralisateur, il défend des causes sérieuses, des valeurs universelles, ses idéologies, les droits de l’homme, il est parfois acteurs de la politique, de la nation, pour permettre à l’homme de vivre en paix et de jouir de tout ce dont il a besoin. Il rêve d’un monde où tout le monde est beau et gentil, avec une même pensée, celle de vivre ensemble dans le meilleur des mondes. Il se dit extrêmement positif et il pense toujours que tout va s’arranger. Il se trouve bon, il déclare même être religieux en criant qu’il est humain et qu’il est tolérant. Il est le garant d’un paradis exceptionnel où tout le monde a sa place sans aucun prix à payer, le paradis de Polnareff. Il ne croit pas au Royaume de Dieu biblique et ne veut pas en entendre parler, mais il est à fond dans son paradis imaginaire. Il mélange amour et complaisance, vérité et lâcheté pour plaire aux hommes. Oh, que tout cela est bien différent de la vérité de Dieu.


1 Corinthiens 6:9 à 10

Ne savez-vous pas que les injustes n’hériteront point le royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, (6-10) ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n’hériteront le royaume de Dieu.



Pour le commun des mortel, le Dieu de la Bible est un Dieu méchant qui divise


L’humaniste dévoyé-extrême pense être bien meilleur que le Dieu de la Bible car il considère que ce dernier fait de la discrimination en accusant les humains d’être des pêcheurs. Cet humaniste dévoyé se targue de n’accuser personne et de tolérer tout le monde. Il accepte le mal comme une évidence, comme une fatalité ; il reconnait ne pas être toujours bon, mais il n’est pas si mauvais que cela et de toute façon, c’est sa nature, il faut le prendre comme il est, il ne peut pas changer, n’est-ce pas ?


Il va toujours défendre sa cause en moralisant son discours alors même qu’il ne connait pas la Parole de Dieu et de fait, la vérité incontestable. Il va mettre en avant ses bonnes actions et reprocher à Dieu (qu’il ne connait pourtant pas ) de ne pas intervenir pour établir la paix sur terre. Il ne parle de Dieu que pour lui reprocher de ne pas agir contre les injustices et les violences de ce monde. Il ne comprend pas pourquoi (incrédulité et ignorance) Dieu laisse faire alors qu’il aurait soit disant, la toute puissance. Pour lui, l’homme est un super héros qui a le pouvoir d’apporter la paix et des solutions, à l'inverse de Dieu qui condamne et accuse les humains. Dieu serait le diviseur, à travers les différents courants religieux contradictoires qui sont à l’origine de tous les conflits et de toutes les guerres. L’homme dévoyé devient le grand justicier de ce monde et Dieu serait le refuge des faibles et des illuminés. En fait, il confond Dieu (qu’il ne connait pas) avec les religions (comprenant mêmes certaines qui parlent de Jésus) qui n’ont rien à voir avec le véritable évangile. Il confond l’église dans sa forme religieuse et la relation que demande le Dieu de la Bible.   


Il mélange, à cause d’un manque profond de connaissance, la religion avec ses principes et ses traditions charnelles, sans se soucier le moins du monde de la personne de Jésus qu’il rejette avant même de prendre connaissance de qui il est. Il rejette l’idée de la rédemption, de la résurrection et de fait, annule l’existence du Dieu créateur. Et pour lui, s'il y avait un Dieu, il devrait être à son service et non l’inverse. Comme la déchéance humaine se déploie sur terre, il pense que s’il y avait un Dieu, il serait forcément très méchant puisqu’il laisse le monde partir à la dérive. Dieu est cruel et sans coeur, mais lui est tolérant et bon. Il veut un dieu à son image ! Quelle terrible inversion que cette pensée diabolique qui cache la vérité sur la nature pécheresse de l’âme humaine qui est la seule cause de tous les maux de la terre. L’homme esclave de son péché en vient au point d’accuser Jésus qui, sur une croix à payer le prix pour l’en libérer. Seul Dieu est bon et la Bible le déclare, il n’y a pas un seul juste sur la terre. Dieu ne voulait pas de la séparation d’avec sa créature, c’est elle qui l’a décidée lors de la chute. Lorsque Jésus déclare dans Jean qu’il est venu pour diviser, il ne fait pas référence à sa volonté de créer la division, mais simplement qu'elle sera la conséquence de la vérité et de la sainteté qu’il est venu apporter. Il y a ceux qui vivront la réconciliation par grâce et les autres qui ne changeront pas. Une fois encore, qui a créé la division ? La division n'est que le fruit de la désobéissance provoquée par l’homme et non par Dieu.


Psaume 143:1

Exauce-moi dans ta fidélité, dans ta justice ! N’entre pas en jugement avec ton serviteur ! Car aucun vivant n’est juste devant toi.


1 Jean 4:7 à 9

Bien-aimés, aimons nous les uns les autres ; car l’amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour. L’amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui.



L’humaniste dévoyé est le maitre de sa vie


Fort heureusement, par la grâce commune de Dieu, l’humanisme dévoyé fait aussi de très bonnes choses sur le plan humain. Cela permet de vivre sans que la terre soit un enfer total. C’est même louable, mais notre nature pécheresse se considère comme le seul chemin sans savoir d’où elle vient, qui elle est et où elle va. 


L’humanisme dévoyé se délecte de l’inconnu, du néant et ne se soucie pas de l’âme qui pourtant est son centre existentiel. Il met totalement de coté Dieu, le créateur. Il est incapable d’expliquer comment et pourquoi il est né, mais il pense qu’il est le seul maitre, à bord d’une civilisation qui se divise pourtant en milliards de fausses vérités. La civilisation, sans repère d’un créateur commun, est la source de la décadence de la société, mais cela il ne le voit pas, il veut être le maître de sa vie. Pour beaucoup, la liberté est de faire ce que l’on veut et d’assouvir tous ses désirs. C’est un mensonge destructeur que de penser cela, pourquoi ? Parce que nous n’avons aucun garde-fou et que nos désirs peuvent et sont souvent un aspirateur pour toutes sortes de dérives excessives. C’est très simple à comprendre, un bateau qui navigue sans son capitaine et son équipage échouera inévitablement. Il en va de même pour l’humain, sans son créateur, il ne peut que se perdre définitivement. La liberté n’est pas de faire tout ce qui nous plait, mais de chercher à plaire à Dieu. Pourquoi ? Étant parfait, il nous conduira toujours afin que nous ne tombions pas dans des travers préjudiciables. C’est lui qui mène la barque et il sait comment faire pour nous empêcher de périr et de nous perdre. La liberté est dans la connaissance de la vérité indiscutable, dans la relation avec notre créateur qui nous offre de vivre dans son Royaume où nous avons tout pour être en Paix. Dépendre de mon moi est anti-libérale, car je suis séparé de ma source créative et je navigue à l’aveugle devenant la proie du diable. Mais dépendre de Dieu me garantit une totale assurance d’être protégé et d’être sur le bon chemin. La liberté en Christ devient une assurance sans faille qui conduit au bonheur, à l’amour, à la justice et à la sainteté. La liberté est d’être dans les bras de mon créateur et non orphelin abandonné dans les mains du diable. Personne en fait n’est maître de sa vie, car même la vie ne nous appartient pas.   


L’esprit dévoyé dépend de tout mais pense être libre et maître de tout ! Cette affirmation ("penser être libre de tout") est le plus grand des mensonges que le diable a réussi à imprimer dans l’âme déchue. Il se croit maître de sa vie et élabore des projets pour un avenir qu’il se construit, sans être conscient de ce qu’il est. Et ce qu’il est, il le doit à son créateur. Il n’est pas mauvais, bien entendu d’avoir des projets, mais les projets, la richesse, le pouvoir, la superstition, ne sauvent pas, ce sont des substituts qui nous égarent et nous éloignent de Dieu. De fait, les bons projets sont ceux qui glorifient notre Père, en Christ son fils. Pour l’impie, il n’y a aucune reconnaissance pour son créateur et l’on constate qu’il le déteste et le rejette au point de dire qu’il n’existe pas. Quel est l’homme ou la femme qui peut nous préciser, preuve à l’appui, d’où nous venons, qui nous sommes et où nous allons après notre passage sur terre ? Le scientifique entre alors dans la cour de la pensée humaine pour nous expliquer que c’est l’évolution qui fait son oeuvre sans que l’on puisse en connaitre la source réelle. Darwin est le berceau d’une grande partie de l’humanité dévoyée et Dieu est au fin fond de cet humanisme ténébreux sans coeur ni repères existentiels.


Job 38:2 à 11

Qui est celui qui obscurcit mes desseins Par des discours sans intelligence ? Ceins tes reins comme un vaillant homme ; Je t’interrogerai, et tu m’instruiras. Où étais-tu quand je fondais la terre ? Dis-le, si tu as de l’intelligence.Qui en a fixé les dimensions, le sais-tu ? Ou qui a étendu sur elle le cordeau ? Sur quoi ses bases sont-elles appuyées ? Ou qui en a posé la pierre angulaire, Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, Et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? Qui a fermé la mer avec des portes, Quand elle s’élança du sein maternel ; Quand je fis de la nuée son vêtement, Et de l’obscurité ses langes ; Quand je lui imposai ma loi, Et que je lui mis des barrières et des portes ; Quand je dis : Tu viendras jusqu’ici, tu n’iras pas au delà ; Ici s’arrêtera l’orgueil de tes flots ?



L’humaniste dévoyé trouve normal de rendre justice dans certains cas et de ne jamais pardonner


Combien de fois sommes-nous face à des personnes qui ont un désir de vengeance ? L’humaniste dévoyé est centré sur lui et se nourrit de ce qui édifie sa nature. Il veut satisfaire ses envies, ses désirs, tout autant que ses vengeances, ses amertumes et ses mauvaises actions contre ceux qui lui font du mal. Il est normal pour lui de rendre le mal pour le mal car il faut une justice, sa justice. Oeil pour oeil, dent pour dent ! C’est un gage de puissance .


Il va dans le même temps, toujours mettre en avant son humanité à lui, sa sensibilité émotionnelle afin de montrer qu’il est, lui, le bon samaritain qui défend toutes les causes humanitaires et sociales. Il le fera pour justifier que lui qui est bon, est en droit de condamner celui qui faute. Combien de fois, n’entendons nous pas « Je ne pardonnerai jamais » ? Et cette affirmation est approuvée par ceux qui l’entourent comme une juste réaction, celle de l’homme fort. Le pardon a des limites pour le dévoyé, si toutefois il n’est pas (pour beaucoup d’ailleurs) totalement exclu de leur esprit. Pour beaucoup, pardonner n’est pas un acte fort, c’est souvent plutôt un signe de faiblesse. Il faut avoir de l’orgueil et se montrer plus fort en faisant payer la note. Nous sommes très loin de ce que nous demande notre Seigneur.


Romains 12:16 à 21

Ayez les mêmes sentiments les uns envers les autres. N’aspirez pas à ce qui est élevé, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble. Ne soyez point sages à vos propres yeux. Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes. S’il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère ; car il est écrit : A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur. Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s’il a soif, donne-lui à boire ; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête. Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien.



L’humaniste  dévoyé est très individualiste et en même temps il se revendique altruiste


Il se considère comme une personne responsable, qui n’a de compte à rendre à personne. Dans le même temps, on peut pour certains, les entendre dire qu’ils sont les meilleurs amis du monde, avec un coeur gros comme ça. Ils veulent aussi protéger les autres de ne pas tomber dans le piège de la foi en Jésus, qui pour eux prônent un Dieu qui enfermerait leur âme dans une prison où ils ne seraient plus libres de leurs pensées et actions. Leur individualisme est le sens et le moteur de leur vie, sans se rendre compte qu’ils sont esclaves de leurs désirs.


L’humaniste dévoyé exprime aussi le désir d’aider et d’aimer les autres, il aime le proclamer et c’est là encore le paradoxe avec son hyper individualisme. D’une part, il est centré sur lui et d’autre part, il fait croire que l’autre est aussi important que lui. Il faut avouer que l’entraide est beaucoup répandue dans notre société Française (les associations sont légion), mais elle est une goutte d’eau dans l’océan face au fléau généralisé de l’individualisme. Le chacun pour soi l’emporte de très très loin dans ce monde de plus en plus séparatiste. L’entraide est de fait très communautaire et de moins en moins extra-communautaire. Il faut aussi prendre en compte la motivation qui pousse à aider ou à être altruiste. Est-elle toujours désintéressée ? Toutefois, saluons toutes les actions qui aident et soutiennent les nécessiteux. L’église se doit de participer à l’entraide mais toujours dans le but de sauver les âmes de la perdition et non pour faire bonne figure. L’association « Portes Ouvertes » par exemple, s’emploie à aider et à proclamer l’évangile de Jésus afin de participer, pas seulement au sauvetage humanitaire, mais surtout à celui des âmes perdues. Ne l’oublions jamais, le salut concernant notre âme, pas notre corps.


Matthieu 19:19

tu aimeras ton prochain comme toi-même.


1 Pierre 1:22 à 25

Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité pour avoir un amour fraternel sincère, aimez-vous ardemment les uns les autres, de tout votre cœur, puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu. Car Toute chair est comme l’herbe, Et toute sa gloire comme la fleur de l’herbe. L’herbe sèche, et la fleur tombe ; Mais la parole du Seigneur demeure éternellement. Et cette parole est celle qui vous a été annoncée par l’Evangile.

  

Les commandements de Dieu sont remplis de compassion pour le prochain, ce qui s’oppose à l’esprit individualiste et égoïste. Travaillons à proclamer l’évangile dans ce monde de ténèbres.



L’humaniste dévoyé se veut parfois plus religieux que le chrétien


Combien de fois dans mes rencontres, je constate que beaucoup sont adeptes (nous l’avons vu) de religions aux dieux qui leur conviennent. Pour certains, Ils sont même à l’oeuvre dans le programme œcuménique des faux chrétiens et des religions périphériques. Ils prônent un coeur élargi à l’universalité spirituelle qui combat ce qu’ils pensent être le coeur étroit d’un évangile qui est une folie pour eux. Ils se croient plus religieux que les enfants de Dieu, nés de nouveaux, qui selon eux, seraient enfermés dans un dogme sectaire et inférieur à leur état de croyance accessible à tous.


Pour certains, se disant croyant en Jésus, le Seigneur est amour mais ne reconnaissent pas que la conversion au salut n’est possible que par la grâce uniquement. Selon eux, la conversion passerait par le désir de l’homme (le libre arbitre) d’accepter Jésus comme sauveur. C’est l’homme qui serait à la décision finale et non Jésus. Le Christ n’est pas leur roi souverain, mais celui qui a eu la bonté de payer la dette à la croix de Golgotha. La Croix du calvaire serait une étape certes importante, la repentance une bonne chose en soi, mais ce ne serait pas du tout l’essentiel. L’homme centré sur lui (individualiste comme nous l’avons vu) est l’essentiel et le fait de prononcer une simple prière devient son visa pour le salut et la vie Eternelle. D’ailleurs, Jésus peut en effet être mort à la croix mais sa résurrection est très souvent contestée. La mort à la croix suffit à démontrer l’amour de Jésus, mais la résurrection pour que l’âme soit changée, c’est une autre histoire. Parler de la  nouvelle naissance à un esprit humaniste dévoyé, même croyant, est une folie. Quoiqu’il en soit, lorsque la grâce a été véritablement offerte par Christ à l’humanisme dévoyé qui se repent de son état de pêcheur dépravé, ce dernier reçoit le Saint-Esprit qui mettra à mort le vieil homme. Il ne reconnaitra pas seulement Jésus, comme son sauveur mais surtout comme son Seigneur. Il reniera sa vielle nature en combattant maintenant le péché plutôt que de l’alimenter. La grâce change radicalement le coeur de l’homme et purifie son coeur, au point de vomir ce qu’il était. On parle de mort à soi-même. Notre mission de disciples de Jésus nous demande d’annoncer l’évangile, car nous sommes participants au sauvetage des âmes. Cela a un prix et lorsqu’une âme reçoit la grâce, alors nous ne pouvons que glorifier notre Seigneur.


2 Pierre 2:1 à 4

Il y a eu parmi le peuple de faux prophètes, et il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduiront des sectes pernicieuses, et qui, reniant le maître qui les a rachetés, attireront sur eux une ruine soudaine.Plusieurs les suivront dans leurs dissolutions, et la voie de la vérité sera calomniée à cause d’eux.Par cupidité, ils trafiqueront de vous au moyen de paroles trompeuses, eux que menace depuis longtemps la condamnation, et dont la ruine ne sommeille point. Car, si Dieu n’a pas épargné les anges qui ont péché, mais s’il les a précipités dans les abîmes de ténèbres et les réserve pour le jugement.



L’humanisme dévoyé développe et entretien de nouvelles idéologies diaboliques telles que le Wokisme, la Cancel culture et la théorie du genre


  • Il y a les extrémistes


L’extrémisme conduit certains à être à fond pour la PMA, l’homosexualité débridé, le mariage pour tous, car le couple homme femme ne serait plus du tout pour lui la source de l’humanité dans la procréation. L’extrémiste est forcément pour l’avortement, qu’il considère comme la liberté pour la femme de disposer de son corps (sans jamais aborder le coté infanticide). Il fait la propagande de la théorie du genre (transgenre) pour les petits enfants dès l’âge de 6 ans, il développe les mouvements féministes radicaux et tolère la GPA, en trouvant très bien d’acheter des enfants à des mères porteuses. Il est pour un multiculturalisme qui veut détruire les cultures des nations, il prêche pour un monde nouveau annulant le culture du passé. Il est à fond pour un monde oecuménique qui représenterait une avancée sociale de civilisation et économique sans précédent. Certains extrémistes sont à fond dans le nouveau logiciel racisé (noirs, blancs, jaunes, gris…) afin de mieux condamnés les blancs colonisateurs. Ils se focalisent sur la couleur de peau (chose abominable) en oubliant que chaque être humain a la même couleur de sang, n’est-ce pas ?


Sans faire de politique, il faut bien admettre que l’extrémiste est majoritairement d’idéologie de gauche radicale, écologiste et à tendance marxiste et communiste. Il aime que l’état prenne en charge les citoyens, son sens politique est porté sur l’accroissement de la dette publique, puisque les services d’état doivent embaucher à tour de bras. Il n’est pas pour l’indépendance, mais pour un contrôle de la population par l’état. Il déteste les riches et veut les faire payer, il se dresse contre le christianisme qui est pour lui une religion raciste, sectaire et d’extrême droite mais il embrasse tout ce qui vient d’un islam politique et radical qui serait victime d’une islamophobie injuste. L’humaniste dévoyé extrême a toujours raison et n’accepte pas d’être contredit. Il est de facto, ce qu’il dénonce faussement chez les autres, c’est à dire extrêmement sectaire, totalitaire, tyrannique et raciste.


  • Puis, il y a fort heureusement l’immense majorité des modérés


C’est la branche principale des hommes et des femmes de ce monde, la branche des personnes  modérées (la très très grande majorité) qui embrassent, pour certains même, la religion catholique. Ils pensent être des gens de bonne éducation et tentent d’être des exemples dans ce monde impitoyable, tout en cultivant avec les personnes extrêmes, des points communs sur l’avortement, l’homosexualité, l’éducation, la théorie du genre et le rejet de Jésus dans l'authenticité de son évangile et de sa souveraineté. Ce sont pour certains, des croyants religieux sincères qui vivent en accord avec le monde tout en déclarant croire en un Dieu d’amour et de Paix. Ce sont des idolâtres qui se mêlent très souvent à des pratiques ésotériques telles que le développement personnel, le yoga, la méditation transcendantale et les religions qui les développent. Ils affichent leurs superstitions avec des bracelets à boules, des pierres sacrées, tout en adressant (pour les religieux catholiques) des prières à Marie, devenue malgré elle la déesse de l’amour et des femmes. Ils croient en un dieu ou plutôt en une déesse, tout en restant maitres de leur vie pècheresse. Ils sont par contre, pour le plus grand nombre, des modérés fort heureusement pour ce monde terrestre.


Tout est permis, dans ce monde totalement en dehors du chemin divin, entre extrémistes et modérés qui vivent sans repère ni vérité et qui s’articulent autour de l’âme humaine qui a rejeté d’une façon ou d’une autre le créateur, Jésus et l’évangile. Et le constat est terrifiant lorsque l’on constate que les gouvernements politiques ne savent plus comment gérer les peuples. Qu’elle est belle notre civilisation d’extrémistes et de modérés, cette société dépravée qui offre tellement de violence et de guerres ! Comme ils sont aveugles et sourds, les humains déifiés et comme cela est navrant ! Comme il est triste de voir les ténèbres recouvrir la terre, mes amis.


Ce constat, Dieu nous le dresse et il serait bon que les âmes en prennent conscience car ce qui est arrivé, arrivera encore et encore, tant l’âme humaine dévoyée est en horreur au créateur qui ne s’associe pas avec le péché. Mais n’oublions jamais que chrétiens nés de nouveau, nous sommes la lumière dans les ténèbres et ne la plaçons pas sous un voile qui l’empêcherait de briller.



2 Pierre 2:1 à 13

Il y a eu parmi le peuple de faux prophètes, et il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduiront des sectes pernicieuses, et qui, reniant le maître qui les a rachetés, attireront sur eux une ruine soudaine.Plusieurs les suivront dans leurs dissolutions, et la voie de la vérité sera calomniée à cause d’eux.Par cupidité, ils trafiqueront de vous au moyen de paroles trompeuses, eux que menace depuis longtemps la condamnation, et dont la ruine ne sommeille point.Car, si Dieu n’a pas épargné les anges qui ont péché, mais s’il les a précipités dans les abîmes de ténèbres et les réserve pour le jugement ;s’il n’a pas épargné l’ancien monde, mais s’il a sauvé Noé, lui huitième, ce prédicateur de la justice, lorsqu’il fit venir le déluge sur un monde d’impies ; s’il a condamné à la destruction et réduit en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, les donnant comme exemple aux impies à venir, et s’il a délivré le juste Lot, profondément attristé de la conduite de ces hommes sans frein dans leur dissolution car ce juste, qui habitait au milieu d’eux, tourmentait journellement son âme juste à cause de ce qu’il voyait et entendait de leurs œuvres criminelles ; le Seigneur sait délivrer de l’épreuve les hommes pieux, et réserver les injustes pour être punis au jour du jugement, ceux surtout qui vont après la chair dans un désir d’impureté et qui méprisent l’autorité. Audacieux et arrogants, ils ne craignent pas d’injurier les gloires, tandis que les anges, supérieurs en force et en puissance, ne portent pas contre elles de jugement injurieux devant le Seigneur. Mais eux, semblables à des brutes qui s’abandonnent à leurs penchants naturels et qui sont nées pour être prises et détruites, ils parlent d’une manière injurieuse de ce qu’ils ignorent, et ils périront par leur propre corruption, recevant ainsi le salaire de leur iniquité. Ils trouvent leurs délices à se livrer au plaisir en plein jour ; hommes tarés et souillés, ils se délectent dans leurs tromperies, en faisant bonne chère avec vous. Ils ont les yeux pleins d’adultère et insatiables de péché ; ils amorcent les âmes mal affermies ; ils ont le cœur exercé à la cupidité.


Contestez-vous ce qui est déclaré ici ? Si c’est la cas, je vous invite de tout coeur à vous repentir car le Royaume de Dieu est proche.


Marc 1:14 à 15

Après que Jean eut été livré, Jésus alla dans la Galilée, prêchant l’Evangile de Dieu. Il disait : Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle.

  


L’humanisme dévoyé et l’inversion de la diabolisation


L’humanisme dévoyé est clairement la contrefaçon de Dieu et de son fils Jésus (un comportement anti-Christ). Il rejette en bloc la création divine telle qu’elle est présentée dans la Parole de Dieu. Les extrémistes anti-Christ s’en donnent à coeur joie, si l’on en juge par la cérémonie des JO ou les apparitions des artistes engagés dans l’idéologie Woke du concours de l’Eurovision. C’est à celui qui sera le plus provoquant sur le rejet du christianisme et de ses valeurs. Comme nous l’avons vu, d’autres s’accordent à vivre leur croyance en un dieu de convenance, avec des traditions religieuses qui leur garantissent de conserver le contrôle de leur vie. Mais nous pouvons aussi constater chez le païen, une forme d’inversion des rôles, en déclarant que la Bible serait un livre écrit par les hommes sans aucune valeur spirituelle. Le Dieu de la Bible serait injuste puisqu’il refuserait aux hommes et aux femmes de manger à l’arbre de la connaissance du bien et du mal (« vous ne mangerez pas de cet arbre »). Ils sont dans la diabolisation la plus totale sans pour autant sans rendre compte, ce qui fait passer le diable pour Dieu et Dieu pour le diable. La dimension de l’Esprit divin leur est étrangère (ils sont aveugles et non éclairés) et de fait, il n’agissent que par la chair dans un univers qu’il ne maitrise absolument pas, mais cela ne les dérange absolument pas non plus. Dieu incarnerait le mal, celui qui interdit tout, qui ne fait rien pour éviter le pire et le diable serait le gentil qui lui laisse tout faire et qui a de la compassion.


Leur ignorance au sujet de l’Esprit et de la parole de Dieu les confinent dans un égo démesuré, qui est le constat de ce que l’histoire humaine nous raconte : La dépravation totale de l’âme et son autodestruction. Avons nous vu un lion tuer un autre lion ? Est-ce dans son ADN ? Et pour l’homme, est-ce aussi le cas ? Force est de constater que l’humanisme sans Dieu conduit à son anéantissement, qu’il soit extrémiste ou modéré. Qui est la bête dans ce cas, le lion ou l’homme ? Ce que le dévoyé ne sait pas, c’est bien que si la grâce commune de Dieu (je ne parle pas de la grâce salvatrice), si sa main n’était pas sur les hommes et les femmes, la terre serait déjà un véritable enfer ! Car si Dieu, après la désobéissance dans le jardin d’Eden, s’est séparé de l’homme et de la femme en Esprit, il n’en a pas moins permis à l’homme de continuer à vivre de façon charnelle sur terre. La Bible retrace le plan de sauvetage actif de Dieu, dans cette continuité pour en arriver à Jésus notre sauveur et Seigneur. Sans cette grâce commune qui n’offre certes pas le salut, les hommes séparés de Dieu en Esprit, tous dévoyés, sortant de leur chemin divin initial, se massacrent sans cesse entre eux. Sans cette grâce divine, nous serions déjà en enfer sur la terre. Comme Dieu est bon, mes amis et comme l’homme est mauvais, de par sa nature déchue et sa haine de Dieu ! L’inversion est la cause de tous les maux sur terre.   


L’humanisme dévoyé condamne très souvent tous ceux qui n’adhèrent pas à ses idées. Il condamne avec fermeté et parfois violence les lois qui portent atteinte à son idéologie restrictive.  Nous voyons émerger de plus en plus dans notre civilisation, des groupuscules qui portent le drapeau de la violence écologique, végane, zadiste, anti-fa (qui pourtant n’a de cesse de se revendiquer super démocratique au service de la liberté). Nous sommes dans l’inversion totale des accusateurs qui sont les plus grands coupables du déséquilibre sociétal.


Combien proclament des hérésies telles que l’immigration controlée étant du racisme d’extrême droite, l’anti avortement et anti euthanasie sont une abomination d’extrême droite, la non acceptation du mariage de personnes de même sexe, c’est un manque total d’amour. Ils se veulent tolérants alors qu’ils n’acceptent pas la moindre opposition. Ils détestent le christianisme, Ils inversent les rôles et se prennent littéralement pour les biens pensants tout en ne supportant pas l’opposition et la soumission à une autorité ou à la vérité divine. Quand je pense que j’étais de cela, je mesure le miracle que le Seigneur a accompli dans mon âme régénérée.


Romains 3:9 à 27 nous livre le fond le l’âme humaine dévoyée et ce n’est pas très réjouissant. Comme la vérité fait mal !

Quoi donc ! sommes-nous plus excellents ? Nullement. Car nous avons déjà prouvé que tous, Juifs et Grecs, sont sous l’empire du péché, selon qu’il est écrit : Il n’y a point de juste, Pas même un seul ; Nul n’est intelligent, Nul ne cherche Dieu ; Tous sont égarés, tous sont pervertis ; Il n’en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul ; Leur gosier est un sépulcre ouvert ; Ils se servent de leurs langues pour tromper ; Ils ont sous leurs lèvres un venin d’aspic ; Leur bouche est pleine de malédiction et d’amertume ; Ils ont les pieds légers pour répandre le sang ; La destruction et le malheur sont sur leur route ; Ils ne connaissent pas le chemin de la paix ; La crainte de Dieu n’est pas devant leurs yeux. Or, nous savons que tout ce que dit la loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit reconnu coupable devant Dieu. Car nul ne sera justifié devant lui par les œuvres de la loi, puisque c’est par la loi que vient la connaissance du péché. Mais maintenant, sans la loi est manifestée la justice de Dieu, à laquelle rendent témoignage la loi et les prophètes, justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n’y a point de distinction. Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. C’est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je, de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus. Où donc est le sujet de se glorifier ? Il est exclu. Par quelle loi ? Par la loi des œuvres ? Non, mais par la loi de la foi.

    


Pour synthétiser sur la séparation entre Dieu et l’homme en Esprit


Qui a créé l’humanité ? Est-ce l’homme ? Est-ce l’évolution darwiniste de la matière ? Ou est-ce le créateur ? La Parole de Dieu nous précise que c’est le créateur et l’étude de la Parole, de manière chronologique tout autant que son contenu théologique, qui nous démontrent que ce qu’elle proclame est arrivé et que rien n’est dû au hasard. Tout est écrit et vrai avec une précision et une perfection qui dépassent nos capacités intellectuelles. Ce qui est écrit se passe et rien ne peut le contredire. Mais cela, la nature déchue de l’humanisme ne l’entend pas. La raison est simple, elle n’est plus éclairée par l’Esprit divin. Comment voir lorsque l’on est dans le noir le plus complet ?


Lorsque le prophète Esaïe, des siècles avant la venue de Jésus, annonce avec une précision chirurgicale comment la venue de Jésus (du Messie) va se passer et qui nous décrit surtout qui est Jésus, alors pouvons-nous encore en douter sans être de mauvaise foi ? C’est pourtant un fait qui est totalement rejeté par les humanistes dévoyés.


Esaïe 53:1 à 12

Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? Il s’est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée ; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n’avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l’Eternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, Et il n’a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n’a point ouvert la bouche. Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu’il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ? On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu’il n’eût point commis de violence Et qu’il n’y eût point de fraude dans sa bouche. Il a plu à l’Eternel de le briser par la souffrance… Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours ; Et l’œuvre de l’Eternel prospérera entre ses mains. A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards ; Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d’hommes, Et il se chargera de leurs iniquités. C’est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands ; Il partagera le butin avec les puissants, Parce qu’il s’est livré lui-même à la mort, Et qu’il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu’il a porté les péchés de beaucoup d’hommes, Et qu’il a intercédé pour les coupables.


Qui peut contester cela sans être de mauvaise foi ? Que ceux qui contestent apportent une réponse tout aussi prophétique précise et parfaite ou alors qu’ils se taisent devant la puissance, la sainteté et l’amour de Dieu. Ce qui est incontestable dans la Parole de Dieu est, premièrement, que ce qu’elle dit, elle le réalise et deuxièmement, elle dépeint parfaitement l’état de l’humanité  sans l’Esprit Divin, dans sa décadence et sa dépravation. La Bible nous livre la véritable identité de l’humanisme qui rejette Dieu. Cette identité se nomme LE PÉCHÉ ! Oui, l’humain rejetant radicalement notre Dieu créateur est un pêcheur qui a violé la constitution divine, trahit Dieu et usurpé son nom. Il est le fruit d’un arbre dont le goût principal est la haine qui produit la mort. La première identité de l’humaniste dévoyé est PÉCHEUR. C’est le nom commun de toute personne qui nait dans ce bas monde, toute sans exception. Il faut ensuite l’intervention de Jésus et de sa  grâce pour naitre de nouveau et ainsi être sauvé et nous sommes ensuite, en tant qu’enfants de Dieu, les participants de ce sauvetage par l’annonce de l’évangile.



Venons-en aux 3 virus existentiels de l’humanisme dévoyé que sont :

L’incrédulité, l’ignorance et l’orgueil


À ce stade de lecture, faisons un petit résumé sur ce que nous venons déjà de voir.


Il est capital de bien cerner l’état de l’âme humaine pour mener le bon combat. Ces quelques lignes précédentes dressent un bilan qui nécessite d’être bien au fait de ce qui s’oppose au créateur et de fait, à ses enfants rachetés. Nous pouvons encore parfois nous étonner de certaines réactions, mais plus nous comprenons le fonctionnement de l’humain après la chute, mieux nous luttons, non pas contre la chair, mais contre les puissances et les dominations des princes de ce monde.


Ephésiens 6:12 à 18

Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté. Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture ; revêtez la cuirasse de la justice ; mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l’Evangile de paix ; prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin ; prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu. Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints.


Frères et soeurs, il est indispensable d’avoir conscience du plan développé par l’ennemi de Dieu qui se manifeste au travers des âmes perdues et de mesurer l’ensemble du détournement d’identité que cela a provoqué depuis la chute dans le jardin d’Eden. Ce que nous venons de lire est la conséquence du péché avec les formes d’oppositions que nous rencontrons dans nos relations portées par l’esprit du monde, lui même infecté par le diable. Il nous faut alors entretenir une discipline de fer dans notre relation avec Jésus et l’étude de la Parole de Dieu pour affronter toutes ces oppositions charnelles et diaboliques, sous peine de tomber dans les pièges du découragement, de la résignation, de la fatalité et de de la compromission. Nous pouvons aussi être tenter pour ne pas choquer, de plaire aux hommes plutôt qu’à notre Seigneur, mais de grâce tenons ferme et ne cédons pas aux sirènes de la tentation maline.


- Nous devons discerner et être plus qu’attentifs pour ne pas nous laisser entrainer dans de fausses doctrines par des faux prophètes. Cette description du monde faite dans ce livre, nous invite à la vigilance, lorsque l’on a affaire à des personnes qui se disent chrétiennes et qui ne sont que des instruments de perversion diabolique.


- Nous devons également ne pas succomber à la pression médiatique et politique qui envahit notre espace publique tout autant que privé. Le diable est très subtile pour nous influencer à débattre sur des sujets de société n’offrant qu’un témoignage qui n’honore et ne glorifie pas notre Seigneur.


- Nous devons ne pas courber sans cesse l’échine face à nos proches et entretenir une forme de compromission pour ne pas affirmer notre position de peur de les perdre.


- Nous devons résister avec sagesse et paix par la foi à toute tentations et plaisirs qui nous éloignent de notre Seigneur.


C’est pourquoi il est bon de faire le point sur l’état de la pensée humaine qui rejette Dieu, afin d’éviter de tomber dans ses pièges. Le monde offre profusion de désirs, de plaisirs, d’appâts pour nous détourner de la vérité et de Jésus. Un homme de guerre déclara un jour que pour gagner la guerre, il fallait d’abord connaitre son ennemi, sa stratégie, ses forces et faiblesses afin de le contrer et de le vaincre. Notre approche et notre combat sont certes spirituels et cependant nous devons être tout aussi vigilants que cet homme. Combien de fois n’ai-je pas constaté chez de nombreux frères et soeurs dans nos assemblées, l’absence profonde de connaissance sur l’évolution des idéologies nouvelles et croissantes qui menacent notre communauté chrétienne dans le monde. Ne plus être du monde est une chose mais nous y vivons, et il est préférable voir indispensable, de savoir comment l’on éduque nos enfants, pourquoi dans plus de 70 pays on persécutent les chrétiens, quelles sont les lois qui restreignent notre liberté de culte. La connaissance de l’évolution de la société dans sa dépravation est capitale pour être préparés et prêts lors de nos échanges. Nous sommes entourés d’opposition que nous venons de lire et le constat continu dans ce qui suit, mais sachons avec assurance et foi que notre Père est au dessus de tout et que rien ne pourra jamais nous ravir de sa main.



Poursuivons notre constat avec les 3 virus du dévoyé


Beaucoup ne le savent pas, mais le pire péché est l’incrédulité, c’est à dire ne pas croire en l’existence de notre créateur. Le pire poison pour l’homme, c’est l’ignorance, celle de pas connaitre Dieu, son fils Jésus et sa Parole vivante. Enfin, le plus grand des fléaux qui ravage l’âme humaine, se nomme l’orgueil. L’orgueil est le poison qui rend les gens idolâtres, incrédules, ignorants et méchants.

L’homme n’est rien sans Dieu, mais il se croit tout et se pense être quelqu’un de bien. 

L’orgueil l’entraine dans une spirale qui l’emmène droit en enfer. Rien que le fait de penser qu’il détient souvent la vérité est le signe d’une dérive excessive dominante sur les âmes humaines. C’est une attitude malsaine qui aboutit à des régimes totalitaires, sectaires, séparatistes, dictatoriaux qui depuis des siècles pourrissent la vie des gens et les détruit, soit physiquement par la guerre ou mentalement par des dictatures qui anéantissent l’âme humaine. Ces régimes sévissent depuis des siècles et même s’ils ne perdurent pas, ils se répètent sans cesse. C’est l’état de perdition de l’âme humaine qui est esclave du péché et ne peut faire autre chose que de renouveler ce qui l’anime : LE PÉCHÉ !


Voilà pourquoi nous parlons d’humanisme dévoyé :


Sans la nouvelle naissance, une personne entretient et développe le péché, elle est séparée de Dieu. Elle le manifestera de façon MODÉRÉE ou EXTRÊME, mais chaque personne est PÉCHERESSE devant l’Eternel. Seule la grâce salvatrice de Jésus peut la sauver de son état d’esclavage qui la mène en enfer.


L’humanisme rejetant Dieu, c’est :


  • L’homme qui veut diriger la terre et conquérir l’univers, sans tenir compte de l’ordre divin et de celui qui régit cet ensemble infini qui le dépasse.

    Il est incrédule.


  • Cette utopie qui lui fait croire qu’il est le maître du monde et qu’il n’a de leçon à recevoir de personne. C’est le refus de connaitre autre chose que ce qu’il est.

    Il est ignorant.


  • L’homme qui refuse de se tourner vers Dieu en proclamant qu’il n’a besoin de personne.

    Il est orgueilleux.


  • L’homme qui dit aimer et être tolérant, mais qui ne supporte pas qu’on le contredise et qui rend le mal pour le mal.


  • Être inconscient de son propre état et croire être au dessus de Dieu. C’est aussi être totalement enchainé et esclave d’une nature qui ne lui offre aucun autre chemin que la mort éternelle.



La Parole de Dieu nous déclare la vérité suivante et qui peut la contester ?


1 Corinthiens 4:7

Car qui est-ce qui te distingue ? Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? Et si tu l’as reçu, pourquoi te glorifies-tu, comme si tu ne l’avais pas reçu ?


C’est ici un avertissement  sur l’orgueil que transforme cette vérité en :

« Ce qui me distingue, c’est que je suis performant, généreux, tolérant et que cela me permet d’exister ! »



Très important


Sans la nouvelle naissance, toute personne est  dévoyée, c’est à dire séparée de Dieu.

Elle le manifestera de façon MODÉRÉE ou EXTRÊME, mais chaque personne est PÉCHERESSE devant l’Eternel. Seule la grâce de Jésus peut la sauver de sa condition d’esclave qui la mènera en enfer. Combien cette vérité est insupportable pour les incrédules, ignorants et orgueilleux. Leurs ailes d’arrogance se déploient pour fuir ce qui malheureusement les enchaine dans le mensonge et les conduit à la perdition.



L’humanisme divin est voulu de Dieu qui rejette l’esprit dévoyé


  • À l’origine de la création, bien que de nature humaine, l’homme est dépendant de Dieu ( revoir les 10 commandements).


  • L’humanisme selon Dieu n’est pas l’ennemi de Dieu, mais le résultat de son oeuvre qui nous octroie des privilèges, tels que l’intelligence et l’autonomie physique, afin de jouir de tout ce qu’il nous offre.


  • L’humanisme selon Dieu est au service de son créateur pour l’édification du Royaume de Dieu, mais en aucun cas un chemin de substitution qui rejette Dieu. Le christianisme réalise des missions humanitaires qui témoignent de l’amour de Dieu. Lorsque l’on ouvre des écoles dans les pays en voie de développement, lorsque l’on donne à manger aux pauvres, lorsque l’on héberge des sans-abris, lorsque l’on crée des missions telles que « Portes ouvertes » pour lutter contre la persécution, nous agissons dans le domaine de l’humanisme divin. Cela ne devrait jamais passer avant Dieu, mais permettre tout simplement d’annoncer et de témoigner l’évangile. Réaliser ces oeuvres humaines et charnelles sans reconnaitre Christ crucifié et ressuscité, sans être un disciple de Christ, né de nouveau, sans vivre pour Jésus et plus pour nous-même, n’a pas de valeur aux yeux de Dieu. Cette affirmation même dans le milieu chrétien passe mal, pourquoi ?


Parce qu’elle met le doigt sur la souveraineté de Dieu, sur l’objet de notre création qui est d’adorer Dieu et de le glorifier. Le véritable chrétien (né de nouveau) comprend ce qu’est la souveraineté de Dieu et ne cherche pas ou plus son propre intérêt dans sa marche vers le Royaume céleste. À l’inverse, le faux chrétien met l’accent sur les oeuvres charnelles pour se glorifier lui-même. Pour un véritable chrétien, c’est à dire un enfant de Dieu, un disciple du très haut, sa marche va à contre courant de celle du monde dans son ensemble. Il y a un prix à payer face à l’opposition constante des païens, des faux chrétiens dans l’église et des adeptes, croyants à de faux dieux. Dans nos assemblées dites chrétiennes, il y a malheureusement une multitude de faux prophètes, de faux chrétiens, de boucs et de loups, envoyés par l’ennemi pour déstabiliser la maison de Dieu.


Beaucoup de personnes ont une bonne morale et se conduisent correctement, mais si elles rejettent Jésus et leurs véritables places dans la création, alors elles sont aux yeux de Dieu « ennemis de Dieu ». Imaginez ! Car une éternité en enfer n’est souhaitable à personne. Être membre d’une association caritative, faire des maraudes, héberger des sans-abris, prier Marie, les saints et aller à la messe ne sauvera personne. C’est pourquoi il est temps pour chacun de se tourner vers le créateur et de reconnaître son Fils Jésus, comme Sauveur et Seigneur dans une repentance qui n’aura de cesse de nous faire diminuer afin que LUI grandisse.


1 Corinthiens 13

Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas la charité, cela ne me sert de rien. La charité est patiente, elle est pleine de bonté ; la charité n’est point envieuse ; la charité ne se vante point, elle ne s’enfle point d’orgueil, elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche point son intérêt, elle ne s’irrite point, elle ne soupçonne point le mal, elle ne se réjouit point de l’injustice, mais elle se réjouit de la vérité ; elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout. La charité ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie, mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra. Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant. Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu. Maintenant donc ces trois choses demeurent: la foi, l’espérance, la charité ; mais la plus grande de ces choses, c’est la charité.


Matthieu 7:19 à 24

Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité.C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.







C H A P I T R E  3

L’HUMANISME DEVOYÉ ET LE PÉCHÉ




Nous avons pléthore de messages qui nous sont adressés de la part de Dieu qui évoque le péché, au travers des enseignements de l’apôtre Paul dans l’épitre adressé aux Romains. Nous allons en commenter quelques versets, qui en 2024 sont tout autant d’actualité qu’il y a deux milles ans.


L’humaniste dévoyé refuse de voir de ses propres yeux la présence de Dieu au travers de l’univers


Romains 1:18 à 32

Car la colère de Dieu se révèle du ciel sur toute impiété et toute injustice des hommes, qui retiennent la vérité dans l’injustice; parce que ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste parmi eux, vu que Dieu le leur a manifesté. Car depuis la création du monde, ce qu’on ne peut voir de lui, et sa puissance éternelle et sa divinité, se voit clairement étant considéré dans ses ouvrages, pour que les hommes soient inexcusables; parce qu’ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu et ne lui ont point rendu grâces; mais ils sont devenus futiles dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été rempli de ténèbres. Prétendant être sages, ils sont devenus fous; et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en la ressemblance d’images de l’homme corruptible et d’oiseaux et de quadrupèdes et de reptiles. C’est pourquoi aussi Dieu les a livrés, dans les convoitises de leurs coeurs, à l’impureté, pour déshonorer entre eux leurs propres corps, eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont rendu honneur et culte à la créature, au lieu du Créateur qui est béni pour les siècles, amen. C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions honteuses. Car, parmi eux, les femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature. De même aussi, les hommes, laissant l’usage naturel de la femme, ont été embrasés dans leurs désirs les uns pour les autres, accomplissant l’infamie, mâles avec mâles, et recevant en eux-mêmes le salaire de leur égarement, tel qu’il le fallait. Et comme ils n’ont pas trouvé bon de connaître Dieu pleinement Dieu les a livrés à un entendement réprouvé, pour pratiquer ce qui n’est point convenable, étant remplis de toute espèce d’injustice, de fornication, de méchanceté, d’avarice, de malice; pleins d’envie, de meurtre, de dispute, de fraude, de mauvais soupçons; délateurs, médisants, haïssant Dieu outrageux, orgueilleux, fanfarons, ingénieux pour le mal, rebelles à leurs parents; sans intelligence, sans bonne foi, sans affection, implacables, sans miséricorde; lesquels ayant connu l’ordonnance de Dieu, savoir que ceux qui font de telles choses sont dignes de mort, non seulement les pratiquent, mais encore donnent leur assentiment à ceux qui les font.


Je pose une question à un athée : qui a-t-il de faux dans ce qui est affirmé dans ces versets ? Que peut-on contredire et opposer à ce message ? N’est ce pas le constat de la réalité en 2024, de la société ? N’avons-nous pas l’impression de lire la presse quotidienne avec ces faits de société ? Ces versets, une fois encore, démontrent que la Parole de Dieu est VÉRITÉ d’une part et dresse le constat affligeant de l’état de l’âme humaine, d’autre part.


Romains 2:1

C’est pourquoi tu es inexcusable, ô homme ! qui que tu sois, qui juges; car, en ce que tu juges les autres, tu te condamnes toi-même, puisque toi qui juges, tu fais les mêmes choses.


Là encore, est-ce une hérésie ou une vérité ? Ne sommes-nous pas sur la description de ce que nous entendons et voyons dans ce monde d’aujourd’hui et depuis toujours d’ailleurs ?


Romains 2:21 à 23

Toi donc qui en enseignes d’autres, tu ne t’enseignes pas toi-même ! toi qui prêches de ne pas dérober, tu dérobes ! toi qui dis de ne pas commettre adultère, tu commets adultère ! toi qui as en abomination les idoles, tu commets des sacrilèges toi qui te glorifies en la loi, tu déshonores Dieu par la transgression de la loi !


Hérésie ou vérité ? Qui est mieux que l’autre ? Ne sommes-nous pas dirigés, concernant les dirigeants de ce monde, par la même pensée ? Combien de scandales éclatent au grand jour chez ces soi-disants puissants de la terre. La Parole de Dieu est détestée mes amis, parce qu’elle dévoile la noirceur et les abominations du péché qui est en l’homme et la femme.


Romains 3:10 à 20

selon qu’il est écrit: « Il n’y a point de juste, pas même un seul. Il n’y a personne qui ait de l’intelligence; il n’y a personne qui recherche Dieu. Tous se sont égarés, ils sont en même temps devenus inutiles; il n’y a personne qui exerce la bonté, il n’y en a pas même un seul. Leur gosier est un sépulcre ouvert; ils ont trompé de leurs langues. Un venin d’aspic est sous leurs lèvres. Leur bouche est pleine de malédiction et d’amertume. Leurs pieds sont agiles pour verser le sang. La destruction et la misère sont dans leurs chemins, et ils n’ont point connu le chemin de la paix. La crainte de Dieu n’est point devant leurs yeux. » Or nous savons que tout ce que la loi dit, elle l’adresse à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée et que tout le monde soit sous la condamnation devant Dieu, attendu que par des oeuvres de loi nulle chair ne sera justifiée devant lui; car c’est par le moyen de la loi que l’on a la pleine connaissance du péché.


Hérésie ou vérité ? Personne ne peut contredire ce message, il représente l’état de l’humanité païenne, dévoyée. Mais là encore, pour cette humanité infectée par le péché, la Parole de Dieu est une invention. Nous pourrions reprendre des centaines de messages bibliques qui dénoncent la vérité sur l’état de l’âme humaine sortie de sa route, séparée de Dieu. Chacun de ces messages démontre le goût amer du péché qui se cache derrière cette forme d’humanisme qui n’est que la face visible de l’iceberg qui se nomme : Péché. Nous comprenons mieux pourquoi on ne veut pas lire la Bible ou traiter de son contenu, la vérité est une arme à double tranchants qui brise l’orgueil.







C H A P I T R E  4

LA CONFRONTATION




La Bible nous enseigne qu’en tant que chrétiens nés de nouveau, nous sommes devenus étrangers sur terre. C’est à dire que nous vivons dans le monde, mais que nous ne sommes plus du monde. Nous avons reçu la Grâce de Jésus qui nous offre une nouvelle vie sainte et cela a des conséquences dans tous les compartiments de notre environnement incrédule et malsain. Jésus nous a envoyé le Saint-Esprit qui nous permet maintenant d’être libérés des chaines de l’esclavage du péché qui nous dominait. Nous vivons une résurrection et la repentance exerce en nous une véritable métamorphose qui va à l’encontre de ce que nous étions et de ce que le monde exprime. Nous ne vivons plus pour nous à présent, alors que nous étions menés par le bout du nez par l’orgueil, nous vivons maintenant pour Jésus et nous renonçons à notre vieille nature, à celle qui nous conduisait à la perdition. Ce changement radical ne convient pas, mais alors pas du tout, à la société païenne et à ses pratiques. Désormais, il y a séparation totale entre notre nouvelle vie et le péché de ce monde d’où nous venons. La frontière, qui se nomme la grâce accordée par Jésus notre sauveur, nous a transportés dans le Royaume de Dieu pour y vivre éternellement. Nous sommes passés d’ennemis de Dieu à ennemis du monde et de fait, ennemis de notre propre nature pécheresse. Elle est notre pire ennemi et nous la combattons avec foi à présent. Cela est un cataclysme à commencer par nos proches, qui ne comprennent pas, et pour certains n’acceptent pas, ce changement identitaire. Suivre Jésus est contraire à la conduite égocentrique et individualiste du monde infecté par le péché. Nous passons à la confrontation inévitable, incontournable qui nous oppose à l’esprit malin du monde impie.


Nous devons faire face sans relâche à l’influence spirituelle du diable (Le serpent dans le jardin), aux réactions charnelles (le péché) qui se déploient sur toute la terre, dans notre foyer, chez nos proches, nos voisins, au travail, dans toute communication, en politique, en écologie, dans la finance et dans les lois. Ce fléau destructeur n’a de cesse de vouloir éradiquer la vérité, mais fort heureusement sa puissance est tellement limitée que l’infini grandeur de Dieu l’écrase depuis toujours. Toutefois, c’est notre ennemi permanent, quotidien et la grâce ne nous épargne pas du harcèlement que le péché entraine sur nous. L’humanisme dévoyé, dont nous étions esclave nous-mêmes (avec plus ou moins d’intensité réactionnelle (Modéré ou extrême avant la grâce salvatrice), est devenu un ennemi qui nous combat tranquillement ou violemment sans limite. Il est partout chez nos proches, nos fréquentations, nos collègues de travail, nos voisins, car il est la nature même de l’humanité qui s’est détournée de Dieu. Le mot confrontation n’est pas peu dire lorsque l’on est face à des lois, des comportements, des rejets, de la haine et de la persécution qui s'opposent férocement aux valeurs du christianisme. Qu’il soit modéré ou extrême, l’humanisme dévoyé ne cesse de nous combattre de par sa nature antechrist. C’est pourquoi, le chrétien « né de nouveau » reçoit le vouloir et le faire afin d’être équipé dans le combat. Il ne cessera de progresser dans la foi et la soif de glorifier et de servir le Seigneur. Il sera persévérant et développera une grande discipline pour mettre en pratique la volonté de Dieu.



Venons-en à la la christianophobie


N’ayons pas peur des mots, la christianophobie se déploie de plus en plus depuis deux siècles, suite aux effets maléfiques de la révolution Française. Les valeurs judéo-chrétiennes et ses disciples sont les cibles à éradiquer de la vie citoyenne. Tout est sous le contrôle de la merveilleuse République Française qui fait la pluie et le beau temps et qui ne cesse de s’incruster dans la vie privée de ses concitoyens, allant même jusqu’à imposer une foule de lois anti-chrétiennes. Croire en Dieu est toléré, dans cette nation infestée par des valeurs en opposition radicale aux valeurs du christianisme. Combien de pression, de censures, voir même de procès condamnant les chrétiens luttant pour la préservation et la défense des valeurs et de la foi en Jésus. De plus en plus d’églises brûlent en France, sans que cela ne soit le moins du monde ou que très légèrement évoqué dans les médias. Par contre, lorsqu’une synagogue ou une mosquée est attaquée, voir juste taguée, le tapage médiatique inonde les chaines télévisées et les réseaux sociaux. La France laïque, islamique et christianophobe combat le christianisme de façon douce, sans faire de bruit et nous devons en être bien conscients. Évangéliser est devenu un chemin de croix, les maires de gauches écologistes interdisent les crèches dans leurs mairies, on ne doit plus fêter Noël (signification de la naissance de Jésus) mais la fête de la famille. Nous sommes dans une persécution « étau » comme le précise l’association « Portes Ouvertes ». On nous humilie dans les concerts, les cérémonies, les mairies et on ouvre grandes les portes à des idéologies et religions qui nous combattent politiquement et nous éliminent physiquement. Jésus a payé de sa personne et il nous a prévenus que cette christianophobie serait progressive et terrible. Si tu te dis chrétien et que tu ne ressens pas cette détestation, alors es-tu vraiment en Christ ? Es-tu prêt à défendre, non pas tes valeurs, mais celles de Jésus ? Prêt à être rejeté ? Prêt à combattre pour Jésus ? Pour lui seul ?


La chute en Eden n’a pas suffit, il faut maintenant enterrer Dieu avec sa Parole, condamner son peuple et l’enfermer sous les lois de politiques liberticides et totalitaires. N’est-ce pas le plan satanique qui est prédit dans les livres de Daniel et de l’Apocalypse ? Et rien ne va s’arranger, tellement la haine de notre Dieu créateur et le rejet du christianisme se manifestent de façon croissante dans l’ensemble des nations de la planète. La révolution anti-christ est en action, pour marcher sur les terres divines en tentant de le conquérir avec toute sa panoplie d’actions terrifiantes et perverses. Les peuples sont manipulés et les chrétiens persécutés, les dirigeants de ce monde s’attaquent maintenant de plus en plus à pervertir les âmes. Nous sommes en France avec une situation encore acceptable mais dans le monde, de nombreux pays agissent radicalement, voir violemment contre le christianisme. Jamais les chrétiens n’ont été autant persécutés avec :


- Plus de 365 millions de persécutés dans le monde en 2024

- 4 998 Chrétiens tués, soit plus 13 par jour

- 14 766 églises ciblées

- 4 125 chrétiens détenus

- 3 906 chrétiens  kidnappés


Ces chiffres, émanant des études de Portes Ouvertes, sont accablants de christianophobie et nous constatons que 70 pays au monde participent à cette persécution chrétienne, qui dans de nombreux cas est violente à la fois spirituellement, physiquement et socialement. Selon le rapport de Portes-ouvertes, cette persécution est perpétrée pour partie par les états et les religieux islamistes, mais également par des régimes dictatoriaux, tels que la Corée du Nord, la Chine, l’Inde ou le Pakistan, voir d'autres religions. Considérons également la politique de l’union Européenne qui développe à très grande échelle une immigration venant de pays islamiques principalement du Maghreb, de la Libye, de la Syrie pour ne citer qu’eux, ce qui provoque une vague subversive de cultures et de religions anti-chrétiennes. L’islam politique avance à grands pas, conduite par les frères musulmans pour déstabiliser l’équilibre occidental afin d’instaurer la Charia. Pas plus tard que cette semaine, un extrémiste musulman, à Paris lors d’une manifestation pro-palestinienne, micro à la main devant des députés de LFI, incitait la foule présente à renverser le pouvoir en place. Le mal est très profond, frères et soeurs, et nous sommes au bord de l’implosion nationale.


Cette vague migratoire est telle que les gouvernements des pays d’Europe se plient de plus en plus à créer des lois qui s’adaptent notamment à la religion islamique (la Belgique en tête, la France juste derrière). Mais plus on s’adapte à leur religion, plus on lui laisse de place sur le champ républicain, plus on perd de terrain, notre identité et notre culture. Que chacun puisse pratiquer sa religion est une chose, mais chercher à l’imposer et en faire une politique totalitaire en est une autre. Nous sommes de plus en plus persécutés par ces radicaux politico-religieux, par les laïques décadents, par les politiciens lâches et corrompus. C’est l’état de la France que l’on tue dans ses valeurs, sa culture et son histoire. Nous comprenons ce que Jésus proclame et affirme dans son message sur le combat que nous devons livrer. Tous ces mouvements religieux et idéologiques nous sont radicalement (et le mot est doux) opposés. Opposés à l’évangile de Jésus ou tout au moins aux valeurs du christianisme. Ce qui en plus est très incompréhensible est le fait que l’Europe ne cesse de vouloir plus de cette immigration, sans mettre l’accent sur la fracture culturelle qu’elle développe, sur son contrôle et sur la meilleure façon d’accueillir ces migrants. À l’heure où je vous parle, il y a quelques semaines, aux Royaume-unis, des émeutes pleuvaient pour demander de cesser le développement de l’immigration suite à l’assassinat de 3 petites filles par un jeune garçon de 17 ans, de souche rwandaise né à Cardiff en Angleterre. Le slogan scandé était « Trop c’est trop ! ». Sans prendre parti, ces évènements traduisent encore et encore l’incapacité des humains dévoyés de vivre dans la paix et l’amour de son prochain. Le racisme plane au dessus de l’occident et le feu de futures guerres civiles est allumé.


Avant hier, 12 migrants sont morts noyés près de Calais en voulant traverser la manche. On ne fait rien pour endiguer ce phénomène et traiter dignement les hommes et les femmes. La lâcheté des gouvernements successifs tout autant que leur idéologie incontrôlée des frontières passoires traitent ces pauvres gens de façon indigne et inhumaine. Oui, il faut pratiquer l’immigration, mais il faut le faire dans un cadre controlé qui permet de répondre à nos besoins économique et d’accueillir dans la dignité les hommes, les femmes et les enfants. Concernant les réfugiés politiques, c’est un devoir de les accueillir, mais pour tant d’autres, beaucoup viennent en France pour bénéficier d’avantages sans s’intégrer à nos usages et cultures et sans chercher de travail. En France, le vase est plein et le déficit ne permet plus de laisser cette situation perdurer, mais ce message est conspué par les bons humanistes de gauche qui en laissant faire, ruinent notre Pays et sont finalement totalement inhumains pour les millions de personnes qui se retrouvent dans des tentes ou à la rue, voir noyés en mer. C’est l’humanisme inhumain qui se développe.


Toujours concernant l’immigration, car c’est l’une des 3 sujets principaux du chaos à venir,  les conséquences liées aux différences culturelles et religieuses, passent par la nourriture, l’habillement, les comportements séparatistes, communautaires, culturels, religieux, qui s’opposent au droit du travail et aux lois Françaises et européennes. C’est, pour les musulmans en grande majorité, la religion qui se veut au dessus de la république, c’est la censure à l’école pour ne pas choquer leur religion, mais aussi les zones qui se regroupent pour former des bastions communautaires religieux. Sans parler, dans un autre registre, des zones de non droit du trafic de drogue. La pompon extrêmement grave (c’est la dernière action en date) d’un parti politique qui se lève dans l’assemblée nationale pour porter le drapeau Palestinien de l’anti-sémitisme et de l’islam. Ce parti politique agit selon ses mensonges, au nom de l’humanisme ! Il sonne le glas de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, avec cerise sur le gâteau, une idéologie écologique portée par sa déesse terre qui harcèle depuis des années, les agriculteurs et les foyers, de lois liberticides pour, soi-disant, sauver la planète. On parle de réchauffement climatique au lieu de bouillonnement de haine, car le feu dévorant et destructeur de l’humanisme dévoyé est plus que chaud bouillant et va faire exploser le monde dans sa cruauté. Sans compter sur les zones de non droit, tenues par les narco-trafiquants qui se développent à coup de Kalachnikov et tuent maintenant des innocents dormant dans leur chambre d’appartement. Chaque semaine, la mort est au programme des cartels de la drogue. Mais parlez-en aux humanistes dévoyés, même modérés, et il vous diront que c’est atroce mais que nous n’y pouvons rien. Et dans le même temps, l’annonce de l’évangile, malgré la dépravation totale et un bilan qui va droit au chaos de la société, est toujours plus rejeté. Il y a de plus en plus de christianophobie, mes amis, le diable se déchaine. Est-il libéré ? Je vous laisse juge. Il y a une semaine, l’église de St Omer a été victime d’un incendie criminel et ce n’est qu’un de plus ici en France. Et personne ne bouge ! Le mal et son emprise dépassent toute les frontières de protection républicaine. Les médias le disent, la peur a changé de camp et c’est la police qui a peur maintenant. Les refus d’obtempérer écrasent maintenant des gendarmes jusqu’à les tuer. Mais qu’à cela ne tienne, la justice ne bouge pas un doigt pour ne pas faire de vague. Je ne fais que relever ce qui se passe en France chaque jour mes amis, n’y voyez pas de ma part une âme révolutionnaire, mais juste un chrétien qui se veut être une lumière dans un monde dépravé, gardant toujours son regard sur le Christ. Mon frère, ma soeur, ne te laisse pas enfermer dans une colère ou un esprit de haine, mais cherche Dieu chaque jour de ta vie et cultive l’espérance et l’amour qu’il t’offre.


Alors que le christianisme a permis aux peuples durant des siècles de s’appuyer sur ses valeurs, l’humanisme dévoyé, porté par les révolutions successives, a développé une christianophobie chronique qui détruit toutes ses valeurs. Le monde occidental est devenu un champ de ruine chrétien où ne pousse plus que l’ivraie d’un humanisme de plus en plus extrémiste qui rend les peuples ingouvernables et violents. Aujourd’hui aux États-Unis, au Royaume unis, en Belgique et en France, cet humanisme devenu fou détruit à grande vitesse tous les fondements de la société et les dernières élections dans ces pays sont le spectacle qui masque le gisement d’un volcan de colère et de haine qui pourrait bien mener à la guerre. L’explosion se prépare, à n’en pas douter, et cela arrange certains puissants de ce monde qui tirent les ficelles d’un profit sur le dos des peuples en perdition.



La confrontation est inévitable, Jésus nous a prévenus


1 Pierre 2:11 à 16

Bien-aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l’âme. Ayez au milieu des païens une bonne conduite, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils remarquent vos bonnes œuvres, et glorifient Dieu, au jour où il les visitera. Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité établie parmi les hommes, soit au roi comme souverain, soit aux gouverneurs comme envoyés par lui pour punir les malfaiteurs et pour approuver les gens de bien. Car c’est la volonté de Dieu qu’en pratiquant le bien vous réduisiez au silence les hommes ignorants et insensés, étant libres, sans faire de la liberté un voile qui couvre la méchanceté, mais agissant comme des serviteurs de Dieu.


La confrontation est inévitable entre les gentils humanistes dévoyés qui se disent bien sous tous rapports et les chrétiens, qui seraient pour certains, des méchants conservateurs réactionnaires d’extrême droite et racistes. Les chrétiens seraient indésirables pour leur homophobie et leur rejet des valeurs humanistes telles que l’avortement, la GPA, la théorie du genre, l’immigration incontrôlée etc… La perception du chrétien est devenue détestable et entraine une fracture irréversible au sein des nations, qui vont pourtant droit au chaos. L’aveuglement de ces humanistes est conduit par Satan, car la lumière de Dieu, elle, est toute autre que le contenu des accusations et de l’opposition qu’elle reçoit. Mes amis, soyons très clairs, un disciple de Christ est rempli d’amour et ne peut être raciste et haineux. Les positions d’un chrétien reposent sur les origines de l’humanité divine qui ne se discutent pas, car elles émanent de Dieu. Être un homme ne se discute pas, être une femme ne se discute pas, avoir un père et une mère ne se discute pas, faire un enfant de façon hétérosexuel ne se discute pas, la création et la foi ne se discute pas, parce que ce serait remettre en cause la vérité de ce que nous sommes selon le créateur. C’est pour nous indiscutable ! Les dix commandements ne se discutent pas, ils sont à respecter, la souveraineté de Dieu ne se discute pas, car il règne en toute chose. Comment se nomme une personne qui ne dit pas la vérité ? Un menteur. Et nier la vérité de Dieu, c’est entretenir le mensonge du diable. La Bible nous demande de respecter les autorités, mais de ne pas nous coucher devant ce qui humilie notre Seigneur. C’est là que l’on reconnait les véritables enfants de Dieu des faux chrétiens.


Oui, Il y a confrontation lorsque l’humaniste dévoyé dénonce l’attitude des chrétiens, alors que lui même ne supporte pas que l’on ne soit pas d’accord avec ses propres convictions. Convictions qui reposent sur des idéologies païennes sans racines communes et portées par l’individualisme. Comment l’union des individualistes peut-elle faire croire qu’ils sont unis, puisque leur nature ne le permet pas ? Comme le diable est malin n’est-ce pas ? L’esprit du monde, tout autant modéré qu’extrême, est archi fracturé par le post-modernisme, le multi-culturalisme, le communautarisme débridé et les idéologies que chaque minorité tente d’imposer à tous. Ce programme diabolique n’a réussi que sur un seul point : le fait de diviser et de confronter les humains entre eux depuis la chute. Refuser d’accepter que la seule vérité est la parole de Dieu qui appliquée, apporterait paix, amour et espérance, produit le grand chaos humanitaire depuis des milliers d’années. C’est le terreau de la CONFRONTATION !


Il y a confrontation entre l’homme qui se prend pour Dieu et Dieu qui est le tout puissant. En cherchant à défendre des vérités qui sont contraires à l’ordre divin et à sa création, les hommes ne cessent de se faire la guerre et de s’entretuer car pour eux la vérité divine n’existe pas. Les païens vivent dans leurs limites, leur espace et s’affrontent sans cesse dans le combat entre les dominants et les dominés. Il y a les élites du haut et le reste d’en bas, les performants et les perdants, les forts et le faibles, les riches et les pauvres, ceux qui dirigent et ceux qui subissent. Il n’y a aucun socle commun dans la jungle du monde dévoyé sur lequel s’appuyer et cela fracture terriblement les âmes qui n’ont pas de repère et ont cette fâcheuse tendance à se rebeller pour exister. Nous pouvons aussi mettre en avant l’énorme manipulation des puissants de ce monde déchu avec l’élaboration de techniques pour contrôler les peuples et les soumettre à un esclavage idéologique, économique, écologique, politique, social et moral. Dans le royaume de Dieu, rien de tout cela car chacun est héritier du père et personne ne domine personne, gloire à Dieu.


C’est pourquoi...

À l’inverse, les chrétiens ne cherchent pas du tout la confrontation. Nous ne cherchons pas à imposer l’unique vérité de Dieu, nous l’annonçons selon les situations et si cela peut sauver une âme de son esclavage, alors gloire à Dieu. Depuis le jour où j’ai accepté que seule la Parole de Dieu représente l’unique, saine et pure vérité, je vis dans la paix car je n’ai plus à me préoccuper de mon présent ni de mon avenir, tout est entre ses mains et cela s’appelle LA LIBÉRATION DE L’ÂME. Certes, il n’est pas simple de vivre dans ce monde où rien ne tient réellement debout, mais notre mission est justement d’apporter la lumière de la vérité dans les ténèbres. La vérité de Dieu est incontestable lorsqu’elle nous est révélée car il faut le dire, la vérité est une révélation provenant de la grâce et du miracle de la nouvelle naissance provenant du Saint-Esprit.


La dimension de ce que Jésus révèle au grand rabin, Nicodème, lorsqu’il déclare : « Ne sais-tu pas qu’il te faut naitre de nouveau » (Jn 3:3-5) est la clef qui ouvre la porte au mystère dévoilé de Dieu pour ses enfants. Sans ce miracle, sans la grâce, sans la rédemption, sans la résurrection de notre âme par le Saint-Esprit, sans le sacrifice de Jésus à la croix de Golgotha et sa sortie du tombeau, nous stagnons dans un lac sans vie qui se vide de sa substance au lieu de naviguer sur l’océan infini de la véritable vie. Chrétien, nous avons ce socle commun de vérité absolue qui nous unit et nous porte vers l’espérance de la vie Eternelle. Nous sommes délivrés, libérés des chaines d’esclavage de cet humanisme dévoyé, modéré ou extrême. Nous avons Jésus comme repère et Seigneur, la Parole comme nourriture, le Saint-Esprit comme éclaireur et notre Père qui règne dans sa toute puissance. Nous ne sommes pas perdus, mais rachetés et réconciliés avec le Père afin de construire une vie nouvelle qui est la réponse à ce monde dépravé, violent, totalitaire et destructeur. Nous ne sommes pas dans la CONFRONTATION, mais dans la PARTICIPATION au  sauvetage des âmes en Christ. La vérité divine est le miroir de l’humanité dans son état, tout autant que la sainteté de Dieu dans son éclat ! C’est une arme à double tranchant qui, à la fois fait mal, et qui sauve en même temps. Entre l’état et l’éclat, nous avons Christ qui a déchiré le voile pour nous amener au Père.


Oh, qu’ils sont haineux les philosophes qui entendent cela, car pour eux, ne croire qu’en la vérité de Dieu uniquement, c’est réduire à l’état d’esclave l’âme humaine qui est intelligente et autonome. Ils sont dans l’inversion totale ! L’homme, pour ces grands philosophes, n’a pas besoin de Dieu, qui selon eux n’est qu’une pure invention (d’ailleurs un livre vient de sortir affirmant que Jésus est le plus grand des mensonges et qu’il n’aurait jamais existé). Que Dieu pardonne Monsieur Onfray, l’auteur de ce livre, qui ne sait pas ce qu’il dit. Plus de 2000 ans après le départ de Christ, des millions de disciples aujourd’hui témoignent toujours qu’il est vivant ? Cher Monsieur Onfray, parlerons-nous encore de vous 3 mois seulement après votre mort et si c’est le cas, combien seront-ils et qui seront ils ? Oser défier Jésus, le fils de Dieu, est un pari que je ne prendrai pour rien au monde. Là encore, il y a CONFRONTATION, voir PROVOCATION DÉVOYÉE, et ce climat épouvantable, qui cherche à détruire le christianisme, est perdu d’avance car sources bibliques prouvées, (désolé messieurs les philosophes) aucun régime dictatorial et impérial n’a tenu devant la grandeur de Dieu. Tous sont morts et enterrés, alors que le soleil lui, continue chaque matin à éclairer la terre sous le contrôle du très haut. Et le soleil n’est que le pâle reflet de la lumière céleste de notre créateur, n’en déplaise aux philosophes sans foi.


Hier encore, sur le plateau d’une chaine d’informations, l’échange des personnes sur le sujet des émeutes aux Royaume-unis concernant l’immigration incontrôlée, concluait sur le fait que la Laïcité à la Française et la tolérance, dite de gauche des anglais, n’offraient pas du tout la solution à une situation qui va tout droit au démantèlement des cultures et à l’ordre public. L’angoisse de voir s’effondrer les fondements démocratiques de la république ou de la monarchie est très préoccupante et chacun y allait du : « Nous n’avons pas la solution, c’est très grave ». Voilà, mes, amis ce qu’est le résultat de refuser LA VÉRITÉ DIVINE et de s’entêter à construire sur les ruines des idéologies humaines dévoyées. Tout cela est écrit noir sur blanc dans la Bible, mais qu’à cela ne tienne pour les humanistes dévoyés, Dieu n’existe pas ou s’il existe, il est selon leur imaginaire.


Lisons une partie des conclusions de l’Epître aux Philippiens 1:27 à 30

Seulement, conduisez-vous d’une manière digne de l’Evangile de Christ, afin que, soit que je vienne vous voir, soit que je reste absent, j’entende dire de vous que vous demeurez fermes dans un même esprit, combattant d’une même âme pour la foi de l’Evangile, sans vous laisser aucunement effrayer par les adversaires, ce qui est pour eux une preuve de perdition, mais pour vous de salut ; et cela de la part de Dieu, car il vous a été fait la grâce, par rapport à Christ, non seulement de croire en lui, mais encore de souffrir pour lui, en soutenant le même combat que vous m’avez vu soutenir, et que vous apprenez maintenant que je soutiens.


Sur ce point, nous devons en tant qu’enfants de Dieu, être préparés à la confrontation, aux provocations, voir à la persécution, qui ne cesseront jamais de se dresser contre nous. Il nous faut pour cela avoir une très bonne connaissance de la parole de Dieu, soutenue par le Saint-Esprit, pour avoir la bonne attitude quelles que soient les circonstances. Ayons une vie d’intersession et de prière tout aussi soutenue.



L’humanisme dévoyé à sa propre justice, selon le régime dans lequel elle officie


Il y a la  justice des régimes totalitaires qui écrase le peuple sous sa domination.

C’est une justice radicale et extrême qui ne s’exerce que dans un sens, celui du pouvoir, afin d’empêcher toute liberté au peuple. Y a-t-il une justice dans les dictatures ? Je vous pose la question.


Il y a la justice à la carte, des régimes dit « démocratiques » qui soufflent sur la vague du « pas de vague » et de l’assistance aux coupables plutôt que d’être du coté des victimes.

C’est une justice qui tient bien plus compte d'un contexte politico-sociétal, constituée de juges qui sont pour la plupart fermés à un jugement radical pour aller vers du très permissif afin ne pas heurter les consciences. On ne juge pas selon les faits mais selon une politique, une idéologie. C’est pourquoi en France, la grande majorité des citoyens ne comprend pas les décisions de justice. On relâche à tout va des délinquants multi-récidivistes, car les prisons sont pleines et ne sont malheureusement pas la seule réponse. Là encore, je vous laisse en tirer les meilleures conclusions.


Seule la justice de Dieu est juste et sans détour, il jugera chacun d’entre-nous.


2 Pierre 3:13

Mais nous attendons, selon sa promesse, de nouveaux cieux et une nouvelle terre, où la justice habitera.


La confrontation détruit la relation.



Confrontation ou pas, quel est le bilan de l’humanisme dévoyé ?


Lors d’un partage avec notre fille (mariée à un pasteur), cette dernière nous déclarait que lorsqu’elle échangeait avec des personnes et annonçait qu’elle était femme de pasteur, la porte du partage se fermait presque toujours automatiquement. C’est une fois encore dans ce cas, LA CONFRONTATION !


L’échange prenait la forme d’une voie sans issue, aucune question ni aucune interrogation et à l'inverse, un mur se dressait comme pour couper cours à la conversation, voir à la relation. L’esprit humain dévoyé est opposé à la foi en Jésus, comme si cela était la pire chose qui pouvait-être. « Qui sont ces illuminés qui vivent pour Dieu ? vite écourtons l’échange » se disent-ils ? Pour le vivre également et depuis des décennies, je confirmai à ma fille que nous ressentions la même tension lors de rencontres, car parler de la foi en Jésus est un obstacle entre nous et les personnes que nous rencontrons. Nous sommes exposés de plus en plus à la confrontation.


Étant en période électorale, suite à la dissolution brutale de ce cher Président, notre conversation se poursuivit ensuite sur l’état catastrophique de la France. Son analyse était très pertinente : « Mais Papa, si le gens ne veulent pas de Dieu, qu’ils en assument les conséquences. La laïcité laxiste est un gouffre qui mène droit au chaos, puisqu’elle tolère tout avec une justice qui se couche (celle des hommes). Sa colonne vertébrale est la république certes, mais peut-on alors reprocher à un musulman de manger, de s’habiller et de vivre selon ses traditions, lorsque l’on voit d’un autre coté des transgenres en bas résilles étaler leurs perversités dans des gay-pride ? » Et de terminer sur « Si la France était restée chrétienne en appuyant sa politique sur les valeurs du christianisme, jamais l’immigration n’aurait été sous cette forme, jamais nous n’aurions voté les lois sur l’avortement, le mariage pour tous, le planning familial et j’en passe... L’identité Française serait debout avec une société beaucoup plus équilibrée. Les églises seraient pleines, nous aurions une économie saine, basée sur un saint protectionisme et jamais la France n’aurait perdu sa souveraineté, tout en accueillant des étrangers de façon digne ».


En clair, si tu veux vivre sans Dieu c’est ton choix, mais alors ne t’insurge jamais sur les conséquences d’une telle erreur de jugement et de réalisme.



La laïcité est en péril et ne sait plus comment sortir du piège communautaire.


La laïcité, spécificité Française, apparaissait comme étant une bonne solution pour le vivre ensemble. On mélange tout et ça va marcher, mais la mayonnaise ne prend malheureusement pas. La laïcité, durant quelques décennies après guerre, a déployé ses ailes, mais aujourd’hui elle se fissure et prend l’eau de toutes parts et de tous cotés. Un nouveau courant émergeant, véritable grain de sable fatal dans la machine, est apparu depuis Mai 1968 et a développé dans un même moule le multiculturalisme, le wokisme, la théorie du genre, le mouvement LGBTQ, le progressisme mondialiste, l’accueil d’un Islam radical importé (qui condamne à mort dans certains pays ces pratiques) et enfin une population encore très conservatrice qui défend bec et ongles sa culture et son histoire.


La laïcité, portée par les progressistes des lumières, donnait à penser que tout irait bien, que nous allions tout accepter et qu’il serait super de vivre ensemble avec nos différences culturelles et religieuses. Ce ne serait pas faux si le coeur de chaque humain considérait l’autre comme lui-même, selon la vérité de Dieu (si toutefois nous avions le même Dieu). Mais ce n’est pas du tout le cas et c’est bien là que le bas blesse. C’est le contraire qui se produit et la laïcité ne tient plus que par la force d’une sécurité régalienne qui maintient l’ordre avec de plus en plus de mal. La laïcité n’existe plus dans le fond, mais juste dans la forme. Un nouveau premier ministre vient d’être nommé en France presque deux mois après les élections législatives, pourquoi ? Parce que la France est si divisée qu’elle n’est plus gouvernable, de plus, ce que réclame la majorité des Français, c’est une grande réforme de l’immigration et de la sécurité, tant la laïcité et le modèle de société qu’elle produit est en faillite. La République est à genoux, face à une politique païenne esclave de son péché, qui divise de plus en plus le peuple jusqu’à rendre la république ingouvernable. Quel est le remède dans un tel cas ? Je n’ose le penser.


Voici les résultats de la laïcité : Les juifs de France sont prêts à partir à cause des menaces d’agressions et de mort, l’islamo-gauchisme importe sur le territoire national le conflit israélo-palestinien par l’intermédiaire de députés de la république qui osent brandir le drapeau palestinien dans l’hémicycle du parlement. Les mouvements d’extrême gauche, wokistes, déboulonnent et détruisent les statuts, les zones de non-droit tenues par les trafiquants de drogue sont légions, on tue les policiers, les mineurs font la loi, ils violent et tuent dans une impunité quasi totale, les émeutes fracassent et pillent les magasins et s’en prennent aux bâtiments publiques, la nouvelle Calédonie est en feu, l’école est un lieu d’insécurité et de censure avec des décapitations de professeurs qui en viennent, par peur de représailles mortelles, à modifier le programme éducatif. Il ne faut pas choquer les élèves de confessions musulmanes, sous peine d’avoir de graves problèmes. Les anti-fa font la guerre soi-disant aux fascistes, au moyen de méthodes plus fascistes faisant parties de leur idéologie totalitaire, les bons écolos labourent les champs en s’affrontant violemment aux forces de l’ordre pour défendre leurs causes et les jeux olympiques ont monopolisé des dizaines de milliers de policiers, tant la menace terroriste était réelle. Heureusement à l’heure où j’écris ces lignes, aucune catastrophe ne s’est passée durant les J.O.



La Laïcité n’offre pas la paix


Jamais la violence n’a atteint une telle intensité depuis des décennies, la république est en feu avec des campagnes électorales d’un niveau tellement bas et violent que la grande majorité s’en détourne radicalement. Le niveau des politiciens a touché le font car ils ne cherchent qu’à obtenir une place. Le peuple est totalement oublié, il souffre et a peur de ce qui va se passer. Mais pour ceux qui nous gouvernent depuis 50 ans, tout va bien, il faut continuer à détruire, casser, violer, tuer, mentir, trahir, détester, tromper, censurer, calomnier, humilier, laisser faire et ceux qui s’opposent à cela sont des extrémistes radicaux. Voilà bien la vérité biblique qui ressort lorsqu’elle proclame que le bien serait appelé mal et le mal bien.



Le bilan de la laïcité


Issu de la Franc-maçonnerie, le bilan est négatif et cette politique humaniste dévoyée, rejetant les valeurs du christianisme, n’appliquant plus les lois sécuritaires, conduit à la multiplication terrifiante des conflits entre communautés, idéologies, politiciens et  religieux. Le désordre est tel que la République est à l’agonie et que plus rien ne peut arrêter la vague de haine qui submerge la laïcité, dont le vase est fissuré de partout et prêt à exploser à tout moment. La France n’est plus la France, elle a perdu sa souveraineté ainsi que ses valeurs chrétiennes, elle est devenue une terre où règne la terreur et la haine. Avec un Président et des successeurs qui ne souhaitent que démanteler la culture Française et ses valeurs chrétiennes, dans le but d’instituer une Europe à la pensée unique, nous devons, nous chrétiens, nous préparer à une persécution galopante et violente, en termes de législation pour commencer et plus ensuite. La laïcité a échoué et la porte de sortie ne sera pas mieux. Toutefois elle va persister mais jusqu’à quand ?



Le verrouillage par le haut des peuples et nations


Je ne vais pas aller ici dans les détails du verrouillage totalitaire mondial, mais l’humanisme dévoyé impose avec ses dominants, une structure de contrôle du monde qui ne cesse de développer ses tentacules pour assouvir les peuples et pire, les âmes. Il n’y a rien de complotiste lorsque l’on évoque les pouvoirs occultes qui régissent les règles mondiales en citant : les Francs-maçons, les illuminatis, le groupe Bilderberg, Davos et son forum, les pouvoirs financiers mondiaux (sous la houlette de familles bancaires privées), les GAFAM, les fonds de pensions  comme Vanguard et blackroc (actionnaires de dizaines de multinationales), les agences de presses et médias, détenus par quelques milliardaires de la caste des puissants de ce monde.

Sans compter sur le cinéma et la culture qui sont aux mains des mondialistes.


Mes amis, tout est verrouillé et les états sont moins riches que ces sociétés et organisations qui font la pluie et le beau temps de la finance, de la santé et de l’économie. Ils décident de faire ou non la guerre, ils n’ont que faire du petit peuple, qu’ils considèrent comme des consommateurs numérisés pour leurs besoins et profits. Le contrôle facial et social, l’émergence de l’IA pour déshumaniser le monde, la dématérialisation, l’imposition d’une écologie punitive et violente, le démantèlement des valeurs biologiques pour aller vers la robotisation, l’homme augmenté et le transhumanisme font que les peuples sont plongés dans l’entonnoir de ces dominants qui manipulent l’humanité et se dressent contre Dieu.


Comment dès lors, en tant que chrétiens nés de nouveau, devons-nous voyager sur cette terre hostile ? 







C H A P I T R E 5

CHRÉTIEN DANS LE MONDE D’AUJOURD’HUI




Pour nous chrétiens, nés de nouveau, comment nous comporter dans ce monde anti-christ ?


Après ce constat déplorable d’une société qui se perd, avouons qu'il est difficile de vivre dans ce monde anti-christ qui s’acharne contre les valeurs de notre créateur et le rejète en bloc. Nous sommes confrontés à une détestation de l’identité chrétienne face à un humanisme dévoyé (qu’il soit modéré ou extrême) avec qui le dialogue sur le sujet de l’évangile est devenu presque impossible. Le catholicisme a tenu durant des siècles la barre sur le plan de certaines valeurs chrétiennes, mais a créé dans le même temps, une religion qui ne correspond pas à la saine doctrine, tant l’accent est mis sur l’homme plutôt que sur Christ, sans compter sur le culte idolâtre à Marie et aux saints, qui détourne de la croix et de Jésus.


J’ai tenu à écrire ce livre car je suis régulièrement confronté à l’opposition, comme mes frères et soeurs en Christ, lorsque je témoigne et annonce l’évangile auprès de personnes que je rencontre. Je fais face à l’opposition et pour ne pas tomber dans un état de découragement, il me paraissait indispensable de mettre sur la table ce que représente cette opposition pour mieux me préparer et me protéger. Connaitre le fond et la forme de la pensée, les paroles et les actes de cette opposition permet de mener le bon combat, celui de la foi en Christ, de lutter contre les puissances et les princes de ce monde et non contre la chair. Peut-être avez-vous trouvé mon constat trop détaillé dans les lignes précédentes, mais c’est justement en allant en profondeur que l’éclairage se réalise.


Ne soyons pas étonnés de la situation en France et dans bien d’autres pays. En tant que chrétiens, nous ne devons pas être surpris par l’état pitoyable et détestable du monde, c’est écrit noir sur blanc depuis des siècles. La différence, avec les temps décrits dans la bible il y a des milliers d’années, ne réside pas sur le fond, mais sur la forme. Le modernisme, Les moyens de communication et l’appauvrissement programmé des valeurs divines changent de forme certes, mais la parole, elle, est immuable. De tout temps, le coeur de l’homme infecté par le péché n’a cessé de s’opposer à Dieu. En 2024, nous devons nous réjouir de l’inflexibilité de Dieu concernant ses promesses et sa parole et continuer à éclairer les ténèbres, car si le monde régresse et se nourrit toujours du péché, Dieu ne change pas et sa parole est notre socle de vie éternel. Reprenons également en parallèle, les prophéties qui annoncent ce qui se passe et qui va se passer. Une telle description des faits ne peut que nous encourager à mener le bon combat.


Ne pensons pas qu’aujourd’hui en 2024, la société soit pire qu’hier, pire qu’il y a 6000 ans en matière d’état et de civilisation. C’est le développement et la technologie des moyens de communication et d’informations multipliées, qui nous font croire que la situation empire, mais en fait, rien n’est plus ou moins catastrophique qu’avant. Le péché est le péché et il traverse les siècles dans son incrédulité, son ignorance, sa cruauté, sa violence et ses moeurs dévoyés. Le péché de tous temps ne supporte pas Dieu et réalise des atrocités. Depuis toujours, et la Bible le relève dès le début, on parle de l’homosexualité, de l’adultère, de l’injustice, de la cupidité, de l’inceste, de l’ivrognerie, de l’idolâtrie, de la luxure, de l’impureté, des régimes politiques totalitaires, des lois liberticides, de la trahison, des guerres, de la prostitution, de la religion et des moeurs qui mènent tout droit en enfer. Ce qui a évolué dans l’état du monde aujourd’hui, c’est le développement de cet humanisme dévoyé, beaucoup moins saupoudré de croyances religieuses comme il y a des milliers d’années. La religiosité, qui était très développée avant, fait place à  des idéologies qui tendent vers la déification de l’homme. Le culte s’est déporté vers la nature humaine à outrance, surtout dans l’espace occidental.


Les forces du mal se délectent pour éliminer tout ce qui se rapporte au sacré afin d’ériger l’homme au plus haut de sa tour de Babel. Babel prend une autre forme, car même si le paganisme et ses déesses sont toujours présents, on cherche plus à élever l’homme au détriment de Dieu, le créateur. Nous vivons dans un monde pour qui les progrès de la science sont l’une des sources qui démontre que l’homme est ce petit dieu à qui tout a été confié. Cette approche satanique qui ne cesse d’être proclamée partout dans le monde, enferme les humains dans une bulle qui les rend de plus en plus aveugles et sourds au message de l’évangile. L’homme autonome intellectuellement et physiquement étant capable de tant de choses, n’a pas besoin qu’on lui donne des leçons. Comme il croit être tout ou presque, pourquoi dès lors penser qu’il ne peut se suffire à lui-même ? Puisque nous avons de quoi nous débrouiller, pourquoi chercher une autre voie ? Les hommes et les femmes pensent que leurs moyens sont suffisants pour vivre sans chercher à savoir pourquoi ils sont nés, où ils vivent et où ils vont après la mort ? Pour eux, ce sont les guerres de religions qui ont détruit le monde.


N’est-ce pas frères et soeurs ce que nous entendons de façon récurrente lors de nos échanges avec païens ? Devant cette opposition, n’avons-nous pas la tentation de cesser de parler de Christ et de la résurrection ? J’avoue sincèrement que cela m’a traversé l’esprit, mais qu’à cela ne tienne, le Saint-Esprit me relève toujours et m’encourage à mener le bon combat avec les bonnes armes. Car comme nous pouvons le constater, cette opposition n’est pas récente mais depuis toujours, seule la forme a changé. Je pense au contraire que ce terrain, certes hostile à outrance, nécessite que nous n’abandonnions pas la mission qui est celle pour tous de témoigner et pour ceux qui en ont reçu le don, d'évangéliser. Nous devons nous réjouir, à la différence des temps anciens, de l’ensemble des moyens que nous avons à notre disposition pour éclairer le monde de la lumière divine.



Si les moyens de communications ont une dimension destructrice, ils n’en sont pas moins aussi un canal de proclamation de l’évangile


Ne cherchons pas à mettre en place des méthodes, des réponses selon les situations lors de nos rencontres, le mode d’emploi est depuis toujours le même. Soyons pleinement à l’écoute de la parole de Dieu, prions chaque jour pour les âmes et cultivons une foi inébranlable dans ce qu’il va accomplir. Notre part est de lui faire confiance dans ce qui lui est exclusivement réservé, la grâce pour les âmes. N’entrons pas dans des débats stériles, laissons Jésus agir en nous, louons-le de tout ton coeur et prenons du plaisir à voir son oeuvre s’accomplir par le Saint Esprit. Le nombre importe peu, notre perception importe peu, ce qui importe, c’est de faire sa volonté et rien que sa volonté. Depuis des dizaines d’années, je me délecte des miracles et de la providence de mon Père céleste. Cela je ne m’en lasserai jamais et suis de plus en plus fervent de la vivre dans l’abondance.


D’autre part, la Bible est disponible et traduite dans toutes les langues, les réseaux sociaux sont aussi vecteurs de diffusion de la parole de Dieu. Pour faire face à l’opposition, nous ne devons jamais chercher à comparer, à débattre ou chercher à convaincre, nous devons avoir la "Christ attitude", celle de notre Seigneur qui n’a jamais mené le combat de la chair et qui suivait sa route, tout en vivant dans la monde. Jésus nous prévient et nous livre la meilleure réponse au monde d’aujourd’hui en persévérant dans la foi et dans les actes qui glorifient notre Père. Nous  démotiver face à l’opposition serait une erreur, car ce serait d’une part, nous coucher devant les hommes au lieu de plaire et honorer Dieu et d’autre part, tomber dans le piège du diable. Ce serait nous assoir sur le chemin en nous lamentant charnellement plutôt que de marcher et de franchir les étapes de la foi. Mes amis, il y a un prix à payer et cela depuis toujours. Suivre Jésus c’est marcher à contre courant, mais c’est notre chemin, celui de la confrontation, de l’opposition, des bleus à lames, celui d’un combat inévitable. Il ne faut surtout pas regarder à l’état de la dépravation galopante qui nous tire vers le bas. Ne cédons jamais au découragement, mais regardons à Jésus en nous servant de la parole de Dieu pour épée. Oui, ce monde est fou, totalement à la dérive et nous sommes confrontés à des malades, des coupables devant Dieu qui veulent, pour certains mêmes, notre mort. En crucifiant Jésus, ils n’ont pas crucifié seulement un homme mais le fils de Dieu, c’est à dire Dieu lui-même.


Qu’à cela ne tienne, voilà ce dont nous devons nous nourrir :


Romains 8:37 à 39 Nous sommes PLUS que Vainqueurs !

Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.


Jean 10: 27 à 30 Rien ne pourra nous ravir de sa main !

Mes brebis entendent ma voix ; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père. Moi et le Père nous sommes un.


Matthieu 11:28 à 30 Jésus est notre refuge, notre forteresse !

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.

Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger.


Psaume 31:3

Car tu es mon rocher, ma forteresse ; Et à cause de ton nom tu me conduiras, tu me dirigeras.


Marc 16:15 à 20 Ne nous détournons pas de notre mission !

Puis il leur dit : Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création.

Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ;ils saisiront des serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris. Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s’assit à la droite de Dieu. Et ils s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l’accompagnaient.


Philippiens 2:12 à 16 Persévérons dans la foi, il nous équipe !

Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent ; car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie ; et je pourrai me glorifier, au jour de Christ, de n’avoir pas couru en vain ni travaillé en vain.


Hébreux 11: à 13

Or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.

Pour l’avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable.

C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles.

C’est par la foi qu’Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn ; c’est par elle qu’il fut déclaré juste, Dieu approuvant ses offrandes ; et c’est par elle qu’il parle encore, quoique mort.

C’est par la foi qu’Enoch fut enlevé pour qu’il ne vît point la mort, et qu’il ne parut plus parce que Dieu l’avait enlevé ; car, avant son enlèvement, il avait reçu le témoignage qu’il était agréable à Dieu. Or sans la foi il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent.

C’est par la foi que Noé, divinement averti des choses qu’on ne voyait pas encore, et saisi d’une crainte respectueuse, construisit une arche pour sauver sa famille ; c’est par elle qu’il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui s’obtient par la foi.

C’est par la foi qu’Abraham, lors de sa vocation, obéit et partit pour un lieu qu’il devait recevoir en héritage, et qu’il partit sans savoir où il allait.

C’est par la foi qu’il vint s’établir dans la terre promise comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes, ainsi qu’Isaac et Jacob, les cohéritiers de la même promesse.

Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur.

C’est par la foi que Sara elle-même, malgré son âge avancé, fut rendue capable d’avoir une postérité, parce qu’elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse. C’est pourquoi d’un seul homme, déjà usé de corps, naquit une postérité nombreuse comme les étoiles du ciel, comme le sable qui est sur le bord de la mer et qu’on ne peut compter.

C’est dans la foi qu’ils sont tous morts, sans avoir obtenu les choses promises ; mais ils les ont vues et saluées de loin, reconnaissant qu’ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre.


Frères et soeurs, c’est par la foi que le Seigneur nous équipe pour continuer à être des lumières dans ce monde de ténèbres. Nous sommes les héritiers de tous nos frères et soeurs près-cités, qui par la foi ont suivi et glorifié notre souverain Seigneur. Qu’importe le moment, le siècle, l’environnement, la période, le régime, notre situation, nous sommes appelés, ressuscités avec Christ, enfants de Dieu, nés de nouveau, tous élus pour éclairer ce monde en perdition. Et cela, quel que soit le prix à payer, mais cela ne peut-être que pour les enfants de Dieu, renouvelés en Esprit, tant le combat est rude et permanent. Il n’est pas facile d’être étrangers (comme nous le déclare la parole de Dieu) dans ce monde hostile à Dieu, qui n’a d’autre objectif que de détruire le christianisme et se prendre pour Dieu. La vérité est que ce monde est vaincu et que nous sommes les vainqueurs, ne nous laissons pas voler la victoire et vivons là dans la foi, l’espérance et l’amour. À chaque époque, le peuple de Dieu a été appelé pour participer au sauvetage des âmes. Pensez-vous que notre époque soit bien plus féroce que celle où Jésus était sur terre ? Si c’est le cas, je vous invite à revoir votre copie, car toutes les époques se ressemblent dans le déploiement du péché et de la violence.


Nous devons être préparés et prêts, car notre époque n’est pas plus hostile qu’avant, le péché reste le même avec sa déferlante destructrice. Une question à se poser : N’étions-nous pas comme ces païens, avant d’avoir reçu la grâce ? Oui nous l’étions et nous étions coupables et ne méritions que l’enfer. Autre question : Aimerais-tu retourner à ton vomis ? Oh que non, un né de nouveau prend conscience de la grâce et glorifie Dieu pour cela. Alors, ayons à l’esprit que le livre de vie renferme encore et encore des noms et des âmes qui seront sauvés comme nous l’avons été.


Le Seigneur place sur notre chemin des élus que lui seul connait et notre mission est de le servir afin que nous participions activement à l’édification de son Royaume. Il n’est pas question d’époque, de période, de siècles, ni même de rationaliser l’eschatologie, mais bien de servir en tous temps notre Seigneur afin de voir des nouvelles naissances. Si les valeurs du christianisme sont bafouées, mises au placard, Jésus, lui, est bien vivant et rien ne pourra empêcher son plan de se réaliser. C’est écrit et ce qu’il dit, il le fait ! La foi, la parole de Dieu, le Saint Esprit et la main puissante de Dieu sont à l’oeuvre pour la Gloire de notre Père céleste.      



Que déclare la parole de Dieu, face à cet humanisme dévoyé ?


Nous pouvons grâce à Dieu, nous appuyer sur sa parole pour étayer ce propos et je propose de le faire en boucle avec des versets qui se succèdent. Quelle est la réponse de Jésus, quelle est la réponse biblique face à la force humaniste ?


Car qui est-ce qui te distingue ? Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? Et si tu l’as reçu, pourquoi te glorifies-tu, comme si tu ne l’avais pas reçu ? Pour connaître la sagesse et l’instruction, Pour comprendre les paroles de l’intelligence ; Pour recevoir des leçons de bon sens, De justice, d’équité et de droiture ; Pour donner aux simples du discernement, Au jeune homme de la connaissance et de la réflexion. Que le sage écoute, et il augmentera son savoir, Et celui qui est intelligent acquerra de l’habileté, Pour saisir le sens d’un proverbe ou d’une énigme, Des paroles des sages et de leurs sentences. La crainte de l’Eternel est le commencement de la science ; Les insensés méprisent la sagesse et l’instruction. La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître.En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, puisque ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres.Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous.Quand l’Eternel approuve les voies d’un homme, Il dispose favorablement à son égard même ses ennemis. Mieux vaut peu, avec la justice, Que de grands revenus, avec l’injustice. Le cœur de l’homme médite sa voie, Mais c’est l’Eternel qui dirige ses pas. L’homme prudent cache sa science, Mais le cœur des insensés proclame la folie. La main des diligents dominera, Mais la main lâche sera tributaire. L’inquiétude dans le cœur de l’homme l’abat, Mais une bonne parole le réjouit. Où étais-tu quand je fondais la terre ? Dis-le, si tu as de l’intelligence. Qui en a fixé les dimensions, le sais-tu ? Ou qui a étendu sur elle le cordeau ? Sur quoi ses bases sont-elles appuyées ? Ou qui en a posé la pierre angulaire, Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, Et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? Qui a fermé la mer avec des portes, Quand elle s’élança du sein maternel ; Quand je fis de la nuée son vêtement, Et de l’obscurité ses langes ; Quand je lui imposai ma loi, Et que je lui mis des barrières et des portes ; Quand je dis : Tu viendras jusqu’ici, tu n’iras pas au delà ; Ici s’arrêtera l’orgueil de tes flots ?







C O N C L U S I O N




Frères et soeurs en Christ, en analysant, comme nous venons de le faire, le monde dans lequel nous vivons, nous prenons la dimension de ce qui nous attend : de l’opposition, de la division, de l’incompréhension, des tensions, de l’isolement d’être enfant de Dieu et de la persécution galopante. Jésus nous a prévenus : « Ils vous haïront comme moi ». Dans un pays comme la France encore quelque peu libre, nous sommes épargnés par le pire, mais la pression de l’opposition est bien réelle et ne cessera jamais. Que dire des 70 Pays qui persécutent et s’attaquent au christianisme. Comble de l’humanisme dévoyé, si la SPA s’occupe (et c’est merveilleux) des animaux mal traités, qu’en est-il des humains persécutés, où sont les campagnes médiatiques pour dénoncer et éradiquer la mal traitance humaine ? La protection des animaux serait-elle plus importante que celle des hommes et des femmes que l’on oppresse, torture, persécute et massacre ? C’est pourtant une question qui se pose, tant l’absence de réaction représente l’état de haine de l’homme par l’homme.


Je vais être sans filtre en affirmant que ce livre s’adresse aux nés de nouveau dans le combat à mener, pourquoi ? En effet, un religieux qui se dit chrétien mais qui ne s’est jamais repenti de son état de dépravation et qui n’a pas reçu la grâce de christ, ne peut s’impliquer dans le plan de Dieu conduit par le Saint Esprit, de par son incrédulité. Il ne pourra mener ce combat, car il en sera incapable. Des centaines de millions de personnes se disent chrétiennes mais n’en portent que le nom, elles n’ont pas reçu la grâce et le Saint-Esprit. Elles restent esclaves de leur état d’humanisme dévoyé, tout en développant une forme de croyance qui n’est pas une vie de foi totale et irréversible. C’est pourquoi, je prie afin que les véritables enfants de Dieu ne cessent de témoigner et de proclamer l’évangile pour participer au sauvetage des âmes qui sont inscrites dans le livre de vie. La semence ne doit jamais cesser et le monde quelque soit son état est le champ où nous devons semer.


Ne l’oublions jamais, nous étions nous aussi des humanistes dévoyés et nous devons prier afin que le Seigneur nous remplisse de compassion pour les âmes perdues. Des tyrans, des bourreaux, des terroristes, des dictateurs, tout autant que beaucoup de personnes ont reçu la grâce de Jésus. Nous ne devons pas baisser la garde, mais au contraire entretenir la forme et la santé spirituelle. Notre vie de prière et d’étude de la parole de Dieu est essentielle pour combattre et avancer dans notre marche vers le Royaume.


Voici quelques conseils utiles que je m’applique pour la Gloire de mon père :


.  Adorer Dieu de toute mon âme et de toutes mes forces

.  Aimer mon prochain comme moi-même

.  Avoir compassion des âmes

.  Reconnaitre l’absolue souveraineté de Dieu

.  Reconnaitre Jésus comme mon sauveur et Seigneur en toutes choses

.  Ne jamais avoir d’a priori sur une personne

.  Avoir le bon comportement, le témoignage de Jésus vivant en moi

.  Me nourrir de la parole de Dieu sans restriction et sans en faire une idolâtrie élitiste

.  Être un homme de prière, d’adoration et d’intersession

.  Être actif dans le corps de Christ

.  Être serviteur actif et pas consommateur passif de l’évangile

. Toujours regarder vers le sommet de la montagne sainte et ne plus baisser mes yeux vers la terre


Je prend un plaisir inestimable à cette nouvelle vie, à la sanctification de mon âme et je loue chaque jour mon Seigneur pour la grâce qu’il m’a accordée. Oui, le combat est permanent, mais le bonheur l’est tout autant. Être enfant de Dieu, adopté dans son royaume d’amour, de paix, de sainteté et de justice, n’a pas de prix, c’est la lumière de la vie qui nous éblouit de sa présence chaque jour et d’une espérance inexprimable. L’Esprit-Saint change radicalement le coeur afin que l’âme régénérée vive libérée de tous fardeaux et exprime son adoration pour son créateur. Les chaines d’esclavage qui nourrissaient la mort ont explosé et la porte sacrée de la vie Eternelle s’est ouverte. Le monde cruel, dépravé d’aujourd’hui, ne me fait pas et plus du tout peur, il est vaincu et il passera comme les autres régimes depuis des siècles. La toute puissance de Dieu est au dessus de tout, elle est infinie, illimitée et renverse toutes les forteresses. La foi renouvelée par le Saint-Esprit met en nous le vouloir et le faire avec cette assurance qui déplace les montagnes. Rien ni personne ne peut résister à l’amour ou à la colère de Dieu. Qu’est ce que l’homme face à Dieu ? Qui ose même poser cette question ? Pourtant nous sommes dans ce monde qui ose et qui défie Dieu. Qu’à cela ne tienne, nous sommes plus que vainqueurs en Jésus-Christ (Romains 8 : 37 à 39).


Il est bon de connaitre notre ennemi lorsque nous combattons, mais il est plus important de connaitre nos forces et le fait que rien ne peut nous détruire lorsque nous sommes enfants du tout puissant. On peut chercher à nous manipuler mentalement, à nous diviser religieusement, à nous isoler socialement, à nous harceler moralement, voir nous persécuter physiquement, rien de tout cela ne pourra jamais détruire un nouveau né en Christ. La mort de Jésus est suivie de sa résurrection et c’est pour chacun de ses élus le même chemin. Prenons conscience, frères et soeurs, de notre résurrection irréversible. Nous avons reçu la vie éternelle une fois et pour toujours, ne nous attachons pas et plus aux morts, mais aux vivants. Semons la parole de Dieu dans ce monde de ténèbres, avec la foi, la force et le courage que le Saint-Esprit nous envoie chaque jour. Fortifions-nous dans le discipulat et avançons sans masque, car le Seigneur dresse une table face à nos adversaires. Oui, nous traversons la vallée de l’ombre de la mort, mais ce n’est qu’un temps infinitésimal comparé à l’océan infini de l’Eternité. Ne faisons plus de la terre la finalité, mais au contraire le commencement d’une vie, qui après le franchissement de la porte de la mort physique, nous emmène vers la vie éternelle auprès de notre Père céleste. Serions-nous nés pour mourir ? Oh que non, mais pour vivre et adorer notre créateur.


Avant ma conversion, comme chaque enfant de Dieu, j’étais un humaniste dévoyé. Je n’ai jamais cherché Jésus, jamais. Au contraire je ne l’aimais pas et l’accusais de vouloir faire de nous des pantins. Je n’ai pas donné ma vie à Christ, je le refusais de toute mon âme et pourtant aujourd’hui, je l’adore, pourquoi ?


Parce qu’il est venu m’adopter, c’est lui et lui seul qui par grâce m’a sauvé, je ne le voulais pas. Par sa grâce, j’ai reçu un esprit de repentance qui ne m’a plus jamais quitté, il m’a rempli de sa foi et de son amour, à tel point que j’ai vomi ce que j’étais et qu’il m’a conduit à un changement croissant de comportement envers mon prochain. Il m’a mis à part (la sanctification) pour me libérer du poids de mes transgressions afin de connaitre la paix de l’âme. Le plus grand des miracles n’est pas la guérison physique, mais le changement radical de l’âme esclave du péché, en une âme libérée et ressuscitée. La nouvelle naissance est une pure grâce (ce n’est pas une oeuvre charnelle), elle est non seulement salvatrice, mais prouve également la puissance souveraine de Dieu. Il est le seul qui puisse nous faire passer de cette humanisme dévoyé, du péché, vers la Sainteté. Dieu est le seul libérateur et l’état de la nature humaine n’a aucun pouvoir pour changer son logiciel. C’est pourquoi en tant qu’enfant de dieu, nous nous devons de prier sans cesse et d’intercéder pour les âmes perdues afin de participer au sauvetage des âmes. Semer, toujours semer est notre marche d’étrangers sur la terre. Nous ne sommes pas apôtres mais disciples et le chemin est le même, rendre gloire à notre Dieu en apportant sa lumière dans les ténèbres, qui je le rappelle nous rendaient esclaves, nous aussi, avant la nouvelle naissance.


Voilà pourquoi je précisais que ce livre s’adresse aux nés de nouveau, car nous avons une mission très précise qui est d’être des disciples engagés, bouillants pour Dieu. La nourriture biblique nous enseigne dans quelle nouvelle dimension nous vivons et combien nous devons l’appliquer sachant qu’il y a un prix à payer. Le véritable disciple de Jésus ne se repose pas, il développe les oeuvres de la foi avec compassion. Sans être nés de nouveau, nous ne ressentons pas du tout la foi qui nous pousse à adorer, glorifier Dieu et combattre. Croire en Jésus, se proclamer chrétien est une chose, mais sans la grâce et le désir de le servir, nous ne pouvons lutter contre l’ennemi et il restera toujours dominant dans notre vie. Prions pour que beaucoup de religieux croyants se repentent afin d’être sauvés et adoptés par Christ. La Croix, la rédemption et la résurrection ne sont pas des évènements passés mais bien actuels. Chaque jour, la maternité céleste reçoit des nouveaux nés qui, sauvés de leur humanisme dévoyé, seront des serviteurs du Dieu très haut, des princes héritiers du Royaume Eternel.


Pour terminer, je dirais que passer de l'humaniste dévoyé au christianisme est une grâce inestimable et que cette révélation divine se vit sans pouvoir l’expliquer. L’infinie grandeur de Dieu se manifestant en moi : TOUT POUR SA GLOIRE !


Que le Seigneur vous bénisse….


Alors mon coeur loue le Psaume 91 éternellement !

Celui qui demeure sous l’abri du Très-Haut Repose à l’ombre du Tout Puissant. Je dis à l’Eternel : Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie ! Car c’est lui qui te délivre du filet de l’oiseleur, De la peste et de ses ravages. Il te couvrira de ses plumes, Et tu trouveras un refuge sous ses ailes ; Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse. Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour, Ni la peste qui marche dans les ténèbres, Ni la contagion qui frappe en plein midi. Que mille tombent à ton côté, Et dix mille à ta droite, Tu ne seras pas atteint ; De tes yeux seulement tu regarderas, Et tu verras la rétribution des méchants. Car tu es mon refuge, ô Eternel ! Tu fais du Très-Haut ta retraite. Aucun malheur ne t’arrivera, Aucun fléau n’approchera de ta tente. Car il ordonnera à ses anges De te garder dans toutes tes voies ; Ils te porteront sur les mains, De peur que ton pied ne heurte contre une pierre. Tu marcheras sur le lion et sur l’aspic, Tu fouleras le lionceau et le dragon. Puisqu’il m’aime, je le délivrerai ; Je le protégerai, puisqu’il connaît mon nom. Il m’invoquera, et je lui répondrai ; Je serai avec lui dans la détresse, Je le délivrerai et je le glorifierai. Je le rassasierai de longs jours, Et je lui ferai voir mon salut.


Daniel Gilman

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1 Comment

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Guest
Nov 09, 2024
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Monsieur Gilman

Très Pertinent....

Comme vous dites faut être ''Né de Nouveau'' pour vraiment TOUT saisir..MERCI.

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