1 SAMUEL 5
Verset 1 à 5
L’arche de l’alliance n’est pas comparable à des dieux en métal ou en pierre, elle représente le seul et unique Dieu qui existe sur la terre et dans le ciel. La statue de Dagon s’incline devant l’Eternel et il en sera de même bientôt, car tous genoux fléchira et toutes langues confessera que Jésus est le Seigneur de gloire.
Verset 6 à 12
Dieu ne veut pas demeurer avec ceux qui ne lui appartiennent pas. Les fléaux envoyés devraient les conduire à la repentance et pourtant ils n’entendent ni ne comprennent les avertissements du ciel.
1 SAMUEL 6
Verset 1 à 6
Au bout de 7 mois, les philistins se décident enfin à rendre l’arche aux israélites. Ils ont en mémoire les 10 plaies d’Egypte et ne veulent pas résister comme Pharaon l’a fait. La crainte s’est installée au milieu d’eux et ils veulent la renvoyer avec une compensation.
La notion de sacrifice est valable dans toutes les religions, car tous les faux dieux reçoivent des sacrifices par ceux qui les adorent. Les devins et les prêtres parlent même d'un sacrifice de culpabilité que nous trouvons dans la loi de Moïse (Lév 5:6), mais qui est quelque peu différent.
Verset 7 à 12
Les philistins ont tellement peur qu’ils ne veulent plus approcher l’arche. Ils vont donc envoyer des vaches à leur place. Elles s’y rendent seules, c’est L’Éternel qui leur montre le chemin.
Verset 13 à 21
L’arche provoque à la fois une grande réjouissance, mais aussi une grande crainte.
Regarder à l’intérieur de l’arche faisait preuve d’une grande légèreté vis à vis de Dieu et ce même regard est porté encore aujourd’hui par beaucoup d’hommes et de femmes qui se disent chrétiens.
La crainte de Dieu manque considérablement dans l’église, on se permet des choses que l’on ne devrait pas. C’est une victoire que l’arche soit revenue dans le camps hébreux, mais ce n’est pas une raison pour oublier ce qu’elle représente. Elle est la représentation du Dieu vivant. Sommes-nous conscients que chaque fois que nous nous réunissons, nous implorons et invoquons le Seigneur Dieu tout puissant ? Avons-nous cette crainte au fond de notre coeur envers ce qu’il est vraiment ? Sommes-nous révérencieux envers lui ? Le Dieu qui a frappé d’une grande plaie les gens de Beth Shémesh n’a pas changé, il est resté le même. Sa colère a été apaisée envers ceux qui ont mis leur foi dans le sacrifice de Jésus à la croix, mais elle reste toujours la même pour les nons rachetés.